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applet Java 
Ecrite en langage Java, une mini-application envoyée par un site sur un ordinateur afin que celui-ci renvoie à son tour des données vers le site de départ. Utilisé pour cerner les centres d'intérêt des usagers.
Archie 
Service de recherche de fichiers dans les archives de l'internet.
ASCII (American standard code for information interchange) 
Standard minimal de 128 caractères alphanumériques, le code ASCII est un système de codage binaire composé de sept caractères (ex. : A=1000001, B=1000010, etc.). Les alphabets européens sont représentés par des versions étendues de l'ASCII codées sur huit caractères, qui prennent en compte les caractères accentués. L'extension pour le français est la norme ISO-Latin-1.
asynchrone 
Définit un mode de communication permettant la non-simultanéité de l'émission et de la réception des informations (par exemple le courrier électronique), contrairement à une communication synchrone qui exige la simultanéité de l'émission et de la réception (par exemple le téléphone).
ATM (asynchronous transfer mode) 
Protocole pouvant transmettre tout type d'information, y compris la voix et la vidéo. Ce protocole permet l'acheminement indépendant de l'information fragmentée en de multiples paquets et reconstituée à l'arrivée pour recomposer l'information initiale, le tout dans un délai infime.
autoroute de l'information 
Ensemble des réseaux de communication par câble ou satellite permettant la transmission rapide des données. Inclut la télématique, la télévision numérique et les câblages informatiques.
bande passante 
Désigne le débit supporté par une ligne de communication.
BBS (bulletin board services) 
Système informatisé reliant les utilisateurs d'un même groupe d'intérêt (association, entreprise, organisme public, etc.) pour des annonces, discussions, messages, programmes, ainsi que pour le transfert de fichiers, le courrier électronique, la visioconférence, etc. Appelé babillard par les Québécois.
binaire 
Langage de base composé de deux éléments (0 et 1), utilisé en informatique pour stocker, afficher et transmettre des données.
bit 
Acronyme de : binary digit. Chiffre binaire (0 ou 1) qui est à la base du système numérique.
CD (compact disc) 
Disque optique permettant l'enregistrement des sons (CD-audio), des données (CD-Rom) ou des vidéos (CD-vidéo).
CD-I (compact disc interactive) 
Disque permettant de stocker un ensemble de textes, images, documents sonores et vidéos. Consultable sur un téléviseur au moyen d'un lecteur connecté au poste.
CD-Rom (compact disc - read only memory) 
Apparu en 1984, le CD-Rom est un disque compact stockant des textes, images et sons sous forme numérisée. Sa grande capacité de stockage (650 méga-octets, soit l'équivalent de 600 disquettes informatiques, 200.000 pages de texte ou 1.000 photos de définition moyenne) convient particulièrement pour les encyclopédies, les catalogues, les manuels techniques et les jeux. Le CD-Rom est le premier outil multimédia grand public permettant l'application des techniques numériques à l'image. Son successeur est le DVD (digital versatile disc). CD-Rom est souvent orthographié : cédérom par les francophones.
client 
Dans l'architecture client/serveur, le terme « client » désigne la machine permettant d'utiliser les données ou les programmes disponibles sur un serveur.
commerce électronique 
Ensemble des transactions à distance faites sur le réseau, avec paiement électronique sécurisé.
cookie 
Chaîne de caractères formée d'un numéro d'identification attribué par le site à un usager. Permet de noter ses visites et de définir ainsi ses centres d'intérêt : sports, voyages, musique, livres, etc. L'existence de cookies étant signalée par les versions récentes des navigateurs, l'internaute peut les désactiver s'il le souhaite.
courrier électronique 
Ensemble des messages électroniques transitant via l'internet, dont il représente 60% du trafic. Appelé aussi courriel par les Québécois puis par une partie de la communauté francophone.
disque dur 
Support de stockage des données dans un ordinateur. La capacité de stockage se mesure en giga-octets (Go).
disquette 
Support magnétique permettant de transférer ou de conserver des données informatiques.
DOS (disk operating system) 
Système permettant à l'ordinateur de stocker des informations sur le disque dur et de communiquer avec ses périphériques : écran, clavier, souris, imprimante, etc.
DTD (definition of type of document) 
Description de la structure logique d'un document, correspondant le plus souvent à un format MARC (machine-readable cataloguing).
DVD (digital versatile disc) 
Apparu en 1996, le DVD fait suite au CD-Rom pour stocker textes, sons et images sur un support optique. En 1998, le DVD possède une capacité de stockage de 4,7 Go (giga-octets), soit huit fois plus qu'un CD-Rom. Cette capacité devrait être multipliée par quatre dans les prochaines années. Un film de deux heures peut être stocké sur une face de DVD. Ses différentes versions : DVD-vidéo, DVD-Rom, DVD-Ram (ré-enregistrable une fois) et DVD-E (ré-enregistrable plusieurs fois) vont progressivement remplacer les cassettes audio et vidéo.
EDI (échange de données informatisées) 
Utilisé dans le commerce électronique inter-entreprises.
en ligne 
Définit les services et réseaux accessibles par un ordinateur muni d'un modem ou par une liaison télématique.
Ethernet 
Type de réseau local permettant par exemple de relier entre eux les différents services d'une même université ou d'une même entreprise.
Extranet 
Réseau propre à une communauté et fonctionnant selon le même principe que l'internet. Permet par exemple de relier tous les clients d'une entreprise.
E-zine 
Magazine électronique.
FAQ (foire aux questions) 
Souvent présente sur un site, la liste des questions les plus fréquentes posées par les usagers et les réponses-types, afin de dépanner les nouveaux arrivants.
favori 
Généralement intégré à un navigateur, le bouton Favoris permet de constituer un répertoire d'URL (uniform resource locators). Au lieu de taper l'URL, souvent longue et compliquée, il suffit de sélectionner le favori correspondant au site recherché. Appelé également signet.
fibre optique 
Support autorisant le transfert de données numériques à très haut débit et sur de longues distances. Les câbles en fibres optiques remplacent peu à peu les traditionnels câbles en métal pour la transmission des données, en attendant d'autres solutions.
firewall 
Dispositif de protection d'un site à accès autorisé, avec mot de passe obligatoire pour avoir accès à ce site.
forum de discussion 
Lieu d'échange et de discussion sur l'internet par le biais du courrier électronique. En général thématique, un forum est lisible par tous et chacun peut y participer.
fournisseur d'accès à internet (FAI) 
Entreprise louant des connexions internet. Les entreprises les plus connues en France sont Wanadoo (France Télécom), Club-Internet (Groupe Hachette), AOL (filiale de America Online), CompuServe, etc. Appelé aussi fournisseur de services internet.
freeware 
Logiciel gratuit. Selon les cas, il appartient au domaine public ou bien son auteur en conserve le copyright. Ne pas confondre avec shareware.
FTP (file transfer protocol) 
Protocole définissant les règles de transfert de fichiers entre deux ordinateurs.
gopher 
Système d'information à base de menus textuels à plusieurs niveaux. Dans le cas d'une bibliothèque numérique, il s'agit d'un ensemble d'index permettant l'accès au texte intégral des documents.
hacker 
Pirate informatique.
hors ligne 
Définit les applications disponibles en utilisation locale, comme les CD-Rom.
HTML (hypertext markup language) 
Langage de marquage utilisé pour créer ou mettre en forme des documents destinés au web. Permet l'inclusion d'images, de sons et de liens hypertextes ou hypermédias vers d'autres documents.
HTTP (hypertext transfer protocol) 
Protocole de transfert des pages hypertextes sur le web.
hyperlien 
Un hyperlien peut être un lien hypertexte ou un lien hypermédia.
hypermédia 
Système utilisant des liens - appelés liens hypermédias - permettant l'accès à des graphiques, des documents sonores, des images animées et des vidéos, de la même façon que les liens hypertextes relient entre eux des textes ou des images.
hypertexte 
Principe de base du web. Système permettant de relier entre eux des documents textuels et visuels au moyen de liens hypertextes qui, d'un simple clic de souris, permettent l'accès à un autre document. Les liens hypertextes sont en général soulignés et d'une couleur différente de celle du texte.
infographie 
Procédé de création d'images assistée par ordinateur.
inforoute 
Synonyme d'autoroute de l'information.
interactivité 
Mode de communication basé sur un dialogue individualisé permettant à l'utilisateur de décider lui-même du déroulement des opérations.
interface 
Partie du programme permettant la communication entre l'utilisateur et son ordinateur, par exemple les textes (interface texte) et les images (interface graphique). Définit aussi l'élément permettant la communication entre deux appareils, par exemple un ordinateur et un modem.
internet 
Réseau des réseaux qui, outre le World Wide Web, inclut de nombreux services : courrier électronique, forums de discussion, IRC (internet relay chat), TCP (transmission control protocol), gopher, Telnet, visioconférence, etc.
intranet 
Réseau interne propre à un organisme utilisant la technologie de l'internet (protocoles et applications TCP/IP).
IP (internet protocol) 
Protocole de communication permettant d'acheminer les données en mode paquet non connecté.
IRC (internet relay chat) 
Système de discussion sur le réseau en mode texte et en temps réel entre deux ou plusieurs utilisateurs.
ISBD (international standard bibliographical description) 
Norme pour la partie descriptive d'une notice bibliographique. Cette norme est conçue en 1971 par l'IFLA (International Federation of Library Associations and Institutions) pour l'échange de données bibliographiques à l'échelon international.
ISBN (international standard book number) 
Code numérique formé de dix chiffres se présentant avec tirets ou espaces (ex. : 2-13-048352-6 pour l'ouvrage d'Arnaud Dufour : Le cybermarketing. Paris : PUF, 1997. Coll. Que sais-je ?, n° 3186). Ce code regroupe lui-même quatre codes : code du pays de publication (2 pour la France), code de l'éditeur (13 pour les PUF), code propre au livre (048352 pour ce titre chez cet éditeur, dans cette collection et pour cette édition), chiffre de contrôle (6 pour ce livre). L'ISBN est propre à chaque livre et permet donc de l'identifier dans le monde entier pour commande ou classement.
ISO (International Organization for Standardization) 
Sigle de l'Organisation internationale de normalisation, qui définit les normes permettant de faciliter l'échange international de biens et de services et de développer la coopération internationale dans les domaines économique, intellectuel, scientifique et technologique. Par exemple, la norme ISO-Latin-1 définit l'extension des caractères ASCII (American standard code for information interchange) pour le français.
ISSN (international standard serial number) 
Code numérique de 8 chiffres permettant d'identifier toute publication en série (périodique, série, collection, etc.). Il se présente sous forme de deux groupes de quatre chiffres séparés par un tiret. Le huitième caractère est un caractère de contrôle.
JACKPHY 
Sigle représentant l'ensemble des langues suivantes : japonais, arabe, chinois, coréen (Korean en anglais), persan, hébreu et yiddish. Terme utilisé dans la description de catalogues pour indiquer que ceux-ci comprennent les notices translittérées de documents publiés dans ces langues.
Java 
Langage de programmation HTML lancé par Sun en 1995 pour créer des images animées sur le web, ce qui a rendu les pages web beaucoup plus vivantes que par le passé, mais n'a pas toujours contribué à leur clarté.
LAN (local area network) 
Réseau local permettant l'interconnexion d'équipements informatiques dans un rayon inférieur au kilomètre.
laser 
Acronyme de : light amplification by stimulated emission of radiations.
Linux 
Contraction de Linus, prénom du créateur de Linux (Linus Torvalds), et d'Unix, système d'exploitation dont Linux est dérivé. Ce système d'exploitation pour micro-ordinateur est un logiciel libre diffusé gratuitement sur l'internet, ce qui permet à tout programmeur de participer à son élaboration. D'abord utilisé par les développeurs de logiciels, les universités et les fournisseurs d'accès à l'internet, il gagne maintenant les entreprises et le grand public.
liste de diffusion 
Basée sur le principe du courrier électronique, la liste de diffusion permet la transmission d'un message à tous les adhérents de cette liste.
MARC (machine-readable cataloguing) 
Format international permettant le stockage et l'échange informatique de notices bibliographiques.
mémoire 
Voir RAM (random-access memory) et ROM (read-only memory).
messagerie électronique 
Service permettant d'obtenir une adresse électronique pour pouvoir envoyer et recevoir du courrier électronique. De nombreuses messageries sont gratuites, par exemple celles proposées par Hotmail ou Yahoo!
microprocesseur 
Puce électronique contenant un circuit électronique miniature.
minitel 
Développé par France Télécom, un terminal d'accès au réseau vidéotex français (Télétel). Très largement utilisé, il préfigure les avantages de l'internet. De nombreux serveurs minitel ont maintenant leur correspondant sur le web, avec les avantages qu'offrent la consultation au prix d'une communication téléphonique locale, la facilité de navigation et le multimédia.
modem 
Acronyme de : modulateur-démodulateur. Appareil permettant de relier l'ordinateur au réseau internet par le biais de la ligne téléphonique. La transmission des données informatiques est possible grâce à la conversion des signaux numériques en signaux analogiques, et inversement. La vitesse d'un modem s'exprime en kilobits par seconde (Kbps).
moniteur 
Synonyme d'écran.
moteur de recherche 
Recense tous les sites web et les classe par thèmes pour permettre aux utilisateurs de trouver l'information recherchée. Le plus utilisé est AltaVista. Le classement est entièrement automatisé (contrairement aux annuaires et répertoires, dont le classement est effectué par l'être humain).
MS DOS (Microsoft disc operating system) 
Système d'exploitation produit par Microsoft pour les micro-ordinateurs.
multimédia 
Outil de communication informatique (ordinateur, logiciel, disque compact, serveur, etc.) combinant des composantes audio et vidéo utilisant texte, son et graphiques au moyen de séquences fixes et animées. Les applications multimédias sont censées accroître l'interactivité entre l'ordinateur et l'utilisateur.
navigateur 
Logiciel permettant de rechercher et de visualiser l'information sur le web (sites ou pages web), à partir du nom du site ou d'un sujet donné. Les deux principaux navigateurs sont le Netscape Navigator et le Microsoft Explorer. Appelé aussi logiciel de navigation, ou encore butineur ou fureteur par les Québécois.
net 
Abréviation utilisée pour l'internet.
nétiquette
Etiquette de l'internet, rassemblant les règles d'éthique et de savoir-vivre appliquées sur le réseau, notamment pour le courrier électronique, les forums de discussion et les sites web. 
nom de domaine 
Partie centrale d'une URL (uniform resource locator), qui permet d'identifier et de situer le serveur. Par exemple, le nom de domaine du quotidien Libération est www.liberation.fr.
numérique 
Définit un signal à valeur définie (par exemple 0 ou 1 en langage binaire).
numérisation 
Codification d'informations (textes, images et sons) en langage généralement binaire (0 ou 1) pour permettre leur traitement par voie informatique. La numérisation permet de créer, enregistrer, combiner, stocker, rechercher, recevoir et transmettre des informations par des moyens simples et rapides. Des procédés similaires permettent le traitement de l'écriture, de la musique et du cinéma alors que, par le passé, ce traitement était assuré par des procédés différents sur des supports différents (papier pour l'écriture, bande magnétique pour la musique et celluloïd pour le cinéma).
OCR (optical character recognition) 
La reconnaissance optique de caractères est une technologie permettant de reconstituer un texte d'après son image numérisée.
OPAC (online public access catalogue) 
Catalogue en ligne d'accès public. Sigle utilisé pour les catalogues de bibliothèques.
PAO (publication assistée par ordinateur) 
La PAO a remplacé l'imprimerie traditionnelle, avec des coûts moindres et un travail plus rapide.
paquet 
Ensemble de données.
PC (personal computer) 
Ordinateur personnel.
PDF (portable document format) 
Format de fichier créé par Adobe pour conserver le contenu formaté d'un document électronique, avec mise en page, graphiques et styles.
PGP (pretty good privacy) 
Cryptage avec une clé de 128 bits offrant un niveau maximal de sécurité.
pixel 
Abrégé de : picture element. Représenté sous forme numérique, le pixel est le point constitutif d'une image sur l'écran d'un ordinateur ou d'un téléviseur. Le nombre de pixels définit la qualité de résolution de l'écran.
portail 
Point d'entrée sur le web proposant informations du jour, météo, couverture d'événements en direct, guides de tourisme multimédias, moteur de recherche, etc.
processeur 
Cerveau interne de l'ordinateur. La vitesse du processeur est mesurée en mégahertz (MHz).
protocole 
Un protocole est une norme régissant les échanges de données entre ordinateurs (TCP/IP, FTP, etc.) par les systèmes de télécommunications. Les normes ISO (Organisation internationale de normalisation) et UIT (Union internationale des télécommunications) permettent une normalisation des protocoles à l'échelon international.
pull 
Démarche de l'usager qui va chercher lui-même sur le web les informations dont il a besoin, par opposition au « push », une technologie qui lui permet d'avoir à sa disposition des informations automatiquement sélectionnées.
push 
Apparue en 1996, une technologie permettant d'envoyer vers l'usager des informations automatiquement sélectionnées en fonction de ses centres d'intérêt.
RAM (random-access memory) 
Mémoire vive de l'ordinateur, qui fonctionne uniquement lorsque celui-ci est allumé, contrairement à la ROM (read-only memory), qui permet le stockage des informations que l'ordinateur soit allumé ou éteint. La RAM se mesure en méga-octets (Mo).
RAMEAU 
Acronyme de : répertoire d'autorités matières encyclopédique et alphabétique unifié. Utilisé à la Bibliothèque nationale de France (BnF) et dans nombre de bibliothèques françaises, cet ensemble hiérarchisé de mots-clés permet d'indexer les documents d'une bibliothèque afin de pouvoir ensuite les retrouver par sujets.
réalité virtuelle 
Juxtaposition de deux mots antinomiques qui peut paraître surprenante, mais qui définit une technologie permettant d'offrir à l'utilisateur un environnement virtuel en trois dimensions (3D).
réseau 
Système permettant la communication de données entre des ordinateurs reliés entre eux, soit localement au moyen de câbles spéciaux, soit en longue distance par le réseau téléphonique ou les câbles en fibres optiques.
RNIS (réseau numérique à intégration de services) 
Un réseau fonctionnant via la ligne téléphonique classique pour procurer un service simultané de téléphonie, télécopie et transfert de données (transmises avec un débit de 64.000 ou 128.000 octets par seconde). Le réseau RNIS français est Numéris.
ROM (read-only memory) 
Mémoire morte de l'ordinateur permettant de stocker des informations qui, contrairement à la RAM (random-access memory), ne sont pas perdues lorsque l'ordinateur est éteint.
RTF (rich text format) 
Un format de fichier destiné à faciliter l'échange de documents entre différents traitements de texte, tout en conservant le formatage du texte (polices de caractère, paragraphes, etc.) lors du transfert d'un programme à un autre.
script CGI (common gateway interface) 
Série d'instructions permettant d'identifier la visite d'un site par un usager.
serveur 
Dans l'architecture client/serveur, il s'agit de l'ordinateur servant de distributeur d'informations consultables à distance au moyen d'autres ordinateurs appelés clients.
serveur proxy 
Serveur hébergeant un double du site pour diminuer le temps d'accès à ce site dans une zone géographique donnée.
serveur web 
Serveur stockant les informations affichées par le site web.
SGML (standard generalized markup language) 
Standard identifiant la structure d'un texte, avec ses caractéristiques telles que : en-têtes, colonnes, marges ou tableaux, pour que cette structure puisse être utilisée lors d'applications telles que la PAO (publication assistée par ordinateur) ou l'édition électronique. Le SGML comprend les langages HTML (hypertext markup language) et VRML (virtual reality markup language).
shareware 
Logiciel téléchargeable qui doit être acheté à l'auteur, le plus souvent à prix modique, après une période d'essai gratuite. Ce logiciel est soumis au copyright. Ne pas confondre avec freeware.
site web 
Défini par une URL (uniform resource locator), un site web est un ensemble de textes, images et sons reliés entre eux par des liens hypertextes (ou hypermédias) permettant d'aller d'un document à l'autre.
smiley 
Marque typographique permettant à l'usager d'exprimer son humeur. Par exemple un sourire se définit ainsi « :-) » (en penchant la tête vers la gauche, on voit deux yeux, un nez et une bouche qui sourit).
spam 
Message électronique non sollicité.
spamming 
Envoi de spams. Le spamming est interdit par la nétiquette. L'Etat de Washington est le premier à proposer une loi anti-spamming en avril 1998.
système d'exploitation 
Programme de base permettant à l'ordinateur de contrôler ses périphériques (écran, clavier, souris, imprimante, etc.), d'organiser le système de classement de son disque dur et de faire fonctionner d'autres programmes. Linux, MS-DOS, Windows et Mac OS par exemple sont des systèmes d'exploitation pour micro-ordinateur.
TCP (transmission control protocol) 
Protocole de transmission des données utilisé dans la plupart des applications internet.
TCP/IP (transmission control protocol / internet protocol) 
Ensemble de protocoles à la base de tout échange de données sur l'internet.
téléchargement 
Transfert d'un fichier à distance, soit par téléchargement à partir d'un site, soit par FTP (file transfer protocol).
télétravail 
Travail exercé à distance en utilisant les modes de communication électroniques, informatiques et télématiques (ordinateur, réseau informatique, téléphone, fax, internet, etc.).
Telnet 
Abrégé de : terminal network protocol. Protocole d'application définissant l'émulation d'un terminal sur l'internet, à savoir la possibilité d'ouvrir une connexion avec un serveur à distance comme si on le consultait sur place. La consultation à distance d'un catalogue de bibliothèque se fait souvent par Telnet, qui a rendu et rend encore d'énormes services en attendant une consultation directe sur le web, plus simple et plus conviviale.
terminal 
Ordinateur simple et de coût réduit formé d'un microprocesseur, d'une puce RAM (random-access memory) et d'un moniteur, et permettant de se connecter à un ordinateur ou à un serveur extérieur.
toile 
Terme souvent utilisé par les francophones pour désigner le web.
Transpac 
Réseau de France Télécom pour la transmission numérique de données.
TTA (technique de transfert asynchrone) 
Correspond à l'anglais ATM (asynchronous tranfer mode). Le terme français est peu utilisé.
TVA (taxe à la valeur ajoutée) 
Taxe payée par les entreprises à chaque stade du circuit économique.
Unix 
Système d'exploitation multi-tâche et multi-utilisateur très répandu dans le domaine scientifique.
URL (uniform resource locator) 
Adresse d'un site web ou d'une page web. Prenons par exemple l'URL du Cahier Multimédia de Libération, qui est : http://www.liberation.fr/multi/index.php. Elle se compose d'un protocole : http://, suivi du nom du serveur du journal Libération : www.liberation.fr/, puis du nom du dossier Multimédia : multi/, et enfin du fichier de la page d'accueil : index.php. Le plus souvent, le protocole : http:// est ajouté automatiquement par les logiciels de navigation.
URN (uniform resource name) 
L'URN pourrait peut-être remplacer l'URL (uniform resource locator), l'avantage étant que l'adresse serait liée au document et non plus au site qui héberge ce document. Elle serait donc plus fiable que l'URL et éviterait à l'usager le découragement devant tous ces documents devenus indisponibles parce que l'URL a changé.
Usenet 
Acronyme de : users' network. Le plus grand BBS (bulletin board system) du monde, composé de listes de messages électroniques et de sujets abordés dans des forums de discussion. Son but est de constituer une plate-forme pour l'échange d'informations entre usagers. Non censuré, Usenet est gouverné par les règles de la nétiquette.
virtuel 
Par opposition à : réel, concerne tout ce qui est créé de manière artificielle grâce aux techniques informatiques, par exemple l'univers virtuel.
visioconférence 
Conférence à distance au moyen d'un réseau d'ordinateurs équipés de caméras.
VRML (virtual reality modeling language) 
Langage permettant de créer sur une page web des images en 3 dimensions (3D), espaces virtuels dans lesquels l'usager peut se déplacer.
W3 
Abréviation de : World Wide Web.
WAIS (wide area information service) 
Système permettant de classer, chercher et récupérer des documents dans des bases de données interrogeables au moyen de mots-clés. Après avoir été indépendant, le WAIS est racheté par America Online.
web 
Terme usuel qui a remplacé le nom d'origine, le Word Wide Web.
webmestre 
Responsable d'un site web et/ou administrateur de système d'un serveur web.
Windows 98 
Le système d'exploitation de Microsoft pour les PC, qui remplace Windows 95. Son correspondant professionnel pour serveurs et stations de travail est Windows NT.
World Wide Web (WWW) 
Développé en 1989-90 par Tim Berners-Lee au CERN (Laboratoire européen pour la physique des particules) à Genève, le World Wide Web, sous-ensemble de l'internet, est un système regroupant au niveau mondial des serveurs reliés entre eux par le biais de l'hypertexte.
Z39.50 
De plus en plus utilisé pour les catalogues de bibliothèques, ce protocole standard de communication permet de rechercher et récupérer des informations bibliographiques dans des bases de données en ligne.
 
AC3	Audio Coding 3 pour codage audio de 3ème génération. Technique de codage spécifique à l'audio développée par "Dolby Laboratories" pour le stockage et la transmission d'un ou plusieurs canaux audio. L'AC3 est cependant plus connu sous le nom de Dolby Digital.
AE (mode)	Initiales de Automatic Exposure. Système équipant certains caméscopes et appareils photo régissant automatiquement l'exposition, avec variation du diaphragme, du gain ou de la vitesse suivant la luminosité de la scène filmée ou photographiée.
ANTI-ALIASING	Lissage des contours d'images informatiques visant à supprimer l'effet d'escalier dû au grossissement des pixels. L'anti-aliasing est notamment nécessaire en matière de titrage.
ATRAC	Adaptive TRansform Acoustic Coding. Technologie de compression du son utilisée sur le MiniDisc. L'ATRAC prend en compte les effets psycho-acoustiques et notamment l'effet de masque en ne reproduisant que ce que l'oreille est censée percevoir dans l'image sonore de la musique. 
AUTO-REVERS	Enchaînement automatique des deux faces d'une cassette audio. Fonctionne en lecture et, plus rarement, en enregistrement.
AUTOFOCUS	Système de mise au point automatique s'effectuant par détection du contraste maximal à travers l'objectif (TCL= Through Camera Lens) ou par émission d'un faisceau infrarouge réfléchi par le sujet.
AZIMU	Angle de positionnement du tambour qui supporte les têtes de lecture et d'enregistrement.
 B
 BALANCE DES BLANCS	Equilibre colorimétrique d'une image vidéo. Ce procédé élimine toute dominante chromatique, pour un rendu fidèle des couleurs. Doit être effectué à chaque changement d'éclairage.
BALAYAGE 100HZ :	Technique permettant de limiter le scintillement de l'image d'un téléviseur en doublant la fréquence de balayage de chaque image. Cette technologie permet à l'image de gagner en stabilité.
BALAYAGE PROGRESSIF (ou PROGRESSIVE SCAN) :	Cette technologie permet d'obtenir un balayage en "continu" d'un bout à l'autre de l'écran. Ce système procure une image extrêmement nette, on obtient la suppression de l'effet de "lignes" visible dès que la taille de l'écran augmente et une stabilité de l'image plus intéressante.
BANANE :	Connecteur rond qui permet de connecter des câbles de forte section sur des amplificateurs ou des enceintes.
BANDE PASSANTE	Gamme de fréquences qu'un système électronique peut utiliser sans distorsions pour restituer une image ou un son.
BASS-REFLEX :	Type d'enceinte disposant d'un évent. Ces enceintes bass-reflex offrent un meilleur rendement que les enceintes closes et descendent dans le grave avec plus de niveau. 
BI-AMPLIFICATION :	Méthode de câblage consistant à utiliser 2 amplificateurs pour une même enceinte, elle permet d'adapter la puissance et la qualité des amplificateurs aux besoins de chaque partie du spectre. La bi-amplification nécessite un filtre actif qui sépare les fréquences au niveau ligne. Elle permet un meilleur contrôle de la phase.
BI-CABLAGE :	Il s'agit de l'utilisation de deux câbles de liaison différents entre l'amplificateur et les entrées séparées de l'enceinte : médium-grave d'une part, aigu de l'autre pour les enceintes 2 voies ou grave d'un côté et médium-aigu de l'autre pour les enceintes 3 voies. L'avantage de l'alimentation séparée des HP est une meilleure définition.
BNC	Initiales de Bayonet Neil Concelman. Connecteur utilisé pour faire transiter un signal audio ou vidéo via un câble coaxial, et se verrouillera par rotation d'un quart de tour. 
BOOMER : 	Haut-parleur généralement de grand diamètre permettant la reproduction de la plage de fréquence grave. 
BRIGHTNESS :	Réglage de la luminosité ou de la brillance d'une image sur un écran TV.
BRUIT :	Le bruit est un mélange complexe de sons de fréquences quelconques, il est un phénomène aléatoire. Les acousticiens utilisent couramment dans leurs essais et mesures le bruit blanc et le bruit rose.
BY-PASS :	Ce type d'entrée permet une connexion directe sans aucun traitement du signal.
 C
 CAG :	Le Contrôle Automatique de Gain permet de maintenir automatiquement l'amplitude du signal son ( CGA audio ) ou du signal image ( CGA vidéo ) à un niveau compatible avec son exploitation ou son enregistrement.
CAISSON DE GRAVE ( ou SUBWOOFER):	Enceinte spécialisée dans la reproduction de l'extrême grave, généralement en dessous de 100 Hz. Le caisson de grave permet de compenser les limites des enceintes compactes qui ne peuvent produire une forte pression acoustique en dessous de 100 Hz.
CAN :	Le Convertisseur Analogique Numérique transforme le signal modulé analogique en signal numérique.
CAPTEUR :	Composant électronique mesurant une information physique pour la convertir en signal électrique.
CCD (capteur) :	Initiales de l'Anglais CHARGE COUPLED DEVICE. Dispositif à Transfert de Charges
CD-R :	En informatique le CD inscriptible a une capacité de 650 Mo et ne peut être gravé qu'une seule fois. Il est utilisé pour enregistrer des données informatique ainsi que de la musique, des photos… Utilisation obligatoire d'un micro-ordinateur. 
CD-RW :	Même principe que le CD-R sauf que l'on peut réinscrire dessus jusqu'à 1000 fois. Il faut savoir que les CD-RW ne sont lisibles sur toute les platines CD et DVD.
CHROMINANCE (C):	Ensemble des signaux qui définissent les couleurs d'une image à partir des trois primaires le rouge, le vert et le bleu, par opposition à la luminance qui ne concerne que les informations relatives à l'image noire et blanc. 
CINCH (ou RCA) :	Type de fiche coaxiale utilisée en hi-fi et en vidéo pour relier les appareils entre eux. Il existe différentes qualités de fiches et de câbles. La qualité de ces prises cinch est importante pour la conservation de l'intégrité du signal lors de la transition de celui-ci entre deux appareils.
CLASSE A :	Ce mode que l'on retrouve sur certains amplificateurs se caractérise par une très faible distorsion et un rendement très faible qui limite la puissance de sortie au profit de la qualité. Un ampli Classe A possède la meilleure linéarité, la distorsion la plus basse et reproduit de façon très fidèle le son. Les amplis en classe A dépassent rarement 50 watts par canal, chauffent et consomment énormément . 
CLASSE AB :	Les amplis classe AB représentent l'énorme majorité des amplificateurs autant en Hi-Fi haut de gamme, home cinéma que les minichaînes. A faible volume, ils fonctionnent de manière comparable à une classe A et dès que le volume augmente, ils basculent en classe B. Ils utilisent moins de puissance que les classes A, chauffent moins, et peuvent s'en rapprocher à l'écoute. Il existe également d'autres modes d'amplifications : CLASSE B, C , D , G, H. 
CNA :	Le Convertisseur Numérique Analogique transforme un signal numérique en signal analogique.
COAXIAL :	Câble ayant un conducteur central entouré d'un écran conducteur partageant le même axe. Un câble coaxial est composé d'un fil conducteur principal et central isolé (point chaud), d'une tresse ou blindage, également conductrice (masse. L'impédance du coaxial est généralement de 75 ohms.
COLORIMETRIE :	Science de l'étude et de la caractérisation des couleurs. Désigne par extension les caractéristiques de l'image vidéo couleur, qu'on peut contrôler (vecteurscope) ou modifier (correcteur couleur).
COMPOSITE (ou CVBS):	Signal unique qui regroupe les composantes par un codage vidéo mélangeant les différentes composantes du signal.
CONTRASTE :	Différence de luminance entre les parties les plus claires et les plus sombres d'une image.
CORRECTION DE TRAPEZE :	Cette fonction permet de corriger les parallèles de l'image. Cette fonction est extrêmement utile car il est rare que le projecteur vidéo soit exactement aligné dans les deux axes (horizontal et vertical) de l'écran. 
 D
 D.SUB :	Type de connecteur normalisé à 9 broches permettant, soit le transport du signal vidéo en composantes RVB, soit les communications informatiques selon le protocole RS-422. Il existe également un type de connecteur D-Sub à 25 broches utilisé pour les liaison ordinateur et numérique par plusieurs conducteurs en parallèle.
DAT :	Initiales de Digital Audio Tape. Système d'enregistrement numérique (32, 44.1 ou 48 KhZ, 16 bits, 2 canaux) sur bande magnétiques initialement prévu pour l'enregistrement audio/son numérique (pro).Ce support a été détourné de sa fonction première pour devenir un support d'archivage informatique.
DECIBEL :	Unité de mesure du rapport logarithmique entre deux grandeurs de même nature, couramment utilisées en électronique pour exprimer le gain d'un système de traitement de l'information, par exemple : le rapport signal/bruit audio ou vidéo est toujours exprimé en db.
DIAPHONIE :	Perturbation de l'un des canaux stéréophoniques par le canal voisin. Le rapport du signal parasite au signal d'origine, que l'on mesure en décibels, donne le taux de diaphonie.
DIAPHRAGME :	Dispositif qui modifie la quantité de lumière qui pénètre sur le capteur d'un caméscope grâce à un système de lamelles mobiles. L'ouverture du diaphragme s'exprime en un certain nombre de valeurs chiffrées, la plus grande ouverture disponible descend rarement en-dessous de 1,4 ou 1,6. A chaque fois que la valeur croit (par exemple 2,8 - 4 - 5,6 , etc...) la quantité de lumière reçue sur le capteur diminue de moitié. On distingue deux modes principaux d'exploitation du diaphragme: soit en automatique, soit en manuel. C'est dans ce dernier cas que l'utilisateur a le plus de possibilité créatives. Sur un caméscope le diaphragme est toujours nommé "iris".
DIN : 	Initiales de Deutsch Industry Norm. Prise audio stéréo à 5 broches disposant d'entrées et de sorties.
DISTORSION :	Altération du signal, provoquée par un élément de la chaîne de transmission. Elle est de plusieurs ordres : les distorsions harmoniques et d'intermodulation sont les principales altérations rencontrées en Haute-Fidélité.
DMD (ou DLP) :	Procédé de projection vidéo ou rétro-projection par la technologie de micro-miroirs à très haut rendement lumineux, développé par Texas Instrument.
DNR :	Initiales de Digital Noise Reduction. Dispositif électronique (circuit, filtres, etc.) permettant de réduire le niveau de bruit présent dans un signal audio ou vidéo numérisé. Le DNR augmente encore le rapport S/B.
DOLBY B/C/S (réducteur de bruits) :	Systèmes de réduction de bruit pour les bandes analogiques (cassette ou bande) utilisant une compression/expansion des fréquences aiguës pour couvrir le souffle de la bande. La réduction de bruit va de 10 à 24 dB en fonction du réducteur . 
DOLBY DIGITAL :	Il s'agit d'un système de codage numérique avec compression de données audio permettant de placer 6 pistes. Au contraire du ProLogic, les pistes ne sont pas matricées mais "discrètes" ou indépendantes. La compression est de 10 pour 1, c'est actuellement le signal le plus compressé pour la reproduction du son au cinéma. La principale différence avec le Dolby Pro-Logic se situe au niveau des séparartion des canaux surround(sur support numérique type DVD). Ce procédé bénéficie donc de cinq canaux identiques, fonctionnant en large bande : 20 Hz à 20 kHz, contrairement au Dolby Pro-Logic I qui limite la bande passante du surround de 100 Hz à 7 kHz. La voie grave devient un canal discret à part entière, ajoutant à la bande son des films une dimension dramatique supplémentaire.
DOLBY HX-PRO :	Circuit permettant un calibrage automatique des paramètres du magnétophone analogique (variation du courant de polarisation à l'enregistrement en fonction du niveau des fréquences élevées), apportant une amélioration de la bande passante et une diminution du bruit.
DOLBY PRO-LOGIC II :	Evolution du DOLBY PRO-LOGIC,le Pro-Logic II améliore beaucoup de lacunes : il permet une lecture en multi-canal de sources stéréo standards sans encodage, La bande passante des voies d'effets arrière est améliorée, la séparation des canaux est meilleure, le Dolby Pro Logic II est entièrement compatible avec les encodages Pro Logic et Surround
DOLBY PRO-LOGIC :	Le Dolby Pro Logic est une extension du décodage Dolby surround. Le décodeur Dolby Pro Logic ajoute une voie centrale, afin que le son paraisse plus central. Cette enceinte centrale reproduit typiquement les voix des acteurs. Ce système augmente également la séparation des voies de droites et de gauche. Deux voies arrières reproduisent l'image sonore en trois dimensions. Avec un tel décodeur, vous avons donc besoin de 5 enceintes pour un réel confort d'écoute. 
DOLBY SURROUND EX :	Né de la collaboration entre les laboratoires Dolby et Lucasfilm , ce procédé ajoute un nouveau canal central arrière au Dolby Digital 5.1. Ce nouveau canal est matricé sur les canaux surround. Le surround EX n'est en aucun cas un véritable son 6.1discret puisque le nombre de canaux « physiquement » présentsdans la bande son est de 5.1.
DOLBY SURROUND :	Première version de codage Dolby destinée à reproduire différents canaux pour un son cinéma. Procédé technique d'amélioration de la reproduction sonore développé par les laboratoires Dolby. Le Dolby Surround consiste à reproduire le son sur 3 canaux à partir d'une source stéréophonique à 2 canaux. On obtient le canal supplémentaire dit surround après matriçage et filtrage de ces 2 canaux. Attention, le canal arrière surround est monophonique et se trouve volontairement limité entre 100 et 7000Hz. Ce standard est utilisé par les cassettes vidéo et les TV à la norme Nicam L.
DROP :	Perte de signal vidéo se traduisant par des "xébrures" fugitives sur l'image en cours de lecture. Elle est généralement provoquée par une détérioration de la bande magnétique. En HI-8 les cassettes de 90 minutes sont plus sensibles à ce genre de phénomène
DTS (DIGITAL THEATER SYSTEME) :	Conçu par les studios Universal, le DTS se pose en concurrent du Dolby Digital. Le taux de réduction de débit peut être fixe ou variable en fonction de la complexité du message sonore. Le DTS prend donc des formes multiples : il accepte une résolution jusqu'à 24 bits, toutes fréquences d'échantillonnage comprises entre 8 kHz (pour le multimédia) et 192 kHz (pour les prochaines versions du DVD). Le DTS compresse quatre fois moins les données que le Dolby Digital (3 fois contre 12 fois), sa finesse et sa dynamique (20 bits) sont également supérieures.
DTS ES 6.1 DISCRETE :	Il s'agit du dernier né des formats DTS. Tout comme le DTS ES, ce format fait également apparaître une voie arrière nommée "surround back" supplémentaire. Par contre, contrairement au système matricé du DTS ES, ce canal supplémentaire n'est pas combiné (matricé) à d'autres voies, mais se présente sous la forme d'un canal supplémentaire réel (ou discret) à part entière. Le signal est encodé sous un format 6.1 réel et non 5.1 avec sixième canal matricé. Notons que ce nouveau son DTS est entièrement compatible avec un équipement DTS 5.1 car les informations concernant ce nouveau canal sont contenues dans le flux DTS 5.1 et resteront invisibles pour un équipement non prévu à cet effet. Pour bénéficier de cette voie arrière, il faut que le support soit encodé avec le procédé en question. 
DTS ES :	Le DTS ES, ES pour Extended Surround, est un format sonore développé par Digital Theatre Systems, qui fait intervenir un canal d'effet arrière central "surround back" en plus des cinq canaux habituels du flux DTS 5.1.En fait, il s'agit du même traitement que pour le Dolby Surround EX car ce nouveau canal surround est issu du dématriçage des voies arrières gauche et droite.
DV :	Système d'enregistrement numérique grand-public. Principaux avantages: la qualité d'image et de son se révèle supérieure à ce que l'on peut attendre des équipements analogiques grand-public, et ce, malgré la compression de 1:5, le son peut être enregistré au choix en stéréo sur 16bits/48KHz ou, toujours en stéréo sur 12bits/32KHz, on conservera alors deux voies 12bits/32KHz pour un doublage son ultérieur sur un magnétoscope numérique. Tous les appareils DV sont compatibles, quelle que soit la marque. Une cassette enregistrée sur un modèle Panasonic sera parfaitement lisible sur un Sony, etc. La durée d'enregistrement des petites cassettes (mini DV), exploitées par la quasi totalité des caméscopes grand-public est limitée à 60 minutes. Des cassettes de grande taille (de 120 à 270 minutes) ont été développées pour les magnétoscopes. Au nombre des atouts du DV: l'enregistrement systématique d'une time code, les sub codes, le gel d'image, le mode photo, la possibilité lors d'un montage ultérieur d'insertion d'image seule.
DVCAM :	Système d'enregistrement numérique professionnel. Si tous les produits DV grand-public présentent les mêmes caractéristiques, il n'en est pas de même pour dès que l'on touche à l'univers pro. Ainsi, le DVCam signé Sony se révèle incompatible avec le DVCPro de Panasonic. A noter: un magnétoscope DVCam peut lire une cassette DV. Certains rares équipements DV, comme le magnétoscope Sony DHR-1000 peuvent cependant lire des cassettes DVCam et les enregistrer en DV. Mais en règle générale un caméscope DV ne saurait lire du DVcam.. Structure d'échantillonnage chrominance: 4:2:0 Durée maximal des grandes cassettes: 184 minutes. Pour le reste on retrouve les mêmes spécifications que pour le DV.
DVCPRO :	Système d'enregistrement numérique professionnel. C'est la version Panasonic du DV Pro. Sa spécificité: il utilise des bandes Métal Particules, sa structure d'échantillonnage de la chrominance est de 4:1:1. Durée maximal des cassettes de taille moyenne: 63 minutes et des grandes cassettes: 123 minutes. N'accepte pas de petites cassettes. Côté compatibilité: un magnétoscopes DVCPro peut lire des enregistrements DV ou DVCam quelle que soit la taille de la cassette. L'inverse n'est pas possible et seul un lecteur DVCPro peut décrypter une cassette DVCPro. Pour le reste, on retrouve les spécifications du DV.
DVD AUDIO :	Le DVD Audio ou DVD-A est un support de stockage pour la musique à haute résolution. L'idée étant d'utiliser la fantastique capacité de stockage du DVD pour reproduire la musique dans sa qualité d'enregistrement originale. Le DVD Audio peut être stéréo ou multi-canal sur six canaux. Dans le cas de la stéréo, il s'agit d'un encodage 192 kHz/24 de très haute qualité, dans le cas du multi-canal, il s'agit d'encodage 96 kHz/24 bit (Dolby Digital).Tous les lecteurs de DVD ne sont pas actuellement compatibles DVD Audio, en effet, il faut qu'ils intègrent le décodeurs 192 kHz/24 bit (décompression MLP).
DVD :	Support CD multi-couche. Autorise un stockage important de données reposant sur les nouvelles normes numériques (MPEG 2, Dolby Digital DTS…). Le disque DVD a exactement la même apparence qu'un CD classique. 
DYNAMIQUE :	Entendue des valeurs d'amplitude utile d'un signal. C'est-à-dire dont les plus faibles sont au-dessus du niveau de bruit, et les plus fortes en limite d'écrêtage, qu'il soit électronique ou acoustique. On l'exprime généralement par le rapport S/B (en dB).
 E
 ECHANTILLONNAGE :	Pour être numérisé, le signal vidéo ou audio modulé doit d'abord être découpé selon des intervalles de temps précis, selon une certaine fréquence d'échantillonnage d'ailleurs très élevée. En effet, les échantillons unitaires doivent être assez brefs pour reproduire fidèlement les variations les plus fines et rapides de la modulation.
EXPOSITION :	C'est la combinaison de la sensibilité du film ou du capteur , de l'ouverture et de la vitesse d'obturation. Certains appareils numériques proposent de régler ces différents paramètres, sur les autres l'exposition est automatique 
 F
 FIBRE OPTIQUE :	Support de transmission de données à très haut débit utilisant des lasers modulés à la place du courant électrique.
FIRE WIRE  ou IEEE 1394:	Le FireWire est un nouveau bus qui fait partie intégrante de l'interface SCSI-3. Offrant un débit de plusieurs centaines de mégaoctets par seconde, il est prévu pour la connexion de périphériques utilisant un grand nombre de données, le plus important étant le caméscope numérique. Il permet de brancher plusieurs périphériques différents sur un bus.
FLASH :	Accessoire qui produit une source de lumière très intense pendant un laps de temps très court.
FOCALE :	Distance exprimée en millimètre entre le centre optique de l'objectif et la surface sensible touchée par les rayons lumineux que reflète un sujet.
FOCUS :	Réglage de la mise au point pour obtenir une image nette.
FORMAT CINEMA :	Les formats cinéma sont normalisés. Leurs proportions (largeur/hauteur) ne correspondant pas toujours à celui de votre téléviseur, il faut utiliser des procédés de cadrage ou de compression. 
 G
 GAIN :	Augmentation de la sensibilité à la lumière des capteurs. Le gain peut généralement être "poussé" par paliers de +3dB. Il en résulte une image à forte granulation.
 H
 HDCD :	High Definition Compatible Digital processing.
HDTV :	Initiales de High Definition TeleVision. En français TVHD. Système de télévision-pas encore normalisé en Europe- dont les caractéristiques principales sont deux fois plus de lignes de blayage de l'image (1250 lignes) , le format d'écran 16:9, plusieurs voies audio stéréophoniques.
HI-8 :	Système issu du 8mm. La qualité d'image est améliorée (au mieux 400 au lieu de 250 points-lignes) grâe à la saisie et au traitement séparés de la luminance (Y) et de la chrominance (C).
HYPERFOCALE :	En optique, réglage de la mise au point assurant une profondeur de champ maximale.
 I
 IEEE 1394 (voir FIRE WIRE) 	
IMPEDENCE:	Résistance exprimée en ohms d'un circuit électronique au passage d'un courant électrique.
INFO-LITHIUM :	Batteries au ithium-ion, développées par Sony, capables d'indiquer au vidéaste, la durée d'énergie restante.
INTERPOLATION :	Amélioration de la résolution d'une image par des techniques logicielles.
INVERSION D'IMAGE :	Cette fonction permet d'inverser (haut/bas et droite/gauche) l'image projetée, dans le but de fixer le projecteur au plafond. 
ISO :	Anglais : International Organization for Standardization
 J
 JACK :	Connecteur standard utilisé pour les casques, certains microphones, les instruments de musique et les usages semi-professionnels. Le Jack standard mesure 6,35mm de diamètre. Le mini-jack fait 3,5mm de diamètre, sert aux appareils portables. Ces connecteurs existent en mono (2 contacts) et stéréo (3 contacts). 
JITTER :	Ondulation des verticales de l'image vidéo due notamment à un rotation irrégulière du tambour. Se dit aussi pour les léger tremblements de l'image.
JLIP :	Initiales de Joint Level Interface Protocol. Développée par JVC, cette borne de télécommmande assure la communication des appareils audio ou vidéo entre eux et, via une interface, avec des ordinateurs.
JOG SHUTTLE :	Molette de contrôle utilisée généralement sur des magnétoscopes afin de contrôler certaines fonctions (avance rapide ou progressive). Le jog ou joggle est très pratique pour le montage.
JOG :	Fonction de montage permettant, grâce à une molette crantée, de visualiser un plan image afin de déterminer avec précision les points d'entrée ou de sortie.
JPEG :	Initiales de Joint Photographic Expert Group. Norme de compression d'image fixes.
 L
 LANC ou REMOTE:	Initiales de Local Application Control. Prise de montage. Cordon généralement terminé par une prise jack 2.5mm.
LCD :	Initiales de Liquid Crystal Display. Écran d'affichage utilisant la technologie des cristaux liquides. Celle-ci est également employée dans les vidéoprojecteurs et rétroprojecteurs.
LETTER-BOX :	Mode d'affichage des films sur une télévision 4/3 en ajoutant des barres noires au dessus et en dessous pour conserver le format panoramique.
LITHIUM-ION :	Batterie de nouvelles génération frabriquée à base de Lithium. Cet élément chimique est moins dangereux pou rl'environnement que le mercure présent dans les batteries traditionnelles. Il possède d'autres avantages: suppression de l'effet mémoire, capacité supérieure, meilleure tenue dans le temps et au frois.
LUMENS ANSI :	Unité de mesure normalisée (ANSI: norme américaine) pour mesurer la puissance d'une source lumineuse (plasma, TV, vidéo-projecteur).
LUMINENCE (Y) :	Intensité de la lumière réfléchie par un sujet en direction du caméscope. En vidéo, la luminance désigne le signal noir et blanc isolé de la chrominance.
LUX :	Unité d'éclairement servant à délimiter la sensibilité des caméscopes, c'est-à-dire les quantités minimales ou maximales de lumières qu'ils supportent pour produire des images acceptables.
 M
 MACRO :	Possibilité de filmer un sujet de très près en conservant une image nette. 
MATRICE ACTIVE :	Technologie des écrans de portables à cristaux liquides où chaque pixel (point) est commandé par trois transistors (un par couleur primaire), ce qui offre des contrastes de qualité et permet une meilleure vision.
MINI-DISC :	Système d'enregistrement audio numérique codé en 1 6 bits et échantillonné à 44,1 ou 48 kHz. Bande passante : 20 Hz à 20 kHz. Pas de cassette traditionnelle, mais une disquette réenregistrable protégée. L'accès aux différentes plages est direct, La durée d'enregistrement maximale est de 80 minutes en stéréo et le double en mono. Différentes fonctions d'édition autorisent l'effacement de certains morceaux, mais aussi leur déplacement, leur division et leur recombinaison. Une mémoire antichoc de 4 Mégabits assure une lecture en continu en cas de chocs n'excédant pas 1 0 secondes. 
MINI-DV :	Cassettes miniaturisées de type Métal Evaporé, destinées au matériel DV.Elles présentent les dimensions suivantes 66 x 48 x 12,2 mm pour une largeur de bande de 6 mm .
MINI-JACK :	Prise audio de 2,5 et 3,5 mm de diamètre destinée à un casque ou un micro. Suivant qu'il possède deux ou trois contacts, le connecteur est mono ou stéréo. 
MISE AU POINT :	Réglage de l'objectif pour obtenir l'image nette d'un sujet voulu.
MODULATION :	Variation d'amplitude d'un signal. En audiovisuel, transformation d'un signal audio ou vidéo en onde électrique. 
MONO CCD :	Se dit d'un caméscope disposant d'un seul imageur ou capteur CCD. C'est un filtre mosaïque qui se charge de la séparation trichrome des couleurs. Celles-ci sont par conséquent moins bien restituées qu'avec un tri-CCD, qui dispose d'un capteur par couleur (un pour le rouge, un pour le vert et un pour le bleu). 
MP3 :	Norme de compression et de transmission de données audio et vidéo. La plus aboutie actuellement, elle tend à révolutionner l'industrie musicale en permettant un transfert de données fortement compressées via le réseau Internet. Les plus grandes marques proposent aujourd'hui des lecteurs à mémoire MP3 portables. La qualité n'est pas suffisante pour qualifier cela de hi-fi.
MPEG :	Initiales de Motion Picture Expert Group. Ce standard de compression produit, en MPEG-1 , de la vidéo suffisamment allégée pour qu'un CD-vidéo puisse débiter de la vidéo en plein écran à partir d'un simple lecteur deux vitesses d'ordinateur. Le MPEG-1 proche d'une qualité VHS est actuellement complété par le MPEG-2 pour des applications faisant appel à de la vidéo de meilleure qualité, notamment pour les transmissions TV.
MULTIROOM :	Procédé de commande d'un système hi-fi permettant de distribuer et de piloter le son et la vidéo dans plusieurs pièces. 
MULTISTANDARD :	Se dit des équipements capables de fonctionner en plusieurs standards. Exemple, un magnétoscope susceptible de une et d'enregistrer en Pal, Secam, NTSC peut sans équivoque être qualifié de multistandard. 
MULTIZONE :	Se dit d'un lecteur de DVD ayant la faculté de lire les DVD issus de toutes les zones.
 N
 NIGHT-SHOT :	Le système Night Shot enregistre les images dans l'obscurité totale. Il utilise la sensibilité infrarouge du capteur CCD afin de capter une vision "quasi nocturne". 
NTSC :	Initiales de National Television System Comittee. Ce standard concerne notamment l'Amérique du Nord et le Japon. Ces pays exploitent un NTSC dit 3.58 (émissions télévisées, cassettes enregistrées), le NTSC 4.43 étant utilisé essentiellement pour les bandes de démonstration destinées à l'Europe (ces chiffres désignent en MHz la fréquence de la sous-porteuse de chrominance. Le NTSC 3.58 possède un balayage de 525 lignes (30 images seconde 60 Hz). 
NUMERIQUE COAXIAL :	Nature d'un signal qui est transmis de manière électrique (via liaison coaxiale). Ce signal peut être modulé sur une porteuse ou utiliser la technique de transport S/P DIF. 
NUMERIQUE OPTIQUE :	Nature d'un signal qui est transmis de manière lumineuse (via liaison optique). Cas des sorties optique des lecteurs de CD ou des enregistreurs MD. Le signal que transporte cette liaison peut être codé de différentes manières : (PCM, S/PDIF, DD, MPEG2 audio).
 O
 OBTURATEUR :	Dispositif qui permet d'augmenter ou de réduire l'exposition lumineuse du capteur d'une caméra. L'obturation standard d'un caméscope est de 1/50, de seconde. Si l'on augmente la vitesse d'obturation (112 000 s et plus, il est facile de décomposer un mouvement sportif au ralenti. A l'inverse, si on réduit l'obturation (jusqu'à 1/3 de seconde), l'image est nettement plus lumineuse, mais il se produit un effet de saccade dès le moindre mouvement. 
OSD :	Pour On Screen Display, littéralement "Menu à l'écran". Un appareil possédant un OSD affichera donc sur l'écran de votre diffuseur vidéo un menu destiné à faciliter son paramétrage et l'exploitation de ses fonctionnalités.
 P
 PAL :	Initiales de Phase Altemation Line (ou Phase Alternative Line). Système de codage de la couleur 625 lignes en vigueur dans de nombreux pays européens (Allemagne, Angleterre, Italie ). Un signal Pal lu sur un magnétoscope Secam ou visionné sur une TV Secam, fournit une image en noir et blanc. 
PERITEL :	Egalement appelée Euroconnecteur ou Scart. Connecteur standard à 21 broches permettant de relier le diffuseur vidéo à des appareils vidéo et audio. La prise Péritel permet de transporter bon nombre de signaux vidéo tels la vidéo composite, le S-Vidéo ou le RVB.
PIXEL :	Picture Element, plus petite surface exploitable électroniquement pour restituer une image. Le nombre de pixels sur un capteur ou sur chaque ligne de balayage d'un écran, contribue à la qualité de la définition
PLEURAGE :	Défaut de restitution d'un message sonore. Si, pour des raisons diverses, la vitesse de défilement de la bande en lecture n'est pas strictement identique à la vitesse d'enregistrement, il se produit un décalage temporel provoquant une variation parfois aléatoire des fréquences sonores restituées.
POUCE :	Mesure de longueur britannique dont l'abréviation courante est ".
 R
 RAPPORT SIGNAL/BRUIT :	Valeur indiquant la gamme dynamique en dB entre le bruit interne d'un appareil (souffle quand aucun signal ne le traverse) dû aux composants eux-mêmes, et le niveau maximal avant saturation (écrêtage ou distorsion importante). 
RCA voir CINCH	
RDS :	Ce système permet de transmettre des informations codées dans le signal pour afficher des messages (nom de la station, titre du morceau, alertes de circulation routière).
RESOLUTION :	Valeur caractérisant la capacité d'un système imageur à reproduire les plus fins détails. En optique, on l'exprime habituellement par le nombre de paires de traits résolus par millimètres, en vidéo : en points-ligne ; pour une imprimante : en DPI ou en points par millimètre. En photo, plus la résolution est grande (c'est-à-dire plus le nombre de pixels par pouce est élevé), plus on améliore le rendu des détails et le réalisme de la représentation. Les appareils dits " megapixels " ont en général une résolution de 1280 x 960 pixels ; les " bimegapixels " atteignent 1600 x 1200 pixels.
RIAA :	Recording Industry American Association
RVB (ou RGB) :	Initiales de rouge, vert, bleu. Couleurs primaires combinées avec des graduations de lumière entre le noir et le blanc pour analyser et restituer l'image électronique. Chaque point lumineux d'une image est constitué de trois pixels RVB.
 S
 S-VHS :	Initiales de Superior Video Home System. Version améliorée du VHS. Le S-VHS achemine de façon distincte les signaux de luminance et de chrominance, limitant ainsi les chevauchements de couleurs (le Cross Color). Le S-VHS bénéficie d'une qualité d'image améliorée, il est donné pour 400 points/ligne alors que le VHS plafonne à 240-250 points/ligne. Cette amélioration est obtenue grâce à l'augmentation de la bande passante, la luminance étant élargie de 1,6 MHz. Un magnétoscope S-VHS peut relire des cassettes VHS Pal ou Secam, mais l'inverse est impossible (sauf cas particuliers car certains modèles VHS possédant la lecture S-VHS et restituant un signal de qualité VHS).
S-VIDEO(connecteur) :	Connexion vidéo séparant les deux composantes fondamentales Luminance et Chrominance. Utilisée sur les camescopes et les magnétoscopes S-VHS et HI-8, sur certains téléviseurs et les lecteurs de DVD. Elle est meilleure que l'interface composite et moins bonne que celle en RVB.
SACD :	Super Audio CD. Système CD promu par Sony visant à établir une nouvelle norme de qualité. Les très hautes performances de ce procédé (bande passante, dynamique, réponse impulsionnelle) permettent de restituer le niveau de qualité des meilleurs systèmes professionnels.
SATURATION :	Niveau de signal audio ou vidéo trop élevé qui dépasse les possibilités nominales des équipements conduits à les traiter. En vidéo, la saturation produit des couleurs criardes. La saturation apparaît lorsqu'un appareil est poussé au-delà de ses capacités.
SCART : (voir PERITEL)	
SECAM :	Initiales de Séquentiel à Mémoire ou Séquentiel Couleur à Mémoire, standard de codage des signaux couleurs inventé en 1956 par Henri de France fonctionnant en 625 lignes et 25 images par secondes. Ce standard repose sur la transmission séquentielle des informations de couleur, modulées en fréquence une ligne sur deux. Utilisé principalement pour la diffusion en France en Russie et dans certains pays en Afrique. Le Mesecam est un dérivé répandu au Moyen-Orient. 
SENSIBILITE :	Réglage qui équipe parfois les appareils photo argentiques et numériques. Exprimée en ISO, plus la valeur est élevée, plus le photoscope travaillera bien dans des conditions d'éclairage difficiles.
STABILISATEUR :	Fonction mécanique, optique ou électronique permettant de stabiliser une image lors de la prise de vues, en amortissant les tremblements, les chocs et les à-coups. Le stabilisateur optique donne un meilleur résultat que le stabilisateur numérique.
SUBWOOFER : (voir caisson de grave)	
SYNTONISATEUR : (voir TUNER)	
 T
 TBC :	Initiales de Time Base Corrector, correcteur de base temps produisant un signal synchronisé pour réduire les distorsions et éviter certains défauts de l'image (perte d'informations) lors des copies au montage. Le principe d'un TBC est souvent basé sur la mémoire de trame qui sert à détecter une image défaillante, le TBC la remplaçant instantanément par celle qui précède, laquelle a été préalablement stockée en temps réel.
TFT :	Initiales de l'anglais Thin Film Transistor (traduction : fine couche de transistors)
THX (Tomlinson Holman eXperiment) :	Norme de qualité élaborée par Lucasfilm pour le son en home-cinéma. Le THX est une certification de restitution sonore de haute qualité, basée sur une série de normes et de recommandations techniques. Elle concerne la production de films, mais labellise également le matériel d'écoute vendu et utilisé par le grand public (amplificateurs, enceintes, décodeurs Dolby…). Il s'agit d'un programme global très strict, imposant un profil type, des performances ou des particularités obligatoires à tous les matériels ou programmes agréés.
TIFF :	Initiales de Tagect Image File Format Cette extension de fichier correspond à l'un des formats graphiques que l'on trouve aussi bien sur Mac ou PC. Peut-être compressé pour alléger le volume des données. La plupart des logiciels actuels de dessin ou de re
TIME-CODE :	Code temporel ou temps codé, système d'identification à huit chiffres de chaque image enregistrée sur une bande vidéo. Time code existants : VITC, RCTC, LTC, Rapid Time Code (rare).
TOSLINK :	Toshiba Link - type de liaison numérique par fibre optique.
TRI-CCD :	Système d'analyse et de traitement séparé des trois couleurs primaires de la vidéo à l'aide de trois capteurs distincts (un pour le rouge, un pour le vert et un pour le bleu). Annule les interférences nuisibles à la qualité de l'image, comme le Cross Color.
TRI-LCD :	Cette technologie repose sur l'utilisation de 3 petits écrans de couleurs rouge, vert, bleu. Le flux lumineux est partagé en trois, traverse chaque matrice qui génère chacune des couleurs fondamentales de l'image. Ces trois images sont recombinées pour générer l'image finale.
TUNER :	Démodulateur qui a pour fonction de transformer les ondes radiofréquences reçues par une antenne en signal audio (radio ou vidéo télévision) en bande de base. Les tuners sont spécialisés selon qu'ils servent à démoduler les signaux transitant par voie hertzienne, par câble ou par satellite.
TVHD (voir HDTV) 	
 U
 USB:	Abréviation de l'anglais " Universal Serial Bus ". Le port de série universel permet le branchement à chaud (sans éteindre la machine) de périphériques à l'unité centrale d'un ordinateur. Les appareils de photo numérique équipés d'un port USB permettent la transmission rapide de données vers un ordinateur.
USHIDEN(voir S-VIDEO)	
 V
 VCR :	Initiales de Video Cassette Recorder. Le VCR désigne en abrégé un magnétoscope lecteur ou enregistreur.
VHS :	Initiales de Video Home System, Inventé en 1976 par la firme JVC. C'est le format le plus répandu dans le monde. La largeur d'une bande VHS est de 1/2 pouce. Son évolution en Y/C est le S-VHS (nommé aussi Super-VHS).
VIDEO COMPOSITE :	Connexion vidéo standard sur prise RCA en général, dont la chrominance et la luminance sont mélangées.
VIDEOPROJECTEUR :	Appareil conçu pour projeter une image vidéo sur un écran réfléchissant. Il existe trois technologies propres aux vidéoprojecteurs. La plus ancienne fait appel à trois tubes restituant simultanément les couleurs primaires rouge, vert, bleu. La seconde technologie repose sur des cristaux liquides (LCD) qui exploitent un unique faisceau et donc un seul objectif. Enfin, les vidéoprojecteurs les plus récents Technologie DLP qui signifie Digital Light Processing) ont recours à un traitement numérique de la lumière, le rendu lumineux est sensiblement meilleur.
VITESSE D'OBTURATION :	Temps pendant lequel l'obturateur s'ouvre pour laisser passer la lumière.
 W
 WATT :	Unité de puissance utlisée pour mesurer la puissance d'un amplificateur
 X
 XLR :	Connecteur professionnel disposant de 3 à 5 contacts. Il dispose d'un verrouillage et d'un serre-câble. C'est la prise "standard" des pros du son. 
 Y
 Y/C (voir S-Video)	
YUV :	Ces initiales désignent les signaux de chrominance intermédiaires en codage composite PAL, Le Y représente la luminance, U et V, respectivement, les composantes différentielles de couleur du rouge (DR) et du bleu (DB). Ces signaux différentiels couleur U et V sont des dérivés linéaires des composantes primaires RVB, dont la bande passante a été réduite à 1,5 MHz en PAL. Ils sont utilisés pour moduler en quadrature deux sous-porteuses couleur de fréquence 4,43 MHz permettant - grâce à l'émission d'une salve couleur (Colour Burst) à chaque début de ligne - de reconstituer les couleurs. Dans les de signaux d'origine numérique, comme le MPEG sur le DVD, la bande théorique U et V s'établit à plus de 3 MHz, et celle de Y à plus de 6 MHz.
 Z
 ZONE DVD :	Le monde a été découpé en 6 zones. Cette notion de zone a été mise en place pour assurer une protection efficace des droits des films. Pour le consommateur, il faudra donc veiller à n'acheter que des DVD appartenant à la même zone que son lecteur, ou bien utiliser un lecteur "multi-zones". Zone 1 : Amérique du Nord Zone 2 : Europe de l'Est et de l'Ouest + Japon + Afrique du Sud + Israël + Liban Zone 3 : Corée Zone 4 : Amérique du Sud + Australie Zone 5 : Russie + Afrique Zone 6 : Chine 
ZOOM :	Objectif à focales variables. Couplé à un moteur électrique (ou en manuel), il permet de changer de focales sans changer d'objectif.
Utilisant un support similaire à celui du CD et une taille physique identique de 12 cm, le DVD est beaucoup plus dense que le CD.
De plus, il est possible de fabriquer des DVD double face et pour chaque face de coller 2 couches d'information, le changement de couche se faisant par changement de focale du faisceau laser de lecture.
 
Comparaison CD/DVD	 Les différentes capacités du DVD
Le CD-ROM ne dispose pas d'une capacité suffisante pour stocker de l'image de bonne qualité. Par contre, sur un DVD-5 on peut stocker environ 2h de film et plus de 4h de film sur un double couche: le film et ses suppléments.
Type	Faces	Couches/Face	Capacité
CD-ROM	1	1	0.65 Go
DVD-5	1	1	4.7 Go
DVD-9	1	2	8.5 Go
DVD-10	2	1	9.4 Go
DVD-18	2	2	17 Go
Sous-titres
Le DVD vidéo supporte jusqu'à 32 sous-titrages différents. En règle générale, les DVD zone1 disposent d'un maximum de 3 sous-titres (anglais, français et espagnol). Les DVD zone 2 europpéens sont plus fournis offrant en général l'ensemble des langues parlées en Europe (une dizaine).
Languages
Le support permet jusqu'à 8 langues, mais attention, ceci est une possibilité du média: dans les faits, les languages disponibles sont souvent différents codages de la même langue (en Dolby Digital 4.0, 5.1, DTS).
Contrôle parental
Cette fonction permet de verrouiller le lecteur pour qu'il ne puisse pas lire certains type de DVD Vidéo. Le support contient une information de niveau qui ne sera diffusé que si le lecteur l'autorise.
Multi-Angle
La fonctionnalité multi-angle permet en fait de changer d'information visualisable en cours de projection. Elle permet la diffusion de la même scène selon des angles de prise de vue différents sans changer de piste sonore. Dans les fait, quelques concerts proposent cette option et les inévitables films X.
A noter une initiative originale dans l'édition spéciale du James Bond "tomorrow never dies" en zone1 qui offrait le storyboard en surimpression sur le film en agissant sur la touche multi-angle de la télécommande.
Menus interactifs
L'une des grandes nouveautés, de plus en plus exploitée par les éditeurs de film sur DVD Vidéo, est d'offrir au spectateur un menu d'accueil interactif pouvant être animé et sonore.
En général, ce menu propose au minimum le choix de la piste son, des sous-titres et le cas échéant du format d'image (Widescreen ou télécinéma) ainsi qu'un accès direct à certaines scènes.
Mais on y trouve de plus en plus fréquemment des suppléments comme l'interview des acteurs, le casting du film, le making Of, la filmographie des acteurs.
RSDL : Reverse Spiral Dual Layer
Technologie qui permet de lire 2 couches (layer) d'un DVD en changeant la focale du faisceau laser. Afin d'éviter un temps de changement de piste trop important, la diode laser reste à sa place lors du changement de focale et parcours le DVD dans le sens radial inverse de celui de la premère couche. Il est clair que pour que ceci soit possible il faut que l'information de la 2ème couche soit inscrite dans le sens inverse de la première couche, d'ou le terme de Reverse Spiral.
Le changement de couche dure en général moins d'une seconde, mais les observateurs attentif pourront observer le léger gel d'image occasionné.
Les DVD RSDL sont reconnaissable à la couleur ocre de la face gravée par opposition à la couleur argent des mono-couches.
Bugs
Hélas, comme tout environnement mélant hardware et software, le DVD a son lot de bug interdisant tout ou partie de la lecture de certains DVD (le célèbre Matrix en est la meilleure preuve). L'avantage de la partie logicielle est qu'elle peut se reprogrammer aisément (Flash Eprom) et nombreux sont les constructeurs permettant la niveau directement par l'utilisateur de manière totalement automatique par simple introduction d'un DVD correctif.
Attention toutefois, ces correctifs ne peuvent pas s'appliquer tels quels sur des lecteurs dézonnés.
Le Home Cinema n'a pas attendu le DVD pour exister. Le Laserdisc et dans une moindre mesure les cassettes vidéos VHS ont permis depuis longtemps aux amateurs de revoir sur petit écran leurs films favoris.
Toutefois ces 2 supports avaient chacun leur défaut:
•	La cassette VHS ne fournissait pas une résolution suffisante (250 points par ligne) et le principe même du frottement d'une tête de lecture sur une surface magnétique fragilisait le média. Le son, quant à lui, était souvent réduit à la simple stéréo.
•	Le Laserdisc disposait d'une technologie proche de celle du CD (pressage) ce qui lui conférait une plus grande stabilité dans le temps (pas de frottements). Par contre si le son était numérique en Dolby Prologic, voire Dolby Digital 5.1 pour le Laserdisc NTSC, l'image était analogique. La taille du support (30 cm) et le fait qu'un long métrage tenait sur 2 faces voir 3 faces était pénalisant pour le spectateur.
L'arrivée du DVD Vidéo a donc révolutionné ce petit monde, qui est apparu en début 1997 aux Etats Unis et seulement en fin 1998 en France.
Le DVD (Digital Versatile Disc: littéralement Disque Numérique Multiusage) n'est pas qu'un support vidéo mais se décline en pas moins de 5 types différents.
DVD ROM	Support exclusivement informatique destiné à remplacer le CD-ROM en multipliant sa capacité par 7.
DVD Vidéo	Le type de DVD dont nous parlons dans ce site: destiné à remplacer le Laserdisc et la cassette pré-enregistrée.
DVD Audio	Le successeur du CD Audio.
DVD R	DVD enregistrable, successeur du CD-R informatique.
DVD RAM	DVD réinscriptible.
Bien sûr ces supports ne sont pas compatibles entre eux (n'essayez pas de mettre un film sur un DVD-RAM pour le relire sur votre lecteur de salon). Comble, le DVD Audio ne sera pas lisible sur les lecteurs DVD Vidéo actuels. 
DVD Vidéo
La qualité d'image du DVD vidéo dépasse tout ce qui se faisait jusqu'à présent en vidéo, tant par la résolution vidéo que par la richesse du support:
•	Plusieurs langues du même film possibles sur un seul DVD Vidéo.
•	Plusieurs sous-titrages possibles.
•	Menu d'accueil avec des capacités d'interaction sans cesse mieux exploitées par les éditeurs.
•	Plusieurs formats d'affichage possibles (16/9, 4/3, Pan&Scan, Widescreen).
•	Multi angles
•	Contrôle parental à 9 niveaux.
•	Image et son numérique (image codée en MPEG2)
•	Chapitrage permettant un accès direct à la scène souhaitée 
Comparatif de résolution	DVD	Laserdisc	S-VHS	VHS
Nbr de points par ligne	500	440	400	250
Le catalogue de film, en France, comprend entre 3000 et 4000 titres en ce début 2000. Aux Etats Unis, c'est près de 10 000 titres qui sont disponibles. Mais attention au problème de Zonage.
Micro-Ordinateur
Le DVD Vidéo peut aussi être utilisé sur un micro-ordinateur équipé d'un lecteur DVD-ROM et moyennant une carte de décompression, ou un couple processeur/carte graphique performant, le peut aussi être diffusé via l'ordinateur, soit directement sur le moniteur informatique soit sur la télévision.
Et en plus, les éditeurs rajoutent souvent des suppléments (jeux, fond d'écran, écrans de veille) qui sont exploitables sur le micro-ordinateur via le programme PC-Friendly disponible sur tout DVD offrant ce type de supplément.
Connectique
 
Le codage sonore d'une source musicale est la méthode utilisée pour traiter le signal avant de le transférer sur le support. La restitution nécessite bien évidemment un équipement spécifique à chaque codage
PCM	Pulse Code Modulation
C'est le système de numérisation du son utilisé sur les CD et LaserDisc. Ce codage est compris par tous les amplificateurs stéréos.
L'échantillonage utilisé sur les CD audio, les Laserdisc et la plupart des DVD est à 44.1 Khz en 16 bits.
 
Ce système, contrairement aux idées reçues, ne fournit pas systématiquement une restitution sonore en 6 canaux, mais définit un standard d'encodage et de compression du son pour des sources sonores en 1 canal (Mono), 2 canaux (Stéréo), 5 canaux (ProLogic) et 6 canaux (5.1 anciennement appelé AC3 et disponible uniquement sur LaserDisc NTSC et DVD).
La liaison entre la source sonore et l'amplificateur se fait en numérique via une fibre optique ou un coaxe.
 
Digital Theater System
Le DTS est la réponse de LucasFilm au Dolby Digital 5.1 proposant un son moins compressé au détriment de la place prise par cette information sur le support (LaserDisc NTSC et DVD).
Bien évidemment, ce système nécessite que le lecteur vidéo ainsi que l'amplificateur supporte ce mode arrivé plus tard sur le marché (dommage pour les possesseurs des premières générations de matériel)
MPEG	 	Motion Picture Expert Group
Fort d'avoir lancé le CD Audioet le Laserdisc, Philips a tenté de placer son système sonore sur le DVD en Europe. Il offre les mêmes possibilités que le Dolby Digital, mais nécessite un décodeur spécifique intégré à l'amplificateur ou au lecteur de DVD (mais dans ce cas il faut un ampli disposant d'une connexion 5.1 externe pour recevoir le signal décodé).
Ce système propre à l'Europe a fortement contribué au retard de près de 2 ans du lancement en masse du DVD en Europe et de toute la périphérie associée.
Maintenant abandonné, quelques titres français utilisent cet encodage qui, dans sa version 2.0, est exploitable par un amplificateur supportant le son PCM Stéréo.
 
Tomlinson Holman eXperiment
Attention, ceci n'est ni un standard audio, ni un standard vidéo, mais juste le respect d'un cahier des charges concernant la qualité des masters (dans le cas d'un film en THX) ou des composants (dans le cas
Le format sonore d'une source musicale définit le nombre de canaux utilisé pour son codage et le nombre optimal d'enceintes pour sa restitution.
Mono Canal 1.0
 Mono
Système de restitution sonore sur un canal audio unique généralement avec une seule enceinte.
Dans le cas d'une restitution monophonique sur un système à 2 enceintes, l'amplificateur distribue la même source sonore aux 2 enceintes.
 
Multi Canaux 2.0
 Stéréo
Système de restitution sonore sur 2 canaux - droit & gauche - avec 2 enceintes, chacune des enceintes recevant un canal audio.
Ce système nécessite une entrée sonore 2 voies sur l'amplificateur.
 
Multi Canaux 3.0
  Système de restitution sonore sur 3 canaux - avant droit, avant gauche et arrière - et 4 enceintes 2 enceintes à l'avant et 2 enceintes à l'arrière.
L'amplificateur distribue la même source sonore aux 2 enceintes arrières.
Le canal arrière est encodé sur les canaux stéréo avants et nécessite un décodeur spécifique - généralement intégré à l'amplificateur - pour extraire le canal arrière.
Du fait du codage du canal arrière sur les canaux avants, ce système ne nécessite qu'une entrée sonore 2 voies sur l'amplificateur.
 
Ce système est quasiment inexistant en Home Cinema
Multi Canaux 4.0
  Système de restitution sonore sur 4 canaux - avant droit, avant gauche, arrière et central - et 5 enceintes 2 enceintes à l'avant, 2 enceintes à l'arrière et une enceinte centrale. 
Comme pour le Dolby Surround, l'amplificateur distribue la même source sonore aux 2 enceintes arrières.
Le canal arrière est encodé sur les canaux stéréo avants et nécessite un décodeur spécifique - généralement intégré à l'amplificateur - pour extraire le canal arrière.
Du fait du codage des canaux arrières et central sur les canaux avants, le Doby Pro Logic ne nécessite qu'une entrée sonore 2 voies sur l'amplificateur.
Ce système, longtemps seul disponible sur le marché français (cassette et LaserDisc), a fait les beaux jours du Home Cinema avant l'avènement du DVD qui a bénéficié de nouveaux standard sonores.
 
Multi Canaux 5.1
  
 
 
Système de restitution sonore sur 6 canaux - avant droit, avant gauche, arrière droit, arrière gauche, central et SubWoofer - et 5 enceintes - 2 enceintes à l'avant, 2 enceintes à l'arrière et une enceinte centrale - et un SubWoofer (caisson de basse).
Dans ce système, non seulement les canaux arrières sont stéréos mais peuvent supporter les mêmes fréquences que les enceintes avants.
Ce système est utilisé par Dolby (Dolby Digital 5.1), DTS (DTS Surround) et MPEG (MPEG 5.1)
Il nécessite une entrée spécifique sur l'amplificateur, un coaxe ou une fibre optique, support sur lequel circulera l'ensemble des signaux codés.
La différence entre les 3 compétiteurs de ce système est lié au codage et au mode de compression utilisé.
 
Multi Canaux
5.1 EX (Dolby)
5.1 ES (DTS)
  
 
Système de restitution sonore sur 7 canaux - avant droit, avant gauche, arrière droit, arrière gauche, central avant, central arrière et SubWoofer - et 6 enceintes - 2 enceintes à l'avant, 3 enceintes à l'arrière (droite, gauche, centrale) et une enceinte centrale avant - et un SubWoofer (caisson de basse).
Le codage de la voie centrale arrière utilise le matriçage Prologic sur les voies arrières droite et gauche. 
Il nécessite un amplificateur spécifique, un coaxe ou une fibre optique, support sur lequel circulera l'ensemble des signaux codés.
 
 
Multi Canaux
DTS ES 6.1
  Système de restitution sonore sur 7 canaux - avant droit, avant gauche, arrière droit, arrière gauche, central avant, central arrière et SubWoofer - et 6 enceintes - 2 enceintes à l'avant, 3 enceintes à l'arrière (droite, gauche, centrale) et une enceinte centrale avant - et un SubWoofer (caisson de basse).
Contrairement au 5.1 EX ou 5.1 ES, le DTS ES 6.1 offre un vrai 6ème canal indépendant et non un matriçage des voies arrières.


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