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3iVX : CoDec vidéo développé par la société Happy machine . A l'origine exclusivement pour Apple celui-ci a développé ses propres algorithmes de compression pour OS X et windows. 3iVX D4 PR2 est un encodeur-decodeur basé sur les spécifications MPEG-4.
4/3 : Definition a venir...
5.1 : Definition a venir...
8mm : Definition a venir...
16/9 : Format vidéo qui correspond au rapport largeur/hauteur, utilisé pour le cinéma, il offre une résolution améliorée par rapport au format '1,33'.
AAC : ( Advance Audio Coding) extension .m4a . format de compression numérique du son issu du mpeg 4 et conccurent du mp3 .
AC3 : Dolby AC3 - Dolby Digital Lancé en 1987, il est certainement le système le plus utilisé de nos jours notamment pour le home-cinéma. Il s'agit d'un système de codage numérique avec compression de données audio permettant de placer 6 pistes. Au contraire du ProLogic, les pistes ne sont pas matricées mais "discrètes" ou indépendantes. La compression est de 10 pour 1, c'est actuellement le signal le plus compressé pour la reproduction du son au cinéma. 
La principale différence entre le Dolby Pro Logic (classique) et L'AC3 consiste en une meilleure séparation des canaux surround pour L'AC3 pour autant que le support du film soit numérique (DVD par exemple). 
La plupart des DVD ont un décodeur AC3 intégré, et vous pouvez directement connecter les 5 +1 sorties sur de simples amplis. L'avantage du Dolby Digital est qu'il reste compatible avec le Dolby Pro Logic. 
Le terme AC3 est de plus en plus remplacé par le terme Digital. Anciennement appelé Dolby AC3. 
AIFF : Audio Interchange File Format, format de fichier vidéo. OU Audio interchange format file.Format fichier son . Origine Apple .
AVI : Audio Video Interleaved, format de fichier vidéo.
ADSL :(Anglais : Asymmetrical Digital Subscriber Line).(Français : Ligne asymétrique numérique)Technologie capable de transporter plusieurs mégabits par seconde sur les deux fils de cuivre du téléphone. Les données peuvent être transmises jusqu'à 8 Mbits/s en téléchargement. En France, France Telecom commercialise son offre de base avec un débit de 512 Kbps pour la réception des données et de 128 Kbps pour l'envoi.
CD : Compact Disc. Disque faisant 12 centimètres de diamètre, 1,2 millimètre d'épaisseur, constitué de polycarbonate recouvert d'une couche d'aluminium, le tout étant vernis et permettant de stocker environ 650 Mo de données. Il fut normalisé en 1985 dans le Yellow Book, puis utilisé massivement pour stocker du son, et enfin pour enregistrer des données informatiques de toutes sortes (CD-ROM). 
CD-R : Compact Disk-Recordable, CD que l'on peut graver (une seul fois) avec un graveur de CD. Une fois gravé le CD devient un CD-ROM normal, utilisable par n'importe quel lecteur de CD-ROM.
CD-ROM : CD-R gravé de données informatiques de toutes sortes .
CD-RW : Compact-Disc Rewriting device en anglais. Format de disques compact sur lesquels on peut écrire, effacer et réécrire (contrairement au CD-R)
Cinche (prise..) : Voir RCA
Codec : COmpresseur/DECompresseur, dispositif matériel ou logiciel qui comprime (compacte) et décomprime (décompacte) les données
Compact Flash : Type de mémoire vive statique emballée dans une petite boîte de plastique pour la protéger des intempéries, et très utilisée dans les appareils portatifs, comme les appareils photo numériques ou les baladeur mp3. On appelle souvent la chose une carte mémoire.
CONVERTISSEUR D/A : le son gravé sur un laserdisc étant numérique, il faut le le convertir en données analogiques (fréquence) afin qu'il soit exploitable par un étage d'amplification et des enceintes entre autres. C'est le rôle du convertisseur D/A (Digital/Analogique) présent dans tout lecteur de laserdiscs. Il existe plusieurs type de convertisseurs qui fonctionnent sous des algorithmes de calcul différents : bitstream, 1 bit, 18 bits, ... Les lecteurs Pioneer récents fonctionnent sur un mode de conversion 1 bit. Les modèles évolués (925, 2950) disposent d'une sortie numérique optique qui évite de faire appel au convertisseur D/A intégré au lecteur
Data compatible : On dit de n'importe quel diffuseur vidéo qu'il est DATA lorsqu'il peut restituer sans faire appel à une interface externe certains signaux informatiques dont on sait que la fréquence de balayage horizontal est élevée. 
Les appareils supportent des signaux jusqu'au S-XGA, parfois. Cela correspond au nombre de points et donc à la fréquence de balayage. 
En résumé, un projecteur Data est nécessaire, si vous devez y relier un ordinateur. 
DB15 (prise..): Les ordinateurs utilisent une prise DB15 pour la sortie écran externe. Cette sortie en mode RVB, est en résolution VGA , XGA ou SXGA. Ce câble ne véhicule pas de signal sonore. 
Les signaux sont câblés ainsi (DB15): 1 rouge, 2 vert, 3 bleu, 13 sync H, 14 sync V, 6 Gnd rouge, 7 Gnd vert, 8 Gnd bleu, 10-11 Gnd sync. 
DivX : Technologie de compression vidéo, dérivé du MPEG-4 . Permet de réduire de 10% la taille d un fichier au format MPEG-2.
Dolby digital : voir AC3
Dolby ProLogic :Le Dolby Pro Logic est une extension du décodage Dolby surround. Le décodeur Dolby Pro Logic ajoute une voie centrale, afin que le son paraisse plus central. Cette enceinte centrale reproduit typiquement les voix des acteurs. Ce système augmente également la séparation des voies de droites et de gauche. Deux voies arrières reproduisent l'image sonore en trois dimensions. Avec un tel décodeur, vous avons donc besoin de 5 enceintes pour un réel confort d'écoute. Ce système tend aujourd'hui à être dépassé depuis l'arrivée du Dolby Digital ou Dolby AC3.
Dolby Pro logic II 
Les laboratoires Dolby ont développé ces dernières années de nombreuses technologies adaptées à la diffusion de signaux multi-canaux. Le plus utilisé aujourd'hui est le Dolby Digital, qui offre une qualité exceptionnelle de séparation des canaux, grâce à la technologie numérique. Cependant, le Dolby Digital, nécessite une source digitale (DVD généralement) et un encodage Dolby Digital. 
Le Dolby Pro logic ou Dolby Surround est ‘l'ancêtre' analogique du Dolby Digital. La différence tient dans le niveau de séparation des canaux, ne dépassant pas 37 dB (dû à la technologie de déphasage employée), à une bande passante limitée dans les effets arrière (de 100 Hz à 7 000 Hz) et à deux voies arrière exactement identiques (mono) 
Le Pro logic II améliore beaucoup les lacunes du Pro Logic original : 
- Il permet une lecture en multi-canal de sources stéréo standards sans encodage 
- La bande passante des voies d'effets arrière est améliorée 
- La séparation des canaux est meilleure 
- Le Dolby Pro Logic II est entièrement compatible avec les encodages Pro Logic et Surround 
Avec quels supports utiliser le Dolby Pro Logic II ? 
Le Dolby Pro Logic II propose 3 modes de fonctionnement : 
- Music 
- Movie 
- Panorama 
- Un procédé ‘Phantom' permet également de créer l'effet en l'absence d'enceintes surround. On peut considérer que le résultat est intéressant surtout pour le cinéma, même à partir de sources VHS. En revanche, le résultat à partir de sources musicales stéréo n'est pas toujours intéressant, il faut ‘essayer'. Certains disques sont recommandés pour fonctionner avec ce système. Dans tous les cas, deux réglages permettent d'ajuster le résultat du Pro Logic II en fonction de votre installation et de la source que vous utilisez. 
Dolby Surround :Première version de codage Dolby destinée à reproduire différents canaux pour un son cinéma. Voir l'évolution "Dolby ProLogic ou encore Dolby Digital. 
Dolby Surround EX : Les nouvelles évolutions intègrent maintenant une voie centrale arrière. C'est le cas du Dolby Digital EX, du DTS ES et du THX EX. Cette voie centrale ne représente pas un canal supplémentaire encodé numériquement, mais reprend le procédé analogique de déphasage entre les voies arrières existantes sur les systèmes actuels pour recréer une voie centrale arrière. 
Pour bénéficier de cette voie arrière, il faut que le support soit encodé avec le procédé en question. Le procédé THX conseille l'usage d'une nouvelle paire d'enceintes bipolaires en fond de salle. Pour bénéficier de cette voie arrière supplémentaire, il faut que le support soit encodé avec cette option. 
DTS :Format sonore mis au point par les studios Universal pour les salles de cinéma, concurrent du système Dolby Digital, auquel il oppose surtout des performances audio supérieures. Les films DTS demandent un lecteur plus performant (puissance du décodeur). 
DTS-ES : Digital Theater Sound Enhanced Surround 
Les nouvelles évolutions intègrent maintenant une voie centrale arrière. C'est le cas du Dolby Digital EX, du DTS ES et du THX EX. Cette voie centrale ne représente pas un canal supplémentaire encodé numériquement, mais reprend le procédé analogique de déphasage entre les voies arrières existantes sur les systèmes actuels pour recréer une voie centrale arrière. 
Pour bénéficier de cette voie arrière, il faut que le support soit encodé avec le procédé en question. Le procédé THX conseille l'usage d'une nouvelle paire d'enceintes bipolaires en fond de salle. Pour bénéficier de cette voie arrière supplémentaire, il faut que le support soit encodé avec cette option. 
DV : Format de bande vidéo numérique pour l'enregistrement de son et de vidéo numérique sur une bande 1/4" Metal Evaporated. Des mini bandes DV peuvent contenir jusqu'à 60 minutes de vidéo, alors que les bandes standard DV peuvent en contenir jusqu'à 270 minutes.
DVD Audio Le DVD Audio ou DVD-A est un support de stockage pour la musique à haute résolution. Conccurent du SACD . L'idée étant d'utiliser la fantastique capacité de stockage du DVD pour reproduire la musique dans sa qualité d'enregistrement originale. Le DVD Audio peut être stéréo ou multi-canal sur six canaux. Dans le cas de la stéréo, il s'agit d'un encodage 192 kHz/24 de très haute qualité, dans le cas du multi-canal, il s'agit d'encodage 96 kHz/24 bit (Dolby Digital). Les disques peuvent d'ailleurs voir cohabiter les deux formats, et de la video. 
La capacité d'un DVD Audio en mode stéréo est de 74 minutes, comme le CD classique, mais on peut considérer que la différence de qualité est presque aussi importante qu'entre la VHS et le DVD. 
Les premiers disques DVD Audio sont sortis à la fin de l'année 2000, mais on peut espérer que ce format sera largement répandu dans les prochaines années, les disques ne devant pas être beaucoup plus chers que les CD classiques et la qualité nettement supérieure. 
Tous les lecteurs de DVD ne sont pas actuellement compatibles DVD Audio, en effet, il faut qu'ils intègrent le décodeurs 192 kHz/24 bit (décompression MLP). 
DVD : (Digital Versatil Disk) Support CD multi-couche visant à remplacer tous les autres supports (K7, LD, CD-ROM) dans les années à venir. Autorise un stockage important de données reposant sur les nouvelles normes numériques (MPEG 2, Dolby Digital).
Le disque DVD a exactement la même apparence qu'un CD classique. 
DVD 5 : Format le plus courant, avec une seule couche. Il peut contenir jusqu'à 135 minutes de vidéo ou 4,7 gigaoctets d'information. 
DVD 9 : disque à un côté possédant deux couches, utilise un revêtement semi-transparent sur la couche externe et entièrement réfléchissant sur la couche interne; le DVD-9 peut contenir jusqu'à quatre heures de vidéo ou 8,5 gigaoctets d'information. Ce format n'est pas lisible par tous les lecteurs de salon. 
DVD10 : Disque à double face - double couche, est tout simplement deux DVD-5 scellés dos-à-dos. Cette combinaison offre une capacité de stockage de 9,4 gigaoctets ou quatre heures et demie de vidéo. Puisque le CD possède deux côtés, il doit donc être retourné manuellement dans le lecteur. La zone d'impression de l'étiquette est limitée à la bague centrale. 
DVD+R/RW
Dernier arrivé sur le marché, le DVD+RW est très proche physiquement et chimiquement du DVD-RW. Ainsi, il se compose lui aussi d'une couche d'enregistrement composée d'un alliage d'argent et d'indium ou de germanium. Les différences chimiques et physiques entre les deux formats sont minimes (jitters, profondeur de gravure…). 
En revanche, la vitesse de gravure de 2,4x autorise l'enregistrement de 4,37 Go de données en 25 minutes. Les opérations de gravure étant plus rapides, le format DVD+RW s'avère plus agréable à utiliser. Le choix de graveurs l'exploitant est plus important. 
Néanmoins, il ne faut pas oublier que les premiers graveurs de DVD+RW sont sortis 6 à 8 mois après le premier graveur de DVD-R/RW. L'avantage de la vitesse n'est donc que temporaire. Car le DVD+RW présente aussi son lot de défauts. Ainsi, les supports forcément réinscriptibles. Parfaits pour réaliser des essais, des masters avant une gravure finale, ils sont aussi plus chers que les médias inscriptibles une seule fois. 
Toutefois, les supports au format DVD+R (inscriptibles une seule fois) sont annoncés pour le second semestre 2002. Malheureusement, les graveurs de DVD+RW vendus dans le commerce ne supporteront pas cette nouveauté et réclameront une mise à jour logicielle! 
Le second problème concerne la compatibilité. Elle est identique à celle du DVD-R avec les platines de salon (environ 90%). 
DVD-RAM : est le premier type de DVD réinscriptible à avoir été normalisé. À l'origine dédié au monde professionnel, ce média dispose de nombreux avantages. Il est réinscriptible 100 000 fois contre 1 000 pour le DVD-RW et le DVD+RW. De plus, il dispose d'un caddie protecteur, augmentant ainsi sa durée de vie. Enfin, le DVD-Ram existe en plusieurs versions: 2,6 Go, 3,9 Go, 4,7 Go et même 9,4 Go, alors que DVD-R/RW et DVD+RW ne dépassent pas les 4,7 Go! 
Ce media est véritablement une excellente alternative aux produits de stockage magnéto-optiques déjà utilisés dans le monde de l'entreprise. Malheureusement, il n'est pas non plus exempt de défauts. Tout d'abord, il s'agit du plus cher d'entre tous. Enfin, sa compatibilité est très limitée. Il doit être sorti de son caddie pour être lu ailleurs que dans un lecteur dédié. De plus, un seul lecteur de DVD-Rom (GD 8000 d'Hitachi) sur le marché supporte le DVD-Ram. Pire, aucune platine de salon en dehors des produits réservés n'accepte ce format. 
DVD-R/RW : (Digital Versatil Disk Writing) device en anglais. DVD-R/RW 
Le DVD-R et le DVD-RW sont deux des formats validés par le DVD-Forum. Techniquement, la couche d'enregistrement d'un DVD-RW se compose, en fonction de la marque, d'un alliage d'argent et d'indium ou de germanium. Le DVD-R se voit doté d'une couche de polycarbonate. Comme un CD-RW, un DVD-RW autorise jusqu'à 1 000 enregistrements et conserve les données pendant 100 ans, en théorie. 
Un support au format DVD-RW affiche une vitesse de lecture de 1x (soit un débit de 1 385 ko/seconde). Ainsi, remplir les 4,37 Go de données d'un DVD vierge prend une heure, contre 30 minutes pour un DVD-R qui offre un taux de tranfert de 2x. Enfin, ce format offre une large compatibilité. Le DVD-R/RW est reconnu par environ 90% des lecteurs de DVD-Rom et des platines de salon. 
DVD-RW :voir DVD-R

DVi :  Interface vidéo numérique pour relier un moniteur sans passer par l'analogique. Elle est répandu sur les ordinateurs pour connecter des écrans à cristaux liquide. Le format HDMI est compatible pin-à-pin avec le connecteur DVI avec des extensions. Sa résolution atteind jusqu'à 1920 x 1080 pixels. Une extension grand-public, le HDMI utilise les mêmes signaux avec un connecteur plus petit et plus de fonctions (audio, commandes..). 
DMD :Procédé de projection vidéo ou rétro-projection par la technologie de micro-miroirs à très haut rendement lumineux, développé par Texas Instrument. 
FIREWIRE :   (ou IEEE 1394 dans le monde PC ou i.LinK chez Sony) Grâce à ses transferts à haut débit 400 Megabits par secondes (Mbps) et maintenant 800 Megabits par secondes (Mbps) et à ses capacités Plug & Play à chaud, FireWire est l'interface idéale des équipements vidéo et audio numériques actuels, mais aussi des disques durs externes et d'autres périphériques haute performance Il donne .la possibilité de gérer simultanément jusqu'à 63 périphériques . Concurrent de L'USB .
FIRMWARE :Logiciel résidant en ROM . Le firmware (matière ferme) est entre le hardware (matière dure) et le software (matière molle). Il est principalement utilisé pour contrôler directement le matériel et fourni par la firme qui fabrique ce matériel. Exemple type : un driver de périphérique intégré 
HDCD :High Definition Compatible Digital. Format audio breveté pour CD et DVD . Il s'agit d'une bidouille rajoutant 4 bits pour coder les sons sur 20 bits au lieu de 16 normalement, et c'est compatible avec les formats normaux.
HDMI : (High Definition Multimedia Interface)   est une interface numérique pour les signaux multimédia en haute définition. Elle support les standard haute définition en Vidéo, audio multicanal (8 canaux à 192kHz) et pilotage (renvois de télécommandes). Conçu pour évoluer (en terme de bande passante) l'interface HDMI offre 5 Gb/S (HDTC à 2,2Gb/S. Elle est supportée par les principaux fabricants. Parmi les nouvelles fonctions, on notera la présence d'une protection des contenu (anti-copie), l'adaptation aux formats d'images, connecteur compatible pin à pin avec le connecteur DVI des moniteurs numériques. Sa normalisation (version 1.O) date de septembre 2002. Les premiers produits sont atendus à l'été 2003. Ce format est supporté par les constructeurs (Itachi, Matsushita Electric (Panasonic), Royal Philips Electronics, Silicon Image, Sony Corporation, Thomson, Toshiba ) et les auteurs de contenu (Universal, DirectTV, ...). 
HDTV Télévision à haute résolution. Plusieurs résolutions se disputent ce format suivant qu'il est au format japonais ou américain. Les appareils supportant le format XGA ou SXGA supportent généralement le HDTV. La qualité d'image est de 2 à 4 fois plus précise que la TV standard. 

HI8 : Version améliorée du format Video8 utilisant le format S-Video enregistré sur une bande Metal Particle ou Metal Evaporated. En raison d'une résolution à plus forte luminance et d'une largeur de bande plus grande, le résultat donne des images plus nettes qu'avec le format Video8
LCD : Afficheur à cristaux liquides (Liquid Crystal Display). Ce type d'afficheur n'émet pas de lumière et nécessite une source lumineuse. Il existe de nombreuses technologies de LCD adaptées à la vidéo, aux afficheurs économiques, aux ordinateurs... La technologie LCD utilise 3 plaques semi-transparentes (une pour chaque composante couleur) éclairées par un faisceau lumineux qui les traverse. Les plaques sont composées de nombreuses cellules, elles-mêmes contenant des cristaux liquides sensibles au courant électrique. Ce dernier stimule les cellules qui deviennent plus ou moins transparentes (ou opaques) afin de composer à l'écran une image lumineuse et contrastée. 
Lumens ANSI : Unité de mesure normalisée (ANSI: norme américaine) pour mesurer la puissance d'une source lumineuse (plasma, TV, vidéo-projecteur). 
.Macrovision : Definition a venir...
Memory Stick : Format de modules d'extension (mémoire, modem, etc..) pour terminaux mobiles développé par Sony. 
Mini DVD : c'est l'adequation du VCD et du SVCD .Et c'est là tout le génie de l'idée, de mixer VideoCD "non standard" et mini-DVD !En deux mots, on va faire du VideoCD non "Toast-Ready", en tirant le data rate au maximum, et puisque celui-ci ne pourra pas être gravé en VideoCD, et bien, on va le graver en mini-DVD ! Il offre 18 minutes de Video sur un CD-R 700 en qualite optimale. De plus il faut que le codage ait été effectué avec des valeurs proches de 4500000 Bits/s en VBR (bitrate variable) afin d'eviter toutes sacades lors de la lecture . (reglages conseilles : PAL en 352*288)
MOV : mode de compression d'un fichier video compresse par Adobe et qui est utilisé pour Quicktime. il est trés utilisé notament pour les bande annonce de films sur internet ou les CD de magazine. C'est une compression de fichier video qui ne permet qu'une faible définition vidéo mais qui est en contre partie évolutive: il y a par exemple le mode Quicktime VR qui est un mode video 3d virtuelle.
MPEG : Motion Pictures Experts Group. Norme de compression d'animation Par rapport à la compression M-JPEG, elle offre une réduction de 75-80% des données avec la même qualité visuelle.
MPEG 1 : Motion Pictures Experts Group, standard de compression des vidéos avec leurs informations sonores, sur le principe que l'arrière-plan reste statique dans une succession d'images (pour gagner en stockage et rapidité)
MPEG 2 :Evolution du format Mpeg, il offre une qualité d'image supérieure à celle des cassettes VHS. Pour être visualisée, une séquence de ce format doit être décodée par un outil spécifique (logiciel ou matériel), c'est pourquoi les lecteur de DVD sont vendus avec une carte de décompression.
MPEG-4 : Le MPEG 4 est a la base, l'implémentation de Microsofts disponible dans Windows Media qui fut craquer par Jérôme Rota en 1999 et qui inventa par la suite le DivX . Actuellement le MPEG-4 est officielement le nom donné a l'implémentation choisi par Apple du premier codec dicté par l'ISO et disposant du conteneur mp4(format de fichier .mp4, basé sur le format de fichier.mav de Quicktime)
MP3 : Abréviation de MPEG 1 Audio Layer 3, le MP3 est un format de compression numérique du son, sans perte de qualité perceptible à l'oreille. Extension du MPEG audio. Format de compression de fichiers audios qui permet de supprimer toutes les informations superflues, non perçues par l'oreille humaine et de regrouper les répétitions de sons.
Multiplicateur de Lignes : Cet appareil de traitement vidéo très sophistiqué permet de calculer les points intermédiaires pour construire une image haute définition (voire très haute définition) à partir du signal vidéo. Très en vogue sur les grosses installations à base de projecteurs tri-tubes, les multiplicateurs de lignes sont aujourd'hui accessibles et peuvent être adaptés sur les vidéo-projecteurs LCD et DLP.Un multiplicateur de lignes offre une amélioration très sensible de la qualité d'image dès que la taille de l'écran dépasse 1,50 m de base. A partir de 2m ou 2,5m de base, il devient indispensable ! 
OGG : Format de compression audio environ 30 % plus compact que le MP3 , pour une qualité équivalente ou supérieurs. L'objectif affiché des développeurs de ce format comme Vorbis, est d'en faire un remplaçant libre du MP3. 
PCMCIA: Personal Computer Memory Card International Association. Format de carte d'extension ultra-plat, dédié aux portables. Utilisable en plug-and-play. Il en existe deux sorte, numérotées 1 et 2. La deuxième comporte trois sous-type, I, II et III, différenciés par leur épaisseur (respectivement 3.3, 5, 10.5 mm). 
RCA (prise..) :(ou Cinch)ou Vidéo composite  Prise audio (rouge et blanc pour la stéréo droite gauche) et jaune pour la vidéo (Pour cette dernière préférez la prise Y/C lorsque c'est possible !! Cette liaison est la plus répandue, c'est aussi la moins bonne en terme de qualité. Le passage du composite au S-Vidéo montre déjà une très nette amélioration du signal. Câble 75 ohms (pas de câble audio). Longueur : entre 1m et 10m. 

Ripper : Ripper un DVD est tout simplement de recuperer, a l'aide d'un ordinateur, la video d'un DVD . Soit pour copier sur un autre DVD, soit de produire un fichier quicktime lisible sur mac . Dans ce dernier cas, creer un CD simple, en perdant au passage la qualite du DVD et ses fonctions propres (menus intercactifs etc...) mais en gardant un film de qualite lissible sur un lecteur de DVD compatible .
NTSC : Television Standards Committee ; également une norme de TV couleur créée par ce groupe en 1951 avec 525 lignes et 60 trames par seconde. Le standard NTSC est utilisé en Amérique du Nord et en Amérique Centrale ainsi que dans d'autres pays. NTSC 4,43; Norme vidéo NTSC avec porteuse de couleurs PAL.
PAL : Abréviation de Phase Alternation Line. Norme de couleur, développée en Allemagne, à 625 lignes et 50 champs d'image par seconde. C'est le standard TV européen le plus répandu. 
PCM : Pulse Code Modulation. Système de numérisation des sons. La piste audio gravée sur les CD mais aussi des laserdiscs est de type PCM, codée sur 16 bits. 
PEERS TO PEERS : (logiciels) permettant de connecter des ordinateurs entre eux via internet .
PIXEL : Point image élémentaire. Sur un téléviseur, il résulte de la juxtaposition de 3 pastilles de couleur rouge, vert et bleu. Sur les panneaux LCD, il est signifié par une diode à lumière dont est composée par milliers une matrice LCD. Plus le nombre total de ces pixels est important, meilleure sera la définition de l'image d'un vidéoprojecteur LCD. 
THX : (Tomlinson Holman experiment) Norme de qualité pour le son en home-cinéma. Pour plus d'informations, voir le site officiel THX 
TFT :Technologie d'écran à cristaux liquides (LCD) à matrice active. C'est actuellement la meilleure technologie pour les LCD. 
Ripper : C'est copier un DVD sur un disque dur en dissociant la video, le son et eventuellement les protections .
RVB Rouge-Vert-Bleu. (idem RGB : Red Green Blu )Pour le home-cinéma et la vidéo, la connexion RVB, appelée aussi composante, offre la meilleure qualité technique. Elle est notamment bien meilleure que la liaison composite qui utilise une bande passante moindre. 
SECAM 
(Séquentiel Couleur A Mémoire) 
Norme européenne de télédiffusion (25 images par secondes) uniquement pour la France et quelques pays africains. C'est un procédé de transmission vidéo créé par la Compagnie Française de Télévision en 1959 et mis en service en 1967. Ne permet le son stéréo qu'avec une sous-porteuse supplémentaire (procédé NICAM). Fonctionne en 625 lignes. 
Smart Media :Type de mémoire flash, utilisée dans les appareils portables, comme les appareils photos numériques ou les baladeurs MP3, concurrente de la Compact Flash. 
S-Video : Avec les signaux S-Video (Y/C), les informations de luminosité (luminance ou « Y ») et de couleur (chrominance ou « C ») sont transférées séparément à l'aide de fils multiples, évitant ainsi de moduler et démoduler la vidéo et donc la perte de qualité d'image qui en résulte. Meilleur que le composite, ce signal reste inférieur au composante . Il est cependant plus pratique et permet une très bonne qualité de restitution. Le signal est décomposé en luminance (1V - 75 ohms, définition maximale et incluant la synchro) et chrominance (0,3V - 75 ohms à définition moindre). Les 2 signaux voyagent séparément sur 2 câbles 75 ohms coaxiaux blindés. Le connecteur de type Ushiden (1: masse luminance, 2 : masse chrominance, 3 : luminance, 4 : chrominance). Certains appareils ont une sortie S-Vidéo sur la péritel, notamment les magnétoscopes S-VHS qui offrent une bonne solution pour ajouter un tuner TV à un écran plasma. 
SVCD: propose un codage MPEG2 à 2600000 Bits/s en VBR, ce qui nous procure 35 minutes de video .
SVHS:Format de vidéo de 500 points par lignes .
USB : Concurent de Firewire, c'est aussi un interface permettant la connexion Plug & Play à chaud . La première génération n'offrait que 12 Megabits par secondes (Mbps) que la deuxieme offre désormait 480 Megabits par secondes (Mbps).
Video8 : Système vidéo utilisant une bande de 8 min. Les enregistreurs Vidéo-8 génèrent un signal composite.
VCD : est calé une fois pour toutes à 1182400 Bits/s en MPEG1, et pas de VBR . Il offre 80 minutes de Video sur un CD-R 700 .
VIDEOCD+: Definition a venir...
VIDEO COMPOSANTE (prise..) : RCA ou BNC . Le signal composante conserve la définition maximale sur l'ensemble des signaux vidéo. La synchro est parfois séparée (câble gris et noir supplémentaire). 
VIDEO COMPOSITE (prise..) : Voir RCA
VORBIS :Société à l'origine du développement d'un ensemble de codecs audio et vidéo libres, pour contrer les tentatives d'extorsion de fonds de certains organismes. Voir le format OGG (audio) pour le moment... 
VHS : Format de vidéo de 240 points par lignes .Voir SVHS
WAV : Format de sauvegarde pour les signaux sonores, généralement aussi l'extension de fichier pour les fichiers son (*.wav) ORIGINE WINDOWS
WMA : Codec audio (Windows Media Audi) déposé par Microsoft en 1999 pour contrer le format MP3 . Vous trouverez des explication beaucoup plus poussées ici
XGA Qualité d'image informatique correspondant à une résolution de 1024 x 768 pixels.
Y/C (Prise...) voir S Video
YUV : certains lecteurs de dvd dispose d'une sortie "component video". Il s'agit d'une norme de codage de l'image utilisée dans les régies, aussi appelé YUV, équivalent du RVB européen, mais pas compatible. Il y a deux "normes" YUV en fonction du "nombre d'information" chrominance utilisé pour passer les info (4:2:2 en pro et 4:1:1 en "pas-pro")... 
YUV sépare l'image couleur en trois informations : 
une de luminance (Y) 
deux de chrominance (U et V). 
 
 
[3] Les caractéristiques techniques du DVD
[3.1] Quelles sont les sorties d'un lecteur de DVD ?
La plupart des lecteurs de DVD présentent les sorties suivantes : 
Vidéo : 
- Vidéo composite (CVBS) RCA/Cinch (NTSC ou PAL) 
- Y/C (s-vidéo) (NTSC ou PAL) 
Audio : 
- Dual RCA son analogique stéréo (avec encodage Dolby Surround) 
- Son numérique (IEC-958 Type II RCA coaxial (S/P DIF) ou EIAJ CP-340 optique (Toslink)). Le signal numérique (AC-3, MPEG-2, PCM, ou les formats optionnels DTS ou SDDS) nécessite un décodeur externe ou un ampli avec décodeur intégré. (Rem : La sortie numérique AC-3 est différente de la sortie RF AC-3 des lecteurs de laserdisc.) 
Certains lecteurs peuvent avoir des sorties supplémentaires : 
- Vidéo analogique « component », NTSC ou PAL (YUV : 3 connecteurs RCA , RGB : connecteur SCART ou 3 connecteurs RCA) 
- Sortie vidéo RF pour une connection via le canal 3 ou 4 des téléviseurs sans entrée directe. (Panasonic DVD-A300, RCA 5500P) 
- 6 sorties RCA pour un son surround analogique. (Panasonic DVD-A300, RCA 5500P, Samsung DVD905) 
- Sortie RF AC-3 sur les lecteurs « combos » LD/DVD. LD AC-3 en sortie RF seulement, DVD AC-3 sur les sorties coaxial/optique seulement. (Pioneer DVL-90, DVL-700) 
Certains lecteurs et amplis ne supportent que S/P DIF ou Toslink. Si votre lecteur et votre ampli ne sont pas compatible, vous aurez besoin d'un convertisseur comme le Midiman C02. 
La plupart des lecteurs munis de sorties « component  » utilisent YUV, qui est incompatible avec le RGB. Les lecteurs européens équipés de sortie SCART ont des sorties RGB. Des transcodeurs YUV vers le RGB seraient disponible pour 200-300$, mais sont difficiles à trouver. Un convertisseur (700$) est disponible chez avscience et un convertisseur à 900$, le CVC 100, est disponible chez Extron. 
Rem : Le terme correct pour la sortie analogique «  color-difference » est Y'Pb'Pr', et non Y'Cb'Cr' (qui est numérique et non analogique). Pour simplifier, ce FAQ utilise le terme YUV, dans son sens général, pour se référer aux signaux de différence de couleurs. 
Aucun lecteur de DVD-Vidéo n'a été annoncé avec des sorties vidéo numériques, on s'attend à voir apparaître des sorties numériques utilisant les connecteurs FireWire (IEEE 1394). 
[3.2] Comment brancher un lecteur de DVD ?
Cela dépend de votre installation audio/vidéo et du lecteur de DVD. La plupart des lecteurs de DVD ont 2 ou 3 possibilités de connections vidéo et 3 pour le son. Choisissez la possibilité permettant le meilleur rendu (voir plus bas) que votre système audio/vidéo peut offrir. 
Vidéo 
•	Vidéo component (la meilleure connexion possible) : Certains lecteurs américain et japonais ont des sorties vidéo YUV sous la forme de 3 connecteurs RCA ou BNC. Ces connecteurs peuvent être indiqués YUV, « color difference  », YPbPr, or Y/B-Y/R-Y et de couleur vert/bleu/rouge. Certains lecteurs ont une sortie vidéo component RGB par un connecteur SCART de 20 broches ou 3 connecteurs RCA ou BNC indiqué R/G/B. Branchez les câbles des trois sorties du lecteur aux trois entrées du téléviseur, ou un câble SCART du lecteur au téléviseur. Rem : Connecter un signal YUV sur du RGB ne marchera pas ; un transcodeur est nécessaire. (Rem : D'après des témoignages (mais non vérifiés), le Toshiba SD-3006 aurait une sortie component avec une conversion de couleur de mauvaise qualité.) 
•	S-vidéo (Bonne qualité) : Presque tous les lecteurs ont une sortie s-vidéo.Branchez le câble s-vidéo du lecteur au téléviseur (ou à un ampli A/V qui peut brasser des prises s-vidéo). Le connecteur rond de 4 broches peut être indiqué Y/C, s-vidéo, ou S-VHS. 
•	Vidéo composite (Correcte) : Tous les lecteurs de DVD ont des connecteurs vidéo standards RCA (Cinch). Branchez le câble du lecteur au téléviseur (ou à un ampli A/V). Les connecteurs sont habituellement jaunes et peuvent être indiqués « vidéo », « CVBS », «  composite », ou « baseband ». 
•	RF vidéo (La pire) : Quelques lecteurs ont une sortie vidéo RF pour les téléviseurs munis d'une prise d'antenne uniquement. Branchez le câble coaxiale du lecteur au téléviseur. Un adaptateur 300 ohm vers 75 ohm peut être nécessaire. Régler le téléviseur sur le canal 3 ou 4 et réglez le commutateur situé derrière le lecteur en fonction. Le son passe par le câble RF et est donc mono, et cela même si vous avez un télévisuer stéréo. Si vous avez un lecteur sans sortie RF, vous pouvez acheter un modulateur (environ 30$) si votre téléviseur n'a pas d'autre entrée que  RF. Vous pouvez aussi rediriger la vidèo vers un magnétoscope puis vers le téléviseur mais cela risque de poser des problèmes avec l'image avec les disques protéger avec la Macrovision (Voir 1.11). 
Attention : Si vous connectez votre lecteur de DVD sur votre téléviseur par votre magnétoscope, vous risquez d'avoir des problèmes avec les disques qui activent les circuits Macrovision. Cela se traduit par un assombrissement et un éclaircissement répétés de l'image. 
Rem : La plupart des lecteurs de DVD supportent le «  widescreen signalling », qui indique au téléviseur widescreen le ratio pour qu'il puisse s'ajuster automatiquement. Le standard ITU-R BT.1119, utilisé essentiellement en Europe, inclus l'information dans une ligne vidéo. Un autre standard, pour les connecteurs Y/C ajoute un signal DC pour indiquer le signal widescreen. Malheureusement, certains commutateurs et amplis éliminent ce signal DC au lieu de le transmettre au téléviseur. 
Audio
Rem : Tous les lecteurs de DVD ont un décodeur Dolby Digital (AC-3) ou un décodeur MPEG-1, ou bien les deux. Les décodeurs MPEG-2 ne sont pas disponibles actuellement. Le décodeur traduit le signal numérique multi-canal en PCM et le ressort par la sortie numérique et convertit en analogique pour la sortie audio standard. 
  
•	Audio numérique (meilleur rendu) : Presque tous les lecteurs ont des sorties numériques Dolby Digital (AC-3), MPEG-2 audio, PCM, DTS, et SDDS, le décodeur approprié est nécessaire dans l'ampli ou en externe. Pour le PCM, un ampli avec un DAC intégré ou externe est nécessaire. Le DTS arrive tous juste ; il faudra laors de nouveaux lecteurs et le matériel de décodage approprié dans le lecteur ou dans l'ampli ou dans un processeur externe. Toutefois, tous les lecteurs de DVD peuvent lire les CD DTS si un décodeur DTS est branché sur la sortie numérique PCM.Certains lecteurs ont des prises coaxiales (SP/DIF), d'autres des prises optiques (Toslink), et beaucoup ont les deux. Branchez le câble coaxial 75 ohms ou le câble optique du lecteur vers l'ampli/processeur. Certains lecteurs ont des prises séparées pour DD/MPEG et pour PCM. Sur d'autres, il faut sélectionner le format avec le menu du setup ou par un commutateur à l'arrière du lecteur. Rem : Assurez vous d'utiliser un câble de qualité ; un câble RCA peut ne pas fonctionner. Rem : Faire le branchement sur la prise AC-3/RF ne fonctionnera pas à moins que votre ampli/processeur ne soit capable de commuter automatiquement, car le signal numérique audio du DVD n'est pas RF. (Voir plus bas) 
•	Audio analogique component (Correcte) : Certains lecteurs fournissent en sortie du décodeur interne Dolby Digital, un signal 6 canaux analogique. La qualité de la conversion numérique-analogique peut être plus ou moins bonne qu'une conversion par un décodeur externe. Un ampli avec 6 entrées est alors nécessaire ; ce type d'unité est souvent indiqué comme « Dolby Dgital ready » ou « AC-3 ready ». Malheureusement, dans la plupart des cas, il n'est pas possible d'ajuster le niveau d'écoute de chaque canal. Branchez les 6 câbles audio sur les prises RCA du lecteur et les prises correspondantes de l'ampli. Certains amplis nécessitent l'utilisation d'un connecteur DB-25 à une extrémité du câble et un connecteur RCA à l'autre. 
•	Audio analogique stéréo/surround (ok)   : Tous les lecteurs de DVD disposent de sorties RCA pour un rendu stéréo. Tous les disques avec du son Dolby Digital ou du MPEG-2 audio seront décodés et « downmixés » automatiquement en Dolby Surround pour un système stéréo ou Dolby Surround/Pro Logic. Branchez deux câbles audio du lecteur vers l'ampli ou le téléviseur. Les prises peuvent être indiquées « audio » ou left (en blanc)/right (en rouge). 
•	Audio numérique RF (pour les LD seulement)  : Les lecteurs combo LD/DVD possèdent une sortie AC-3 RF pour le signal numérique du LD. Branchez le câble coaxial sur l'entrée AC-3 RF de l'ampli/processeur. Rem : Le signal numérique des DVD ne passe pas par la sortie RF, mais par les sorties coaxiales ou optiques. Le signal sonore analogique des LD sortira des connecteurs stéréos, il faut donc trois branchements pour couvrir toutes les possibilités. 
[3.2.1] Y-a-t-il un prolème si je branche mon magnétoscope entre mon téléviseur et mon lecteur de DVD ?
C'est généralement une mauvaise idée de faire transiter la vidéo d'un lecteur de DVD à travers un magnétoscope. La plupat des films utilisent le système de protection Macrovision, qui engendre un éclaircissement et un assombrissement de l'image. Voir 1.11 et la section vidéo RF de 3.2. 
[3.3] Quelles sont les tailles et les capacités du DVD ?
Il existe plusieurs variations du format. Il y a deux diamètres : 12 cm (4,7 pouces) et 8 cm ( 3,1 pouces), les deux étant de 1,2 mm d'épaisseur, ce qui correspond au dimension du CD. Un DVD peut avoir une ou deux faces. Chacune d'elles peut avoir une ou deux couches de données. La durée de vidéo qu'un disque peut contenir dépend de la quantité de signal sonore qui l'accompagne et de l'importance de la compression du son et de la vidéo. La durée  de 133 minutes, abusivement proclamée un peu partout, est un non-sens : un DVD avec une piste sonore peut largement contenir plus de 160 minutes ; et en utilisant une couche, on peut y mettre jusqu'à 9 heures de vidéo et de son si la compression produit un résultat équivalent à la VHS. 
A un débit moyen de 4,7 Mbps (3.5 Mbps pour la vidéo, 1.2 Mbps pour trois pistes 5.1 canaux), un DVD avec une couche de données peut contenir 135 minutes de programme. Un film de trois heures avec trois pistes sonores atteint un débit de 5,2 Mbps. Un DVD double couche peut contenir un film de deux heures avec un débit moyen de 9,5 Mbps (débit très proche du maximum de 10,08 Mbps). 
Capacité du DVD :
Pour mémoire, un CD-ROM peut stocker 650 Mo, ce qui représente 0,64 Go ou 0,68 milliard d'octets. Dans la liste suivante, SF/DF signifie simple face/double face, SC/DC signifie simple couche/double couche, Go représente un gigaoctet (230), md représente milliard d'octets (109). 
  
•	DVD-5 (12cm, SF/SC) : 4.38 Go (4.7 md) de donnée, plus de 2 heures de vidéo 
•	DVD-9 (12cm, SF/DC) : 7.95 Go (8.5 md), environ 4 heures 
•	DVD-10 (12cm, DF/SC) : 8.75 Go (9.4 md), environ 4 heures 30 mn 
•	DVD-18 (12cm, DF/DC) : 15.90 Go (17 md), plus de 8 heures 
•	DVD-1 (8cm, SF/SC) : 1.36 Go (1.4 md), environ une demi heure 
•	DVD-2 (8cm, SF/DC) : 2.48 Go (2.7 md), environ 1.3 heures 
•	DVD-3 (8cm, DF/SC) : 2.72 Go (2.9 md), environ 1.4 heures 
•	DVD-4 (8cm, DF/DC) : 4.95 Go (5.3 md), environ 2.5 heures 
•	DVD-R (12cm, SF/SC) : 3.68 Go (3.95 md) 
•	DVD-R (12cm, DF/SC) : 7.38 Go (7.9 md) 
•	DVD-R (8cm, SF/SC) : 1.15 Go (1.23 md) 
•	DVD-R (8cm, DF/SC) : 2.29 Go (2.46 md) 
•	DVD-RAM (12cm, SF/SC) : 2.40 Go (2.58 md) 
•	DVD-RAM (12cm, DF/SC) : 4.80 Go (5.16 md) 
Rem : Il faut environ deux milliards d'octets pour stocker deux heures de vidéo de qualité moyenne. 
L'augmentation de capacité par rapport au CD-ROM est due à : 1) des pits plus petits (environ 2,08 fois plus petit), 2) des pistes plus resserrées (environ 2,16 fois plus proches les unes des autres), 3) une zone de données un peu plus grande (environ 1,32 fois), 4) une modulation des channels bit plus efficace (environ 1.06 fois), 5) un système de correction d'erreurs plus efficace (environ 1,32 fois), 6) moins de « sector overhead » (1,06 fois). Pour un disque simple couche, cela porte la capacité à 7 fois celle d'un CD-ROM.
La capacité d'un DVD double couche est légèrement inférieure à celle d'un disque simple couche. Le laser doit lire « à travers » la couche la plus proche de la tête pour accéder à la couche inférieure. Pour éviter des erreurs de lecture, la longueur minimum d'un pit est augmentée de 0,4 um à 0,44 um. En plus de cela, la vitesse de « reference scanning » est légèrement augmentée -- 3.84 m/s contre 3.49 m/s pour les disques simple couche. Des pits plus grands et plus espacés sont plus facilement lus et moins susceptibles de générer un effet « jitter » ; le fait qu'il y ait moins de pits et plus espacés explique une capacité par couche réduite. 
Voir 4.2  pour plus d'informations sur le DVD enregistrable (DVD-R et DVD-RAM). 
  
[3.3.1] Quand les disques doube face, double couche (DVD-18) seront disponible ?
Pas aussi tôt que certains le souhaiteraient (y compris Jim Cameron). La technologie DVD-18 n'est pas encore tout à fait sortie du laboratoire.Les disques simple face, double couche sont fabriqués en plaçant une couche de donnée sur chaque substrat et en fixant les deux moitiés avec un adhésif transparent de sorte que le faisceau puisse lire les deux couches à partir de la même face. Mais pour obtenir quatre couches, chaque substrat doit en contenir deux. Cela implique d'appliquer une seconde couche sur la première, ce qui beaucoup compliqué. Même avec le développement de nouveaux équipements et leur installation en production, le nombre de disques correctement produit et utilisable sera très faible jusqu'à ce que le processus soit affiné. 
WAMO et d'autres ont annoncé des progrès concernant les DVD-18, mais compte tenu de la durée nécessaire pour produire correctement des disques double couche - simple face, il faudra encore plus de temps avant que le nombre de disques utilisables permettent une distribution large et viable économiquement. Entretemps, nous verront des DVD-14 (deux couches sur une face et une sur l'autre face), car ils sont plus faciles à produire. 
(Mon avis personnel est que nous ne trouverons pas de DVD-18 en large diffusion avant l'automne 1999) 
[3.4] Quelles sont les caractéristiques vidéo ?
Le DVD-Vidéo est une application du DVD-ROM et du MPEG-2. Le DVD-Vidéo se définit comme un sous-ensemble du standard DVD. Le DVD-ROM peut stocker n'importe quelle donnée numérique, mais le DVD-Vidéo n'est limité qu'à certains types de données destinés à être diffusées sur un téléviseur ou un système de projection. 
Un DVD contient un signal vidéo numérique MPEG-2 à débit constant (CBR) ou débit variable (VBR). Une version réduite du MPEG-2 Main Profile at Main Level (MP@ML) est utilisée. SP@ML est aussi supporté. On peut aussi trouver un signal MPEG-1 à débit constant (CBR) ou débit variable (VBR). Les systèmes vidéo 525/60 (NTSC, 29.97 images par seconde entrelacées) et 625/50 (PAL, 25  images par seconde entrelacées) sont les formats de prédilection. 

Les tailles maximales d'images sont de 720x480 (29.97 images par seconde) ou 720x576 (25 images par seconde). L'image est échantillonnée à partir de source 4:2:2 ITU-R 601 en 4:2:0, allouant une moyenne de 12 bits par pixel (la couleur étant toujours codée sur 24 bits). La source non compressée a un débit de 124.416 Mbps pour une source vidéo (720x480x12x30 ou 720x576x12x25), ou soit 99.533 ou 119.439 Mbps pour une source film (720x480x12x24 ou 720x576x12x24). En se basant sur le traditionnel (et plutôt subjectif) indice du nombre de lignes horizontales, le DVD peut avoir une résolution de 540 lignes sur un téléviseur standard (720/(4/3)) et 405 sur un téléviseur widescreen (720/(16/9)). Dans la pratique, la plupart des lecteurs fournissent 500 lignes à cause des processus de filtrage. Le VHS a une résolution de 230 (172 en widescreen) et le laserdisc 425 (318 en widescreen). 
Le nombre de bits du convertisseur numérique-analogique vidéo varie suivant les lecteurs. (Sony et Toshiba utilisent 10 bits, Pioneer et Panasonic, 9 bits) Cela n'a rien à voir avec le processus de décodage MPEG, car chaque élément du signal est limité à 8 bits par échantillon. Davantage de bits procure toutefois plus de « confort » lors de la conversion, ce qui peut aider à produire une image de meilleure qualité. 
Le débit vidéo maximum est de 9.8 Mbps. Le débit «  moyen » est de 3.5 mais dépend totalement de la durée, de la qualité du programme, du nombre de pistes sonores, etc. Le taux de compression est de 36:1 à partir des 124 Mbps non compressés (ou 28:1 à partir des 100 Mbps de la source film). Le flux brut de données est lu du disque avec un débit constant de 26.16 Mbps. Après une démodulation 8/16, ce débit descends à 13.08 Mbps. Après la phase de correction d'erreur, le flux de données est redirigé dans le buffer à 10.08 Mbps et dans le flux de données système à un débit variable pouvant atteindre 10.08 Mbps, qui est le débit maximum des flux élémentaires (audio, vidéo et « subpicture »). La vidéo MPEG-1 a un débit limité à 1.856 Mbps, avec une valeur courante de 1.15 Mbps. 
Les images fixes (encodées en tant qu'image-I MPEG-2) sont supportées et peuvent être affichées pour une durée précise ou indéfinie. Ces images sont habituellement utilisées pour les menus et peuvent être accompagnées de son. 
Un DVD peut aussi avoir jusqu'à 32 flux de «  subpicture » qui se superposent à l'image pour les sous-titres, les sous-titres destinés aux malentendants, aux enfants, pour le karaoké, les menus, de petites séquences animées, etc. Ces éléments s'affichent en plein écran. Pour chaque groupe de subpicture, 4 couleurs sont sélectionnées à partir d'une palette de 16 (de la gamme YCrCb), et quatre valeurs de contraste sur les 16 niveaux de transparent à opaque. Le contrôle de l'affichage de ces « subpictures » en séquence peut être utilisé pour créer des effets de surbrillance, de mouvement ou de fondu. Le débit maximum du flux « subpicture » est 3.36 Mbps, avec une taille maximum par image de 53 220 octets. 
En plus des sous-titres, le DVD supporte aussi le Closed Caption NTSC. Le texte Closed Caption est enregistré dans le flux vidéo en tant que données utilisateur MPEG-2 (dans les headers) et est régébéré par le lecteur comme une donnée analogique dans la ligne 21 du signal vidéo, qui doit être décodé par un décodeur Closed Caption dans le téléviseur. Bien que les spécifications du DVD-Vidéo ne parle que du NTSC, il n'y a pas de raison technique qui empécherait les lecteurs de DVD PAL/SECAM de sortir le signal Closed Caption au format World System Teletext (WST) ; le seul problème est qu'il faut traiter les différences de fréquences. Malheureusement, le format de stockage MPEG-2 du Closed Caption DVD est légérement différent du format ATSC. 
[3.5] Comment fonctionne le ratio («  aspect ratio ») ?
Sur un DVD, il est possible de stocker de la vidéo au format 4:3 (le ratio standard des téléviseurs) ou 16:9 (widescreen). Le format 16:9 est dit « anamorphique », c'est-à-dire que l'image est compressée horizontalement pour pouvoir tenir dans un rectangle de ratio 4:3 et anamorphosée à la lecture. 
Les lecteurs de DVD peuvent diffuser de la vidéo de quatre façons différentes : 
•	plein écran (de la vidéo 4:3 pour un téléviseur 4:3) 
•	« letterbox » (de la vidéo 16:9 pour un  téléviseur 4:3) 
•	« pan & scan » (de la vidéo 16:9 pour un  téléviseur 4:3) 
•	« widescreen » (de la vidéo 16:9 pour un  téléviseur 16:9) 
Letterbox (que l'on rencontre sous ses abbréviations LBX ou LTBX) signifie que la vidéo est dans un format identical au format cinéma, habituellement 1.85:1 ou 2.40:1. Ceux-ci étant plus large que le rapport 4:3 des téléviseurs standards, des bandes noires doivent être ajoutées en haut et en bas de l'image. Pan & scan (recadrage) est un procédé permettant de voir une image large à travers une fenêtre 4:3, éliminant les parties à droite et à gauche (et massacrant le film NdT). Toutefois, de nombreux films sont tournés en soft-matte, utilisant le même rapport mais masquant le haut et le bas lors de la projection en salle. Lors du transfert vidéo, l'image supplémentaire peut être inclut durant le processus de recadrage (et massacrant le film NdT).
La vidéo enregistrée au format 4:3 ne subit pas de changement de la part du lecteur et sera affichée normalement sur un téléviseur 4:3. Les appareils widescreen 16:9 devront soit l'agrandir, soit lui ajouter des bandes noires à droite et à gauche. La vidéo 4:3 peut avoir été formatée de diverses manières avant d'avoir été transférée sur DVD. Par exemple, elle peut être au format « letterbox » pour préserver l'intégralité d'une image large, ou au format recadré (« panned & scanned ») qui élimine les bords droits et gauches d'une image d'un ratio plus grand. Tout le travail de formatage effectué sur la vidéo avant le stockage sur DVD est transparent au lecteur, qui se contente de reproduire le signal. 
La vidéo « anamorphosée » 16:9 peut être affichée sur un équipement 16:9, qui redonne à l'image les bonnes proportions. Sur un téléviseur standard 4:3, cette même image apparaît étirée verticalement. Une alternative : nombre de nouvelles TV standard en Europe peuvent réduire la zone de balayage vertical afin de restaurer les bonnes proportions sans perte de résolution (un signal est envoyé la pin 8 du SCART). Si la vidéo anamorphosé est affiché sur un téléviseur standard 4:3, les personnages apparaissent étiré comme sous l'emprise d'un régime sévère.Le mode widescreen 16:9 est compliqué car, de nos jours, la plupart des films sont tournés avec un « soft matte ». (Le chef opérateur a deux types de marques sur son viewfinder, un pour le format 1.33 (4:3) et un pour le format 1.85, pour s'accommoder des deux ratios). Certains films sont encore plus larges, comme le ratio 2.35 du Panavision. La plupart des films étant plus larges que 1.78 (16:9), une de ces quatre méthodes doit être utilisée lors du transfert pour arriver au 1.78  : 1) ajouter de fines bandes noires en haut et en bas de l'image ; 2) inclure une petite surface supplémentaire de l'image en haut et en bas à partir de la zone « soft matte » ; 3) éliminer les côtés ; 4) déplacer une «  fenêtre » au format 1.78 suivant l'endroit où l'action se situe dans l'image. Avec les deux premières méthodes, la différence entre 1:85 et 1:78 est si petite que les bandes noires ou l'image supplémentaire est dissimulée par la zone de balayage invisible de la plupart des téléviseurs. 
Néanmoins, et surtout pour les films en 2.35, de nombreux éditeurs de DVD incluent une version 16:9 sur une face (ou une couche) du disque et une version 4:3 sur l'autre. De cette manière, la version plein écran du film peut servir pour un « balayage » (pan & scan) ou un zoom sans bandes noires et sans perte de résolution. 
Le site de Laserviews contient une liste de titres DVD "anamorphosé". 
La vidéo « anamorphosée » 16:9 peut aussi être convertie par le lecteur pour un affichage sur un téléviseur standard 4:3 en « letterbox » ou en recadrée. Les possibilités de conversions disponibles sur le disque sont à la discrétion de l'éditeur. Jusqu'ici aucun disque n'a été pressé avec une option de formatage automatique (en partie car les équipements pour stocker les informations nécessaires au « balayage » ne sont pas largement diffusés). 
Pour le mode letterbox automatique, le lecteur crée des bandes noires en haut et en bas de l'image (60 lignes pour le NTSC et 72 pour le PAL). Cela laisse 3/4 de la hauteur, créant aussi une zone moins haute mais plus large. Pour remplir cette zone, l'image est compressée verticalement avec un filtre letterbox qui combine 4 lignes en 3. Cela compense la compression verticale initiale, et permet de voir le film dans son vrai format. La résolution verticale passe de 480 lignes à 360. 
Pour le mode « pan & scan » automatique, la vidéo est décompressée en 16:9 et une partie de l'image est affichée dans toute la hauteur du cadre 4:3 en «  balayant » l'image d'après les informations incluent dans le flux vidéo et décrivant la « zone de l'image où se déroule l'action » (ces informations ont été définies par les superviseurs du transfert du film en vidéo). La « fenêtre » de « pan & scan » représente 75% de la largeur initiale de l'image, ce qui réduit le nombre de pixels horizontaux de 720 à 540. La « fenêtre » de « pan & scan » ne peut se déplacer que latéralement. Ce procédé est différent d'un vrai « pan & scan  » où la fenêtre se déplace de haut en bas et qui peut aussi zoomer. En conséquence, la plupart des éditeurs préfèrent inclure une version « pan & scan » sur le disque en plus de la version widescreen. Pour cette raison, et parce que l'équipement pour stocker l'information n'est pas larrgement disponible, aucun film n'a été diffusé avec le mode « pan & scan » automatique activée, bien que certains disques utilisent le « pan & scan » par un choix dans le menu afin que le même menu fonctionne en mode anamorphosé et 4:3. 
L'étape d'anamorphose ne génère pas de problèmes avec les doubleurs de lignes, qui se contentent de doubler les lignes avant la décompression par l'équipement widescreen 16:9. 
Pour la vidéo anamorphosé, les pixels sont plus larges. Plusieurs ratios de pixel sont utilisés pour chaque format et résolution. Les taille de 720-pixels et 704-pixels ont le même ratio car le premier inclu "l'overscan". Noter que les valeurs "conventionnelles" 1.0950 et 0.9157 sont données pour la hauteur et la largeur (et sont optimisées pour correspondre aux frequences de balayage). Le tableau suivant présentent des valeurs hauteur/largeur moins perturbant (y/x * h/w). 
  720x480 720x576
 704x480 704x576 352x480 352x576
4:3 0.909 1.091 1.818 2.182
16:9 1.212 1.455 2.424 2.909
La lecture de programme widescreen peut être limitée. Les programmes peuvent être destinés aux modes d'affichages suivants : 
- 4:3 plein écran 
- 4:3 LB (pour sélectionner le mode letterbox sur les téléviseurs widescreen) 
- 16:9 LB seulement (le lecteur ne peut effectuer de «  pan & scan » sur les téléviseurs 4:3) 
- 16:9 PS seulement (le lecteur ne peut effectuer de letterbox on 4:3 TV) 
- 16:9 LB ou PS ( « pan & scan » ou letterbox sur les téléviseurs 4:3) 
[3.6] Quelles sont les caractéristiques audio ?
Il y a deux versions grand public du DVD : DVD-Video et DVD-Audio. Tous deux supportent le son multi-canal haute définition. Le DVD-Audio supporte le PCM haute qualité. 
[3.6.1] Caractèristiques du DVD-Audio 
Le LPCM est obligatoire, avec jusqu'à 6 canaux avec une échantillonnage de 48, 96 ou 192 kHz (ainsi que 44,1/88,2/176,4 kHz) et une profondeur de codage de 16/20/24 bits. Cela permet théoriquement une réponse en fréquence allant jsuqu' 96 kHz et une dynamique jusqu'à 144 dB. LPCM Multicanal sera "downmixé" par le lecteur, bien qu'à 192 et 176.6 kHz, seulement deux canaux seront disponible. Le débit maximal est 9.6 Mbps. 
Le WG4 a décidé d'inclure une compression sans perte (ce n'est pas trop tôt !) et le 5 août 1998 a choisit le MLP (Meridian Lossless Packing) de Meridian, déjà sous licence pour Dolby. MLP retire la redondance du signal pour obtenir un ratio de compression d'environn 2:1 tout en permettant au signal PCM d'être complètement recéé par le décodeur MLP (requis dans tous les lecteurs DVD-Audio). MLP permettra des durées d'écoute d'environ 75 à 135 minutes de son 6 canaux à 96kHz/24 bit sur une couche (comparé au 45 minutes sans "packing"). Les durées d'écoutes deux canaux à 192 kHz/24 bit seront d'environ 120 à 140 minutes (67minutes sans "packing"). 
Les autres formats du DVD-Video (Dolby Digital, MPEG et DTS décris plus bas) sont optionnels sur les DVD-Audio, bien que le Dolby Digital soit requis pour le contenu audio des segments vidéo associés. Quelques unes des fonctionnalités du DVD-Vidéo (excluant les angles, le montage etc.)est inclut dans le DVD-Audio. On s'attend à ce que peu de temps après l'apparition des lecteurs de DVD-Audio, de nouveaux lecteurs de DVD-Video soient disponibles et compatibles avec toutes les caractèristiques du DVD-Audio. 
Le DVD-Audio inclus des fonctionnalités spécialisées de downmixing. Contrairement au DVD-Vidéo, où le décodeur contrôle le mixage de 6 canaux à 2, le DVD-Audio inclus des tables de coefficient pour contrôler le "mixdown". Jusqu'à 16 tables peuvent définies par chaque Audio Title Set (album), et chaque piste peut être identifié par une table. Les coéfficients sont compris entre 0dB et 60db. Cette fonctionnalité s'appelle SMART (system-managed audio resource technique). 
Le DVD-Audio permet jusqu'à 16 images fixes par piste, avec un ensemble de transitions. L'affichage sur écran peut servir à synchroniser les paroles de chanson et les menus de navigation. Un mode de navigation simplifié peut être utilisé sur les lecteurs sans affichage vidéo. 
Sony et Philips proposent le SACD, un format concurrent basé sur le Direct Stream Digital (DSD) avec des fréquences d'échatillonages allant jusqu'à 100 kHz. Le DSD est basé sur le "pulse-density modulation" (PDM) qui utilise des bits uniques pour représenter les variations du signal audio. Cela permettrait d'améliorer la qualité en retirant les filtres "brick wall" requis pour l'encodage PCM. Cela permet un downsampling plus précis et efficace. Le DSD fournit une réponse en fréquence du DC à plus de 100 kHz avec une dynamique de plus de 120 dB. Le DSD inclus une technique d'encodage sans perte produisant appoximativement une réduction d'environ 2:1 en anticipant les échantillons. Le débit maximum est de 2.8 Mbps. 
Le SACD inclus le watermarking physique. PSP (Pit signal processing) module la largeur des pits sur le disque afin de stocker un watermark numérique ( les données sont stockées sur la longueur du pit).Le pickup optique doit comporter un cricuit supplémentaire pour lire le watermark PSP, qui est alors comparé à l'information sur le disque et s'assurer que le disque est légal. Du fait des nouveaux circuits requis, le SACD ne pourra être lu sur des lecteurs DVD-ROM.  
Le SACD inclus des textes et des images fixes, mais pas de vidéo. 
[3.6.2] Caractèristiques audio du DVD-Video 
Les informations suivantes concernent les pistes sonores du DVD-Vidéo. Certains constructeurs de DVD ,comme Pioneer, développent des lecteurs audio basés sur les spécifications du DVD-Vidéo. 
Un DVD peut avoir jusqu'à 8 pistes audio. Chaque piste peut être de l'un de ces trois formats : 
•	Dolby Digital (anciennement appelé AC-3) : 1 à 5.1 canaux 
•	MPEG-2 audio : 1 à 5.1 ou 7.1 canaux 
•	PCM : 1 à 8 canaux. 
Deux autres formats optionnels sont possibles : DTS et SDDS. Tous deux nécessitent des décodeurs externes et ne sont pas compatibles avec tous les lecteurs. 
Le « .1 » fait référence au canal basses fréquences (Low Frequency Effects LFE) qui se branche à un caisson de basses. 
Linear PCM est un format sonore numérique non compressé (sans perte), c'est le format des CD et de la plupart des masters de studios. Il peut être échantillonné sur 49 ou 96 kHz avec des échantillons codés sur 16, 20, ou 24 bits. (Le CD Audio est limité à 44.1 kHz sur 16 bits.) Il peut y avoir de 1 à 8 canaux. Le débit maximum est 6.144 Mbps, ce qui limite la fréquence d'échantillonnage et la profondeur de codage avec 5 canaux ou plus. Il est généralement constaté que la dynamique de 96 dB du 16 bits, ou même les120 dB du 20 bits (en plus d'une «  frequency response » allant jusqu'à 22 000 Hz à partir d'un échantillonnage de 48 kHz,) est adaptés pour une reproduction Haute Fidélité. Toutefois, davantage de profondeur dans le codage et une fréquence d'échantillonnage plus grande sont utiles pour le travail en studio ainsi que pour des traitements numériques poussés ou pour une reproduction spatiale du son. Les lecteurs de DVD doivent être compatibles avec toutes les variations du LPCM, mais certains pourraient passer de 96 kHz à 48 kHz, et certains n'utiliseraient pas la totalité des 20 ou des 24 bits. Le signal fournit sur la sortie numérique destinée à un convertisseur numérique-analogique pourrait être limité à moins de 96 kHz ou moins de 24 bits. 
Dolby Digital est un format sonore numérique et mutli-canal, comprimé, avec la technologie de codage AC-3, à partir du PCM avec une fréquence de 48 kHz sur 16 bits. Le débit est de 64 kbps à 448 kbps, avec 384 kbps étant le débit normal des 5.1 canaux et 192 kbps étant le débit normal de la stéréo (avec ou sans codage surround). Les combinaisons de canaux sont (front/surround)  : 1/0, 1+1/0 (dual mono), 2/0, 3/0, 2/1, 3/1, 2/2, et 3/2. Le canal LFE est optionnel avec tous ces combinaisons. Pour de plus amples informations. Dolby Digital est le format utilisé sur la majorité des DVD (en Zone 1). 
MPEG audio est un format sonore numérique et multi-canal, comprimé à partir du PCM avec une fréquence de 48 kHz sur 16 bits. Le DVD supporte le MPEG-1 et le MPEG-2. Le débit variable est compris entre 32 à 912 kbps, 384 kbps étant le débit moyen. Le MPEG-1 est limité à 384 kbps. Les combinaisons de canaux sont (front/surround)  : 1/0, 2/0, 2/1, 2/2, 3/1, 3/2 et 5/2. Le canal LFE est optionnel. Le 7.1 ajoute les canaux central-gauche et central-droit, mais peu de système exploiteront tous les canaux. Le MPEG Layer III (MP3) et le MPEG-2 AAC (aussi appelé NBC et « unmatrix ») ne sont pas supportés par le standard DVD-Vidéo. 
DTS (Digital Theater Sound) est un format sonore (optionnel) numérique et multi-canal (5.1) , comprimé à partir du PCM avec une fréquence de 48 kHz et en 20 bits. Le débit est de 64 à 1536 kbps (bien que le DTS Coherent Acoustics puisse aller jusqu'à 4096 kbps pour une compression sans perte). Les combinaisons de canaux sont (front/surround) : 1/0, 2/0,3/0, 2/1, 2/2, 3/2. Le canal LFE est optionnel. Le standard DVD inclut un format de flux audio réservé au DTS, mais les lecteurs de premières générations ne le reconnaissent pas. D'après DTS, les décodeurs DTS fonctionneront avec les DVD DTS. Rem : Tous les lecteurs de DVD peuvent lire les CD DTS.

SDDS (Sony Dynamic Digital Sound) est un format sonore numérique et multi-canal (5.1 à 7.1), comprimé à partir du PCM à 48 kHz. Le débit peut atteindre 1280 kbps. SDDS est un format sonore pour une dissusion en salle basé sur le format de compression ATRAC qui est aussi utilisé par le Minidisc. Sony n'a pas encore annoncé son intention de mettre en oeuvre le SDDS sur le DVD. 
THX (Tomlinson Holman Experiment) n'est pas un format sonore. C'est tout simplement un ensemble de traitement appliqué par les amplificateurs certifiés THX. Le traitement « THX 4.0 » est ajouté au Dolby Pro Logic. Le traitement « THX 5.1 » est ajouté au Dolby Digital. 
Les DVD en 525/60 (NTSC) doivent avoir un flux PCM ou un flux Dolby Digital, sur au moins une piste. Les DVD en 625/50 (PAL) doivent avoir un flux PCM ou un flux MPEG-2 ou un flux Dolby Digital sur au moins une piste. Les pistes supplémentaires peuvent être de n'importe quel format. Certains lecteurs de première génération, comme ceux de Matsushita, ne peuvent transmettre le flux MPEG-2 au décodeur externe. 
La première version des spécifications imposait soit un flux MPEG, soit un flux PCM sur les DVD en 625/50 (PAL). Une brève controverse menée par Philips éclata lors de l'édition des premiers DVD contenant du MPEG 2 canaux et du Dolby Digital multi-canal, mais le Forum DVD a clarifié la situation en annonçant en mai 1997 que seul le MPEG stéréo était obligatoire sur les DVD 625/50. En décembre 1997, l'absence de décodeurs (et d'encodeurs) était suffisamment inquiétante pour que les spécifications soient revues afin de permettre l'usage du Dolby Digital comme piste audio unique sur les DVD 625/50. 
Pour la sortie stéréo (analogique ou numérique), tous les lecteurs sont munis d'un décodeur Dolby Digital 2 canaux qui « downmixent » les 5.1 canaux (s'ils se trouvent sur le DVD) en Dolby Surround (i.e., les 5 canaux sont matricés en 2 canaux qui seront décodés en 4 par un processeur Dolby Pro Logic externe). Les lecteurs PAL ont, de plus, un décodeur MPEG ou MPEG-2. Les formats Dolby Digital et MPEG-2 supportent une source  Dolby Surround 2 canaux, au cas où l'éditeur ne peux pas (ou ne veux pas) remixer le signal en canaux discrets. Cela veut dire que les DVD marqués comme présentant un son Dolby Digital pourrait n'utiliser que les canaux Droit/Gauche pour le surround ou la stéréo. Même les films avec des bandes sonores mono peuvent être en Dolby Digital -- mais en un ou 2 canaux. Les lecteurs Sony peuvent effectuer le « downmix » en stéréo non-surround. 
Le traitement « downmix » du Dolby Digital n'inclut (habituellement) pas le canal LFE et peut réduire la dynamique pour améliorer l'écoute des dialogues et empêcher le son de devenir « brumeux » sur les systèmes audio « moyens ». Cela peut entraîner une perte de la qualité d'écoute sur des systèmes de haute qualité. Certains lecteurs ont la possibilité de désactiver la réduction de la dynamique. Le « downmix » est testé lors de la préparation du DVD, et si le résultat est inacceptable, le son peut subir alors un traitement ou une piste Droite/Gauche Dolby Surround peut être incluse. L'expérience a montré que des réglages mineurs sont parfois nécessaire, pour permettre des dialogues audibles sur des systèmes surround de moyenne qualité qui ont une dynamique limitée, mais qu'une piste supplémentaire n'est habituellement pas nécessaire. Si le son surround est essentiel pour vous et si vous êtes équipés d'un système Dolby Digital, vous obtiendrez un bien meilleur résultat avec des DVD incluant un son multi-canal. 
Les cinq formats audio supportent le mode karaoké, qui dispose de deux canaux pour la stéréo (L et R) en plus d'un canal optionnel de contrôle mélodique (M) et canal vocal optionnel (V1 et V2). 
Un DVD-5 avec un flux stéréo surround (à 192 kbps) peut contenir 55 heures de son. Un DVD-18 peut contenir plus de 200 heures. 
De nombreuses personnes se plaignent du niveau trop bas du son sur un DVD. En réalité, c'est le son inclus sur les autres supports qui est trop fort. Les pistes des films sont très dynamiques, d'un quasi-silence à d'intenses explosions. Dans le but de permettre une dynamique plus large et des pointes (près de la limite de 2V RMS) sans distorsion, le niveau moyen du son doit être plus bas. C'est pourquoi le niveau est plus bas que les autres sources. Et jusqu'ici, et contrairement au CD et au laserdisc, le niveau est beaucoup plus cohérent entre les différentes éditions DVD. 
[3.7] Comment fonctionnent les options interactives ?
Les lecteurs de DVD (et les navigateurs logiciels de DVD-Vidéo) savent interpréter un certain nombre de commandes, permettant une certaine interactivité. Des menus, présents sur presque tous les disques, permettent de sélectionner les programmes et de contrôler les options. Chaque menu se présente comme une image fixe et peut comporter jusqu'à 36 « boutons » que l'on peut sélectionner (seulement 12 si on utilise les modes « pan & scan », widescreen, et letterbox). Les télécommandes sont munies de quatre flèches pour parcourir les menus, ainsi qu'un clavier numérique, une touche de sélection, une touche menu, une touche sous-titre, une touche angle de vue, une touche de sélection de mode de lecture, une touche de recherche de programme et une touche de recherche de chapitre (ou d'après un « time-code »). Chacune de ces options peut être désactivée par l'éditeur du DVD. 
D'autres commandes sont possibles, comme des opérations mathématiques simples (ajouter, soustraire, multiplier, diviser, moduler, sélection aléatoire), un ET, OU et XOR logiques, ainsi que des comparaisons (égal, plus grand que, etc.) et des opérations sur des registres. Il y a 24 registres systèmes pour des valeurs concernant le code de langue, le son, les « subpictures » et le niveau parental. Il y a 16 registres que les commandes peuvent utiliser. Un « timer » est aussi utilisable. Les commandes peuvent aussi contrôler les paramètres du lecteur, positionner la lecture sur différentes parties du disque ainsi que le son, la vidéo, le subpicture ou le multi-angle, etc. 
Le DVD-Vidéo est divisé en titres (films ou albums), et « parties de titres » (chapitres ou chansons). Les titres sont constitués de « cellules » liées entre elles par un ou plusieurs enchaînement de programmes (PGC), qui indique l'ordre de lecture des cellules : en séquence, aléatoire, etc. Des cellules peuvent être utilisées dans plusieurs PGC, ce qui permet l'usage du contrôle parental et de l'option de scénario multiple. 
Le signal vidéo nécessaire au multi-angle et au scénario multiple est intercalée en petites sections. Le lecteur lit le disque et passe les parties non utilisées, permettant un montage transparent. Les prises de vue d'angle différent étant stocker séparément, elles n'ont pas d'influence sur le débit mais divise par deux la durée possible du programme. L'ajout d'un angle de vue supplémentaire à un programme entraîne le doublement d'espace nécessaire (et divise par deux le temps de lecture). 
  
 
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[4] Le DVD et les ordinateurs
[4.1] Peut-on visionner un DVD-Vidéo sur un ordinateur ?Only if your computer has the right stuff. In addition to a DVD-ROM drive you must have extra hardware to decode
Oui, mais seulement si l'ordinateur dispose de l'équipement nécessaire. Le système d'exploitation ou le logiciel de décodage doit supporter les codes régionaux et décrypter les films protégés contre la copie. Si l'ordianateur dispose d'une sortie vidéo TV, il doit supporter la Macrovision afin de llire les films protégés. Il peut être nécessaire de disposer d'un logiciel capable de lire le système de fichier MicroUDF utilisé par le DVD. En plus d'un lecteur de DVD-ROM, il faut une carte supplémentaire pour décoder la vidéo MPEG-2 et le son Dolby Digital/MPEG-2/PCM ou si votre ordinateur est assez puissant pour faire le décodage par logiciel (266 MHz Pentium II ou Mac G3). On estime que 10 à 30% des nouveaux ordinateurs mis sur le marché incorporeront le matériel de décodage, et que la plupart des autres disposeront du logiciel adéquat. Des kits d'upgrade matériel s'achète pour le parc existant (habituellement pentium 133MHz) à partir de 150$.

Certaines tâches de décodage MPEG comme la "motion compensation" et l'IDCT peut être effectué par un circuit additionnel sur la carte vidéo, améliorant ainsi les performances du décodage logiciel. Cela est appellé accélération matériel du décodage ou "motion comp" matériel. 
Microsoft Windows 98 înclut DirectShow 5.2, qui fournit en standard un support du DVD-Vidéo et de la lecture MPEG-2. (DirectShow peut être installé sur Windows 95.) DirectShow 6.0 est disponible en téléchargement. DirectShow fournit un cadre standardisé pour ce qui est de la lecture des DVD, mais un ajout de décodeur matériel ou logiciel est requis. Windows NT 4.0 ne supporte pas très bien le DVD-Vidéo mais Windows 2000 utilisera les mêmes drivers WDM et DirectShow que Windows 98. Internet Explorer 5.0 contient une nouvelle version du Windows Media Player qui permet la lecture DVD par script dans une page HTML. Windows 98 et ulterieur peuvent lire les disques UDF. Adaptec fournit un pilote gratuit pour la la lesture du système de fichier, UDF Reader, pour Windows 95/98/NT. Software Architects vend Read DVD pour Windows 95. 
Apple QuickTime 3.0 est en partie prêt pour le DVD-Vidéo et le MPEG-2 mais ne dispose pas de tous le support de décodage et de lecture des DVD-Vidéo. Mac OS 8.1 ou ultérieur peuvent lire les disques UDF. Adaptec fournit un utilitaire gratuit, UDF Volume Access, qui permet à Mac OS 7.6 et ultérieur la lecture des disques UDF. Software Architects vend un logiciel de lecture de disques UDF pour Mac OS, appelé DVD-RAM TuneUp. 
Note : L'Extension QuickTime pour MacOS est valable pour le MPEG-1 uniquement et ne peut lire le MPEG-2 du DVD-Vidéo 
Certains DVD-ROM et quelques DVD-Vidéo utilisent de la vidéo encodée au format MPEG-1 au lieu du MPEG-2. La plupart des ordianateurs récents disposent du matériel MPEG-1 intégré ou sont capable de décoder le MPEG-1 par logiciel. 
Les programmes de lecture DVD (utilisant un décodage logiciel ou matériel) sont des lecteurs de DVD virtuels. Ils supportent la plupart des caractèristiques du DVD-Vidéo (menus, sous-titre,...) et émule les fonctionnalités d'une télécommande. Plusieurs de ces solutions comporte des fonctionnalités additionnelles comme les bookmarks, les listes de chapitres et de sous-titre. 
Les décodeurs et lecteurs DVD logiciels Microsoft Windows sont conçus par CyberLink (PowerDVD), InterVideo, Mediamatics (DVD Express), MGI, NEC, Odyssey, QI (Software CineMaster), Xing, Zoran (SoftDVD), entre autres. Seuls les décodeurs de CyberLink, Odyssey, et Xing sont disponibles à l'achat, les autres sont attachés à des PC DVD OEM. Une version bon marché du logiciel de QI est disponible en téléchargement sur le site web d'ATI pour les cartes vidéos d'ATI. CyberLink, InterVideo, et Odyssey ne supporte pas encore DirectShow. Les décodeurs logiciels nécessitent au minimum un Pentium 233MHz MMX et un DVD-ROM IDE/SCSI avec un bus DMA, afin d'atteindre les 24 images par seconde (ou plus de 350 MHz pour obtenir 30 images par seconde). Une carte vidéo AGP et une accélération matériel améliore la performance des décodeurs logiciels. 
Les cartes de décodages matériels et les kits d'upgrades DVD-ROM pour Microsoft Windows sont conçus par Creative Technology (Encore, C-Cube chip), E4 (Elecede) (Cool DVD, C-Cube chip), IBM (ThinkPad laptops, IBM chip), LeadTek (WinFast 3D S800, Mpact2 chip), Margi (DVD-to-Go, ZV PC card for laptops), QI (Hardware Cinemaster, C-Cube chip), Sigma Designs (Hollywood, Sigma chip), STB (DVD Theater, Mpact2 chip), Toshiba (Tecra laptops, Toshiba chip), entre autres. La carte de décodage Sigma Designs est utilisé par les décodeurs d'Hitachi, HiVal, Panasonic, Phillips, Sony, et Toshiba. L'avantage des décodeurs matériels est qu'ils n'accapare pas le processeur, et qu'ils offrent souvent une qualité vidéo meilleure que les décodeurs logiciels. 
Certains modèles Macintosh PowerBook et G3 peuvent s'acheter avec des unités DVD-ROM et des décodeurs matériels. Les kits d'upgrades et les cartes de décodage pour Macintosh sont conçus par E4 (Elecede) (Cool DVD, C-Cube chip) et Wired (MasonX ; DVD-To-Go, qui n'est plus fabriqués). 
Si vous disposez au minimum d'une station de travail Alpha à 433 MHz, il est possible de lire les DVD-Vidéo à 30 images par seconde par logiciel. 
Malheureusement, même si les ordinateurs ont le potentiel de produire une vidéo supérieure au lecteurs de DVD-Vidéo grâce au balayage progressif et de plus grandes fréquences d'affichage, les systèmes actuels sont moins bon qu'un lecteur de salon branché sur un téléviseur. 
Si vous souhaitez brancher votre ordinateur DVD à un téléviseur, la carte de décodage ou la carte VGA doit disposer d'une sortie TV (vidéo composite ou s-video). Une alternative est de connecter un convertisseur 
à la sortie VGA. La qualité de la vidéo dépendra du décodeur, de la puce d'encodage TV, et d'autres élément, mais sera habituellement un peu inférieure à celle offerte par un bon lecteur DVD de salon. 
[4.2] Quelles sont les caractéristiques et les vitesses des lecteurs de DVD-ROM ?
Contrairement aux lecteurs de CDROM, auquels il a fallut des années pour passer à 2x, 3x et davantage encore, des unités DVD-ROM plus rapides ont commencé à apparaître dès la première année. La plupart des DVD-ROM ont un temps de recherche de 90-200 ms, un temps d'accès de 100-250 ms. Les unités DVD-ROM 1x offre un taux de transfert de 1,3 Mo/s (11.08*10^6/8/2^20) avec un taux de transfert « burst » pouvant atteindre (et dépasser) 12 Mo par seconde. Le taux de transfert des disques DVD-ROM en 1x est à peu près équivalent à un CD-ROM 9X (un taux de transfert d'un CD-ROM 1xest 150KB/s ou 0.146 Mo/s). La vitesse de rotation du DVD est trois fois plus importante que celle d'un CD (un DVD 1x équivaut à un CD 3x), mais presque tous les lecteurs de DVD-ROM sont capables de lire les CD-ROM à triple vitesse, la plupart seront capables d'atteindre une vitesse 12x ou plus. Les lecteurs de DVD-ROM 2x sont disponibles (avec des taux de transfert de 22.2 Mbps ou 2.6 Mo/s pour un DVD, équivalent à un CD-ROM 18x). La plupart des DVD-ROM 2x lisent les CD-ROM à 20x (au maximum). Les unités 4.8x et 5x commencent à être disponible, bien qu'ils n'atteignent pas habituellement un taux de transfert constant de 5x (55.4 Mbps ou 6.4 Mo/s, équivalent à un CD-ROM 45x). La plupart des DVD-ROM 2x lisent les CD-ROM à 20x (au moins) et la plupart des 5x lisent les CDROM à 32x (max). 
Note : Pour lire des films, un DVD-ROM rapide n'apporte rien de plus qu'un lissage plus fin et une recherche plus rapide. Des vitesses au-delà de 1x n'améliore pas la qualité vidéo des disques DVD-Vidéo. Des vitesses plus importantes ne sont sensibles que lorsque l'on accède des données informatiques comme pour un jeu vidéo ou une base de données. 
L'interface est similaire à celle des CD-ROM : EIDE (ATAPI), SCSI-2, etc. Tous les lecteurs de DVD-ROM ont les prises audio pour la lecture des CD. Aucun lecteur de DVD-ROM comportant des sorties audio et vidéo DVD (ce qui nécessiterait du matériel de décodage audio/vidéo intégré) n'a été annoncé. Pour brancher un DVD-ROM d'un PC sur votre téléviseur et sur un système stéréo, la carte de décodage ou la carte vidéo doit avoir une sortie vidéo et audio. Certaines cartes ont des sorties SP/DIF pour des amplis numérique. S'il n'y a pas de sortie vidéo, un convertisseur TV peut être branché sur la prise VGA. 
Les DVD-ROM utilisent le système de fichier MicroUDF/ISO 9660 bridge. Ce système de fichier de l'OSTA remplacera à terme celui utilisé sur les CD-ROM (ISO 9660), mais le format "bridge" fournit une compatibilité descendante jusqu'à ce que le système d'exploitation supporte l'UDF. 
[4.3] Qu'en est-il du DVD enregistrable : DVD-R, DVD-RAM et DVD+RW ?
Il y a quatre versions enregistrables du DVD-ROM : DVD-R, DVD-RAM, DVD-RW et DVD+RW. Le DVD-R ne peut enregistrer qu'une fois (séquentiellement uniquement), tandis que le DVD-RAM, le DVD-RW et le DVD+RW peut réinscrire des milliers de fois. Les versions finales des deux standards DVD-R et DVD-RAM (version 1.0) ont été publiées en août 1997 (voir 6.1). DVD-RW 1.0 et DVD-R 2.0 sont en voie d'achèvement au début 1999. Ces formats ne sont pas utilisables, pour le moment, pour l'enregistrement de programme vidéo (voir 1.14), bien que les enregistreurs DVD personnels arriveront sur le marché. Les trois formats réinscriptibles (DVD-RAM, DVD-RW et DVD+RW) sont essentiellement en concurrence l'un avec l'autre. Le marché choisira lequel s'imposera. Pour le moment , le DVD-RAM a un an d'avance. 
Chacun des formats est brièvement examiner ci-dessous. Pour davantage d'informations sur le DVD enregistrable. Si vous êtes particulièrement intéressés par le DVD enregistrable pour ce qui est des données, visitez la page de Steve Rothman DVD-DATA pour la FAQ et la mailing-list. 
DVD-R et DVD-RW
Le DVD-R utilise la technologie « dye polymer  » (comme le CD-R) et est compatible avec presque tous les lecteurs de DVD (les Sony DVP-S7000 et DVP-S3000 étant de notables exceprions). La capacité initiale est de 3.95 milliards d'octets, mais atteindra les 4.7 milliards d'octets vers le milieu de 1999, ce qui est essentiel pour graver des DVD-ROM et de DVD-Vidéo sur un ordinateur de bureau. 
Le DVD-RW (anciennement appelé le DVD-R/W, et anciennement DVD-ER) est un format réinscriptible à changement de phase qui sera disponible vers le milieu de 1999. Développé par Pioneer et basé sur le DVD-R, DVD-RW utilise une même longueur entre les pistes, une même longueur minimale des pits et des lands et un même contrôle de rotation. Il fonctionnera sur la plupart des lecteurs de DVD de premières générations. (Certains lecteurs et unités sont perturbées car ceux-ci croient avoir affaire à disque double couche alors qu'il s'agit d'une réflèctivité moindre. Une mise à jour logiciel devrait coriger le problème.) Le DVD-RW aura une capacité initiale de 4.7 milliards d'octets. 
Pioneer a sorti une unité DVD-R 1.0 à 3.95 millards d'octets en octobre 1997 (avec 6 mois de retard) au prix de 17,000$. De nouvelles unités DVD-R 2.0 à 4.7 milliards d'octets sont sorties en quantité limité en mai 1999 (avec 6 mois de retard) au prix de 5,4000$. Une version à venir de cette unité sera compatible avec le média DVD-RW. Le prix des DVD-R vierges est de 40$. Le prix des disques DVD-RW sera initiallement équivalent. Les disques vierges sont fabriqués par Eastman Kodak, Hitachi Maxell, Mitsubishi, Mitsui, Pioneer, Ricoh, TDK, et Victor. Ricoh, Yamaha, et Sony se joindront à Pioneer et fabriqueront des unités DVD-R/RW. 
Les atouts majeurs des lecteurs DVD-R, qui sont utilisés essentiellement pour tester les DVD, sont une capacité plus grande et une compatibilité avec tous les lecteurs de DVD. 
Les DVD-R et DVD-RWauraient une durée de vie entre 50 et 300 ans, aussi durable que les CD-R. 
Le format DVD-R est normalisé dans le document ECMA-279. 
DVD-RAM
Le DVD-RAM, avec une capacité de 2.58 milliards d'octets, utilise la technologie de changement d'état (phase-change : PD) et n'est pas compatible avec les lecteurs actuellement sur le marché (à cause de la différence de réflexion et d'autres différences de format).  Les DVD-RAM simple face pourront être disponibles avec ou sans protection (i.e. dans une cartouche ou non). Il y a deux catégories de protection : le type 1 est scellé, le type 2 permet de retirer le disque. L'écriture sur les disques ne peut se faire qu'en présence de la cartouche. Les DVD-RAM double face seront disponibles avec des protections uniquement. Les dimensions de ces protections sont 124.6mm x 135.5mm x 8.0mm. Les disques DVD-rAM vierges sont fabriqués par Hitachi Maxell, Mitsubishi, Mitsui et TDK. Plus tard, les DVD-RAM de 4,7 milliards d'octets pourraient utiliser une couche «  contrast enhancement » et une couche « thermal buffer  » afin d'obtenir une densité plus grande. Hitachi a annoncé avoir atteint les 4,7 milliards d'octets en réduisant la taille des pits et des lands de 0.41/0.43 microns à 0.28/0.30 microns et la distance entre les pistes de 0.74 microns à 0.59 microns. 
Les unités DVD-RAM sont apparues sur le marché en juin 1998 (avec 6 mois de retard) au prix compris entre 500$ et 800$, avec des disques vierges coûtant environ 30$ pour un simple face et 45$ pour un double face. Le prix des disques était à moins de 20$ en août 1998. Le premier lecteur de DVD-ROM à pouvoir lire les DVD-RAM est distribué depuis la fin 1998 par Panasonic (SR-8583, 5x DVD-ROM, 32x CD). 
Le format DVD-RAM est normalisé dans les documents  ECMA-272 et ECMA-273. 
DVD+RW
Phase-Change Rewritable, officiellement appelé +RW dans les documents de normalisation, est un format réinscriptible concurrent, annoncé par Philips, Sony, Hewlett Packard entre autres, utilisant une technologie DVD et CD-RW. DVD+RW n'est pas soutenu par le Forum DVD (bien que les compagnies derrière ce format en soient membres), mais le Forum n'a pas l'autorité pour imposer un standards. Les lecteurs +RW reconnaîtront les DVD-ROM et les CD, probablement les DVD-R et DVD-RW, mais ne seront pas compatibles avec les DVD-RAM. En raison de différence de réfléctivité, de "linking sectors" et de gestion d'erreurs, les disques DVD+RW ne peuvent ête lus par les lecteurs de DVD-Vidéo ou DVD-ROM actuels, excpté pour les tous derniers modèles de Sony et Philips. Jusqu'ici aucun des des trois plus grands constructeurs d'unités DVD-ROM (Hitachi, Matsushita et Toshiba, partisan du DVD-RAM) n'ont annoncés de projets afin de rendre leurs lecteurs compatibles avec les disques +RW. Les disques +RW, qui ont une capacité de 2,8 Go (3 milliards d'octets) utilisent une technologie à changement d'état. Le DVD+RW ne sera en production qu'en milieu de 1999 au plus tôt, et ses concepteurs prétendaient en 1997 qu'il sera destiné aux données informatiques et non à la vidéo, mais des développements récents indique qu'il s'agissait d'un écran de fumée destiné à apaiser le Forum DVD et la concurrence. Les lecteurs de seconde génération +RW, prévus pour la mi-2000, permettront 4.7 milliards d'octets et pourront graver des CD-R et des CD-RW.
Le format DVD+RW est normalisé dans le document ECMA-274. 
Autres
D'autres concurrents potentiels au DVD-RAM : ASMO (anciennement MO7) qui a une capacité de 5 à 6 milliards d'octets et le MMVF (Multimedia Video Format) de NEC avec une capacité de 5,2 milliards d'octets et vise le grand publique. Les deux formats devraient lire les DVD-ROM (et les DVD-R) mais pas les DVD-RAM ou les DVD+RW de première génération. MMVF est similaire au DVD-RW et DVD+RW, utilisant deux substrats de 0.6 mm à changement de phase, l'enregistrement "land" et "groove" et un laser à 640 nm. 
  
[4.4] Pourquoi ne puis-je pas faire de capture d'écran d'un DVD-Vidéo ? Je n'obtiens que des écrans roses ou noirs.
La plupart des lecteurs de DVD sur PC, y compris ceux avec des décodeurs logiciels, utilise un "overlay" vidéo matériel pour insérer la vidéo directement dans le signal VGA. C'est un moyen effcace pour traiter la bande passante très importante de la vidéo. Certains systèmes, comme le décodeur Encore Dxr de Creative Labs, utilisent un cable "pass through" qui superpose la vidéo sur le signal analogique VGA une fois sorti de la carte vidéo. La superposition vidéo ("video overlay") utilise une technique appellée "colorkey" pour remplacer de manière sélective la couleur d'un pixel (souvent le magenta ou le noir) avec de la vidéo. A chaque apparition d'un pixel "colorkey" dans la vidéo du sytème, il est remplacé par de la vidéo du décodeur DVD. Ce processus se produit en aval de la mémoire vidéo de l'ordinateur, donc si vous faîtes une capture (qui sélectionne des picels de la RAM vidéo), tous ce que vous n'obtenez que des carrés remplis de la couleur "colorkey".
  
 
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 FAQ-DVD
 
 
[2] Le DVD et les autres standards
[2.1] Le DVD va-t-il remplacer le magnétoscope ?
Pas dans un avenir proche. L'enregistrement sur DVD ne concerne que les données informatiques, et pas encore les programmes vidéo (voir 1.14). Il s'écoulera un certain temps avant que les prix ne s'alignent sur ceux des magnétoscopes. Toutefois le DVD présente de nombreux avantage sur la VHS, y compris un coût de production des lecteurs et des disques plus avantageux (ce qui intéresse les constructeurs), il est donc bien possible, si le DVD est un succès commercial, qu'il remplace dans quinze ou vingt ans la VHS. 
[2.2] Le DVD va-t-il remplacer le CD-ROM ?
Oui. Certains constructeurs d'unités de CD-ROM prévoient de cesser leur production dans quelques années au profit des lecteurs de DVD-ROM. Du fait que ceux-ci peuvent lire les CD-ROM, la migration est bien sûr cohérente. 
[2.3] Les graveurs de CD-R peuvent-ils presser des DVD ?
Non. Le DVD utilise un laser de longueur d'onde plus courte pour permettre de plus petits pits sur des pistes plus resserrées. Le laser du DVD doit, de plus, avoir une focale plus fine et doit être efficace sur les deux couches. En fait, un CD-R pourrait ne pas être lu dans une unité DVD-ROM (Voir 2.4.3). Il est improbable qu'il y ait des mises à jour de graveur CD-R en DVD-R, car le coût supplémentaire couvrirait largement l'achat d'un lecteur DVD-R. 
  
[2.4] Le CD est-il compatible avec le DVD ?
La réponse en plusieurs questions / réponses. 
[Remarquez la différence qui est faite entre le DVD (au sens large) et DVD-ROM (données informatiques).] 
[2.4.1] Le CD audio (CD-DA) est-il compatible avec le DVD ?

Oui. Tous les lecteurs de DVD liront les CD (Red Book). Ce n'est pas imposé par les spécifications, mais jusqu'ici tous les constructeurs ont déclarés que leurs lecteurs de DVD sont compatibles avec les CD. En revanche, les lecteurs de CD ne peuvent pas lire les DVD. (Les pits sont plus petits, les pistes plus proches les unes des autres, la couche de données est à une distance de la surface différente, la modulation est autre, la méthode de correction d'erreurs est nouvelle etc.) 
  
[2.4.2] Le CD-ROM est-il compatible avec le DVD-ROM ?
Oui. Toutes les unités de DVD-ROM liront les CD-ROM (Yellow Book). Toutefois, les DVD-ROM ne peuvent être lus par les lecteurs de CD-ROM.  
[2.4.3] Le CD-R est-il compatible avec le DVD-ROM ?
Cela dépend. Le problème vient du fait que les CD-R (Orange Book Part II) sont « invisibles » pour la longueur d'onde du DVD car la teinte utilisée pour les  CD-R ne réfléchit pas le faisceau. Certaines unités de DVD-ROM de première génération, et de nombreux lecteurs de DVD-Vidéo, ne peuvent pas lire les CD-R. Pour les lire, il faudrait deux lasers avec des longueurs différentes : un laser pour les DVD et l'autre pour les CD et les CD-R. Des variations possibles :le "dual discrete optical pickup" de Sony avec deux systèmes optiques activées par switch ou encore "annular masked objective lens" de Samsung avec une voie optique partagée, le système de Toshiba similaire à ce-dernier utilise une lentille recouverte avec une enveloppe transparent uniquement au rayon à 650 nm, le "switchable objective lens assembly" de Hitachi, "l'holographic dual-focus lens" de Matsushita. Pour s'assurer de cette possibilité, vérifiez que le lecteur présente le label MultiRead, garant de la compatibilité avec les CD-R et CD-RW. 
Le développement de CD-R « Type II » compatible à la fois avec la longueur d'onde des CD et des DVD a été abandonné. 
Les unités DVD-ROM ne peuvent enregistrer quelque soit le média. Les unités DVD enregistrables (voir 4.3) ne peuvent enregistrer sur des CD-R, bien que les DVD-RAM et DVD+RW de deuxième génération pourrait bien en être capable. 
[2.4.4] Le CD-RW est-il compatible avec le DVD ?
Généralement. Le CD-RW (Orange Book Part III) a une différence de réflexion (reflectivity difference) moindre, nécessitant un nouveau contrôle automatique de gain (AGC). Les CD-RW ne peuvent pas être lus par la plupart des lecteurs de CD-ROM et de CD. Le label «  MultiRead » répond à ce problème, et certains constructeurs de DVD ont laissé entendre qu'ils utiliseraient ce label. De plus, l'optique des lecteurs de DVD-ROM et de DVD-Vidéo (même ceux de première génération) permet habituellement de lire des CD-RW. Les CD-RW ne présentent pas le problème de l'invisibilité des CD-R (Voir 2.4.3). 
Les unités DVD-ROM ne peuvent enregistrer quelque soit le média. Les unités DVD enregistrables (voir 4.3) ne peuvent enregistrer sur des CD-R, bien que les DVD-RAM et DVD+RW de deuxième génération pourrait bien en être capable. 
[2.4.5] Le Vidéo CD est-il compatible avec le DVD ?
Parfois. Ce n'est pas imposé par les spécifications du DVD, mais il est trivial de respecter le White Book car les décodeurs MPEG-2 peuvent décoder le MPEG-1 présent sur les Vidéo-CD. Les modèles de Panasonic, RCA, Samsung, et Sony lisent les Vidéo-CD. Les modèles japonais de Pioneer le peuvent également mais pas les modèles américains. Les lecteurs Toshiba plus ancien que les modèles 2100, 3107 et 3108 ne lisent pas les Vidéo-CD. 
La résolution des Vidéo-CD est de 352x288 pour le PAL et 352x240 pour le NTSC. La plupart des lecteurs de DVD gèrent cette différence en éliminant les lignes supplémentaires ou en ajoutant des lignes. A la lecture de Vidéo-CD, les lecteurs NTSC Panasonic et RCA éliminent apparemment les 48 lignes (17%) du bas. Ceux de Sony, NTSC aussi, réajustent les 288 lignes (pas de suppression). 
La plupart des ordinateurs munis de DVD-ROM seront capables de lire les Vidéo-CD (avec les logiciels adéquats), puisque cela est déjà possible avec les lecteurs de CD-ROM. 
Remarque : De nombreux VCD asiatiques ont deux pistes sonores, avec une placée sur le canal gauche et l'autre sur la droite. Ces deux pistes seront mélangées sur un système stéréo à moins de ne sélectionner qu'un canal avec la balance. 
  
[2.4.6] Le Super Video CD est-il compatible avec le DVD ?
Pas pour le môment. Le Super Video CD (SVCD) est une amélioration du Video CD, développé par un comité d'industriels et de chercheurs (soutenu par le gouvernement chinois), en partie pour éviter les royalties du DVD ainsi que pour fortement inciter une baisse de prix des lecteurs et des disques DVD en Chine. Les spécifications finals du SVCD ont été annoncées en septembre 1998, battant le China Video CD (CVD) de C-Cube et le HQ-VCD (des dévelopeurs du VCD original). En termes de qualité audio et vidéo, SVCD se positionne entre le Video CD et le DVD, utilisant un lecteur de CD 2x afin de supporter la vidéo MPEG-2 VBR à 2.2Mbps (résolution : 480x567) et un son deux canaux MPEG-2 Layer II. Tout comme pour le DVD, il est possible de superposer des sous-titres. Etant techniquement simple de rendre les lecteurs de DVD compatible avec les SVCD, cela sera rapidemant une réalité, mais probablement seulement sur les lecteurs distribué en Asie. Il est peu probable que le SVCD soit distribué dans d'autres pays que la Chine ou les pays avoisinant. 
Les lecteurs SVCD ne peuvent lire les DVD, car les lecteurs sont basé sur des lecteurs de CD. 
  
[2.4.7] Le Photo CD est-il compatible avec le DVD ?
Pas encore. Les Photo CD étant habituellement gravés sur des CD-R, ils risquent de souffrir du problème « d'invisibilité  ». (Voir 2.4.3). Hormis ce point, les lecteurs de DVD, équipés des puces correspondantes et de la licence de Kodak,  devraient lire des Photo-CD. Aucun constructeur n'a fait d'annonce concernant un tel lecteur. La plupart des lecteurs de DVD-ROM liront les Photo CD (à condition de pouvoir lire les CD-R) car il est trivial de faire en sorte de respecter les standards XA et multi-session de l'Orange Book. La question essentielle est en réalité : « Le système d'exploitation permet-il la lecture des Photo CD  ? », mais on s'éloigne des objectifs de cette FAQ. 
[2.4.8] Le CD-i est-il compatible avec le DVD ?
De manière générale, non. La plupart des lecteurs de DVD ne liront pas les CD-i (Green Book). Toutefois, Philips a annoncé un lecteur de DVD compatible avec les CD-i. Certains s'attendent à voir Philips créer un format « DVD-i » dans l'espoir d'insuffler un peu de vie dans l'univers du CD-i (et amortir quelque peu le milliard de dollars (environ) investit dans le CD-i). 
[2.4.9] Le Enhanced CD est-il compatible avec le DVD ?
Oui. Les lecteurs de DVD liront les programmes musicaux des CD Enhanced Music (Blue Book, CD Plus, CD Extra), et les lecteurs de DVD-ROM liront à la fois les programmes musicaux et les données. Les anciens formats (mixed mode, track zero) devraient aussi être compatibles, il pourrait toutefois y avoir un problème avec les pilotes de DVD-ROM se passant de la piste zéro (comme ce fut le cas avec des pilotes de CD-ROM récents). 
[2.4.10] Le CD+G est-il compatible avec le DVD ?
Seuls les lecteurs Pioneer DVL-9 et les modèles karaoké du même constructeur, DV-K800 et DVK-1000, sont compatibles avec les CD+G. La plupart des autres lecteurs de DVD-Vidéo ne seront probablement pas compatibles avec ce format quasi obsolète. Tous les lecteurs de DVD-ROM sont compatibles avec le CD+G, mais nécessitent un logiciel particulier. 
[2.4.11] Le CDV est-il compatible avec le DVD ?
Le CDV est, en quelque sorte, une étrange mixture de CD et de laserdisc. Une partie est composée de 20 minutes de son numérique que les lecteurs de CD et de DVD pourront lire. Une autre partie contient 5 minutes de vidéo analogique (et de son numérique) au format laserdisc, que seul peut lire un système compatible CDV. Toutefois, Pioneer et d'autres constructeurs ont annoncé des lecteurs pouvant lire des DVD, des laserdiscs et des CDV. 
[2.4.12] Le MP3 est-il compatible avec le DVD ?
Non. Le MP3 est le format de compression du son MPEG-1 Layer 3. Les spécifications du DVD-Vidéo n'imposent que le Layer 2. MP3 peut être lu sur un ordinateur équipé d'un lecteur de DVD-ROM, mais pas sur un lecteur de DVD-Vidéo. 
  
[2.4.13] Le HDCD est-il compatible avec le DVD ?
Oui. Le HDCD (high-definition compatible digital) de Pacific Microsonics est un procédé d'encodage qui améliore les CD audios leur permettant d'être lus par les lecteurs de CD et DVD standards (et prétendument 
avec un rendu meilleur que les CD) et offrant 4 bits de précision supplémentaires (20 bits au lieu de 16) lorsqu'ils sont lus sur des lecteurs de CD et DVD équipés de décodeurs HDCD. 
[2.5] Le laserdisc est-il compatible avec le DVD ?
Non. Les lecteurs de DVD standards ne peuvent lire les laserdiscs, tout comme on ne peut lire de DVD sur un lecteur de laserdisc standard. (Le laserdisc utilise de la vidéo analogique, le DVD de la vidéo numérique ; ce sont des formats très différents.) 
Toutefois, Pioneer et Samsung ont annoncé des lecteurs « combo » qui peuvent lire à la fois des laserdiscs et des DVD ( ainsi que CDV et CD). Denon aurait aussi un lecteur LD/DVD en préparation. 
[2.6] Le DVD va-t-il remplacer le laserdisc ? Dois-je acheter un lecteur de LD maintenant ou dois-je attendre le DVD et la HDTV ?
D'une certaine manière le DVD a déjà remplacé le laserdisc, dans le sens où c'est clairement le choix de consommateurs à la recherche de vidéo haute-qualité. Mais le laserdisc sera encore là pour très longtemps, car il est très largement implanté comme format pour vidéophile. Il y a plus de 9000 titres actuellement disponibles (en NTSC) et un total de plus de 35 000 titres tous standards confondus et plus de 7 millions de lecteurs dans le monde. Il faudra plusieurs années avant que le catalogue et le parc de DVD atteignent ce niveau. D'ici là, le laserdisc a l'avantage d'occuper déjà le terrain. Pioneer et d'autres constructeurs ont affirmé leur ferme intention de soutenir le laserdisc encore plusieurs années (le 7 septembre 1998, le Président de Pioneer Kaneo Ito a déclaré que sa société s'attend à trouver des produits liés au laserdisc encore un an et demi ou deux ans). Il n'y a aucune raison d'arrêter d'en acheter, surtout les titres rares qui ne pourraient paraître en DVD que dans un certain temps, voire jamais. Même les possesseurs de laserdisc équipés de DVD ne remplaceront pas leur collection rapidement. Le laserdisc et le DVD coexisteront encore longtemps. 
En décembre 1996, la FCC a validé le standard DTV pour les États-Unis. Les téléviseurs HDTV seront disponibles fin 1998 ou début 1999 mais à un prix exorbitant et ne deviendront accessibles qu'après quelques années. Le DVD sera encore meilleur sur ce type de téléviseur mais ne fournira pas de haute résolution. (Voir 2.9  pour davantage d'informations sur le DVD et le HDTV) 
La décision finale dépend de vous. Si vous souhaitez être parmi les premiers à adopter de nouvelles technologies, vous voudrez sans attendre acquérir un lecteur de DVD ou un « combo » LD/DVD. Si vous préférez attendre la baisse des prix du DVD et la chasse aux «  bugs » terminée, vous vous exposez alors à une longue attente. Si vous considérez que le DVD est une amélioration insuffisante et qu'il vaut mieux attendre la HDTV, l'attente sera encore plus longue. Entre temps vous pouvez profiter d'un catalogue de laserdisc déjà imposant. Ou vous pouvez économiser pour le DVD (qui sera à un prix modeste) ou la HDTV (qui sera très cher). Si vous vous équipez d'un lecteur de laserdisc et d'un système Home Cinéma (ampli multi-canaux et enceintes), ils seront toujours utiles au DVD et à la HDTV. La HDTV nécessitera un nouveau téléviseur, mais sera compatible avec le reste de votre installation. 
Malheureusement, le marché du laserdisc a été frappé de plein fouet par l'annonce du DVD. En 1996, les ventes de lecteurs de laserdisc ont chuté de 37% ; les ventes de magnétoscopes et de système HiFi et Home Cinéma étaient pourtant en progression. Le seul avantage de cette situation est la baisse des prix des laserdisc. (Les ventes de titres en laserdisc baissaient seulement de 2.5% en 1996.) 
[2.7] Comment se positionne le DVD face au laserdisc ?
•	Caractéristiques : Le DVD présente les mêmes fonctionnalités de bases qu'un laserdisc CLV («  scan », pause, et recherche) et CAV (arrêt sur image et ralenti) et en plus ajoute les possibilités de montage transparent, d'angles de vues multiples, de protection par code parental, de gestion par menus, d'interactivité etc. Certaines de ces fonctionnalités ne seront pas, dans un premier temps, systématiquement utilisées.


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