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BLER (Block Error Rate, taux d'erreurs de bloc)
 Mesure de l'intégrité des données contenue sur un CD. Le taux d'erreur (erreur de type E11, E21, E31) se mesure sur une durée d'une seconde. Il peut être obtenu par des appareils d'analyse. Un taux moyen inférieur ou égal à 220 est considéré comme acceptable dans le Yellow Book et le Red Book.

Bloc (Block)
 Sur un CD, les données sont organisées par blocs contenant une en-tête, les données, la détection d'erreur, la correction d'erreur et le contrôle des informations. C'est l'unité logique minimale adressable (que l'on peut retrouver sur le CD), elle a un numéro (logical block number) qui permet de localiser les données.


Books
 ils synthétisent les spécifications des DVD et s'étendent de A à E en fonction des applications visées : 
 
Book A : DVD-ROM, spécifications pour la lecture seulement.
 
Book B : DVD-Video, contenant les spécifications Vidéo et une spécification Applications, qui définit les applications logicielles et les fonctions intégrées dans les lecteurs vidéo.
 
Book C : DVD-Audio, contenant les spécifications Audio et une spécification Applications, qui définit les applications logicielles et les fonctions intégrées dans les lecteurs audio.
 
Book D : DVD-R, spécifications pour l'écriture “une seule fois” et relecture.
 
Book E : DVD-E (effaçable ou réenregistrable) et DVD-RAM, contenant les spécifications réenregistrables.



Buffer
 Zone de stockage temporaire pour compenser la différence de vitesse entre les périphériques et assurer un flux continu de données. Un graveur de CD possède de 512 ko à 2 Mo.
Caddy
 Boîtier en plastique dans lequel on place le CD avant d'introduire l'ensemble dans un lecteur ou un graveur.

Capacité (Capacity)
 La capacité normale d'un CD est de 650 Mo organisés en 335250 secteurs de 2 ko. C'est équivalent à 74 minutes de son haute qualité. La quantité de données inscriptible sur un CD est d'au minimum 650 Mo mais dépend de plusieurs facteurs comme la vitesse de rotation ou le pas de la piste. Il est parfois possible d'enregistrer ou de copier plus de données que ne le permet la capacité nominale mais certains lecteurs ont des difficultés à lire ces CD.

CAV (Constant Linear Velocity, vitesse linéaire constante)
 Relatif à la vitesse de lecture de la piste de données. Beaucoup de supports de stockage magnétique (disquettes, disque dur) tournent à vitesse angulaire constante (nombre de tours par minute constant) donc les données se trouvant sur un bord extérieur sont plus étalées que celles situées vers le centre.

CD-DA (Compact Disc - Digital Audio, disque compact de musique digitalisée)
 Appelé communément CD, c'est un disque audio qui contient jusqu'à 74 minutes de son haute fidélité stéréo. Contrairement au disque vinyle où une aiguille suivait une rainure de profondeur variable et transmettait les vibrations, le rayon laser détecte la présence de creux sur la surface et transmet une information binaire (0 ou 1). Le son est transformé en un signal digital en prenant la valeur de ce son 44100 fois par seconde, cette valeur est codée en 16 bit (1001 0101 1011 1101 par exemple). Pour coder une seconde de son hi-fi, il faut 1,5 millions de bits. Il existe d'autres formes de CD : CD-ROM, CD-ROM/XA, CD-I. Introduit aux USA en 1983, les ventes de CD ont dépassées celle des disques en vinyle en 1986. Le Red Book donne les spécifications du CD-DA.

CD-ROM (Compact Disc - Read Only Memory, disque compact mémoire morte)
 C'est un format de CD utilisé pour conserver des textes, des images ou du son en informatique. Le CD-ROM est proche des CD-DA mais il utilise plusieurs pistes pour les données. Un lecteur de CD-DA ne peut lire un CD-ROM mais un lecteur de CD-ROM peut lire un CD-DA. Un CD-ROM peut contenir l'équivalent de 250000 pages de texte ou 20000 images en moyenne résolution.
 

CD-ROM mode 1
 Possède trois niveaux de détection et de correction d'erreurs pour les données informatiques.

CD-ROM mode 2
 Possède deux niveaux de détection et de correction d'erreurs pour les sons ou les vidéos.

CD-ROM/XA
 (Compact Disc Read Only Memory eXtended Architecture, CD-ROM architecture étendue)
 CD-ROM qui utilise le mode 1 et le mode 2. Il permet la lecture simultanée de sons de basse qualité et de données.

CD-Bridge Disc
 Version de CD-ROM/XA qui peut être lue sur un lecteur de CD-I ou de CD-ROM/XA.

CD-I (Compact Disc Interactive, disque compact interactif)
 CD qui comprend des données, des sons, des vidéos, etc. Le Green Book donne les spécifications du CD-I. Il ne peut être lu que par un lecteur spécifique.

CDV (Compact Disc Vidéo)
 Version de CD contenant uniquement des vidéos et du son.

CD-WO (Compact Disc – Write Once, disque compact – une seule écriture)
 Un CD inscriptible une seule fois (aussi appelé CD-R) Un CD-WO est conforme au standard ISO 9660 et peut être lu sur un lecteur de CD-ROM.

CIRC (Cross Interleaved Reed-Solomon Code)
 Méthode de correction d'erreur spécialement développée pour être utilisée avec les CD répondant à la norme du Red Book.

Close Session (fermeture de session)
 La fermeture de session d'un CD enregistrable consiste à écrire la TOC sur le disque et à préparer une lead in area pour la prochaine opération.
 

Close disc (fermeture du disque)
 La fermeture d'un CD empêche de faire d'autres opérations d'écriture quel que soit l'espace libre restant. Quand le disque est fermé, la lead in area de la dernière session ne contient pas l'adresse des prochains emplacements d'enregistrements.

CLV (Constant Linear Velocity, vitesse linéaire constante)
 La vitesse de défilement des données devant la tête de lecture est constante. La vitesse de rotation du disque est variable suivant la position de la tête de lecture.

CRC (Cyclic Redundancy Check)
 Donne le nombre de blocs par seconde où on a détecté des erreurs type CRC. Ce paramètre varie entre 0 et 75 blocks par seconde.

Cross Talk
 Voir XT

DAT (Digital Audio Tape, bande audio digitale)
 Système d'enregistrement sur bande magnétique spéciale et utilisée pour les sauvegardes informatiques.

Data Area (zone de données)
 Zone de données qui commencent a la référence 00 :00 :00 (ISO 9660).

Data transfer rate (taux de transfert de données)
 Un lecteur de CD-DA permet un taux de transfert de 150 ko par secondes. Un lecteur de CD-ROM 12x permet un taux de transfert de 1,8 Mo par seconde.
 

Digital audio (son digitalisé)
 Chaque échantillon est codé sur 16 bits.

Digital data (donnée digitale)
 Toutes les données informatiques sont digitalisées.

Digitize (digitaliser)
 Convertir un signal analogique en numérique. Cela peut-être un son, une image, etc.

Disc Description Protocol (protocole de description de disque)
 Protocole de description des secteurs d'un CD.

Disc at Once
 Méthode d'écriture en session unique qui écrit en une seule passe. La TOC et la lead in Area sont écrits de suite et doivent être compilés au préalable par le logiciel de gravage.

DRAW (Direct Read After Write, Lecture directe après écriture)
 Se réfère aux disques optiques.

DVI (Digital Video Interactive, Vidéo digitalisée, interactive)
 Algorithme de compression/décompression de données pour des fichiers vidéo.

DVD-R
 DIGITAL VERSATILE DISC
E11
 Une erreur de type E11 indique une perte d'une seule donnée récupérable.

E12
 Une erreur de type E12 indique une perte d'une seule donnée récupérable par le second décodeur.

E21
 Une erreur de type E21 indique une perte de deux données récupérables.

E22
 Une erreur de type E22 indique une perte de deux données récupérables par le second décodeur.

E31
 Une erreur de type E31 indique le nombre d'erreurs non récupérables par le premier algorithme de décodage.

E32
 Une erreur de type E32 indique des erreurs irrécupérables au niveau du deuxième décodeur. Il ne faut pas qu'il y ait d'erreur de ce type sur un disque.

ECC (Error Correction Code, code de correction d'erreur)
 Algorithme permettant la reconstitution de données perdues à cause de défauts.

ECC (Eccentricity, excentricité)
 Différence dimensionnelle entre le centre du disque et le centre de la spirale. Elle est de ± 70 µ pour les CDs mais il est préférable qu'elle soit de ± 50 µ pour les CD-ROM car ils sont lus de façon beaucoup plus aléatoire que les CD-A.
 

EDC (Error Detection Code, code de détection d'erreur)
 Algorithme de détection des erreurs.


Electroforming (Electroformage)
 Moyen technique de création de masque en métal ou matrice (Master) pour la fabrication série des CDs à partir d'une matrice en verre.

Form1
 Sous-format de CD-ROM Mode 2 utilisé pour les Photo-CD et les livres électroniques.

Form2
 Sous format de CD-ROM Mode 2 utilisé pour des applications où les données ne souffrent pas d'une correction peu rigoureuse (vidéo, son).

Glass Master (matrice en verrre)
 Le premier média enregistré et utilisé pour la réplication de CD. La matrice de verre est traitée avec un film photosensible et les données y sont gravées avec un laser. Le traitement de la matrice de verre exposée donne la trame des informations.

Green Book
 Standard pour les CD-I

Header field (En-tête)
 4 bits qui sont au début de chaque secteur de CD-ROM. Le header donne l'adresse du secteur et le mode d'enregistrement.

High Sierra
 Format d'organisation des fichiers qui est à l'origine de la norme ISO 9660.

IG (Intensity Groove)
 Mesure du pourcentage de la réflectivité de la spirale. Ces paramètres sont mesurés sur 10 points à travers l'aire de données du disque (se mesure avant et après enregistrement : IGa et IGb ).

IL (Intensity Land)
 Mesure du pourcentage de la réflectivité du land. IL est mesuré sur 10 points à travers la surface du disque (se mesure avant et après enregistrement : ILa et ILb).
 

Index
 Points situés sur une piste que l'on peut rechercher.

Injection molding (moulage par injection)
 Les disques en polycarbonate, qui forment la base des CDs, sont créés en injectant le plastique sous pression dans un moulage.

ISO 9660
 Norme internationale qui décrit l'organisation des fichiers informatiques sur les CDs.

ISRC (International Standard Recording Code)
 Code optionnel associé individuellement à une piste. La valeur ISRC, située dans le canal Q identifie une piste par la région d'origine (2 caractères ASCII), l'année de création (2 chiffres), le propriétaire (3 caractères ASCII) et un numéro de série (5 chiffres).

Jewel Case
 Boîtier de rangement en plastique pour un CD.

Jitter (Standard Deviation, déviation standard)
 Le jitter est mesuré individuellement pour les pits et les lands du 3T au 11T. Chaque pit et chaque land est mesuré et le jitter est calculé statistiquement comme un écart-type.

Ko (kilo octets)
 1024 octets (1024*8 bits).


Label (étiquette)
 Impression sur la face supérieure du CD qui peut être le nom du fabricant, le contenu du disque, etc.

Lacquer coating (Couche de laque)
 Couche protectrice pour la face du CD qui a reçu préalablement les dépôts de colorant et d'or.

Land (plaine)
 Aussi appelée flat, partie de la spirale (groove) qui n'aura pas été brûlée par le laser.
 

Lead In Area
 Sur un CD, c'est la partie sui se trouve en début de spirale et qui contient la TOC (Table of Contents). Cette TOC contient la liste des pistes et leur localisation. Elle reste vierge jusqu'à ce que la session soit fermée. Cette zone utilise jusqu'à 4500 secteurs (environ une minute ou 9 Mo).Si le disque n'a pas été fermé, la lead in area donne l'adresse de la prochaine zone inscriptible.

Lead Out Area
 Zone tampon en fin disque après la dernière piste. Elle ne contient rien et occupe 6750 secteurs pour la première session et 2250 secteurs pour les suivantes.

LECC (Layered Error Correction Code)
 Code de correction d'erreur qui remplace le CIRC lorsque ce dernier ne peut corriger les erreurs. Le LECC opère en faisant une nouvelle détection des erreurs et essaie de les corriger en utilisant les valeurs EDC et ECC.

Lenght Deviation
 La longueur de chaque pit et chaque land est mesurée et les longueurs moyennes sont comparées aux longueurs idéales. Les valeurs idéales de pits et de lands sont définis par la relation : nT= n x 231,4 avec n=3 à 11. La déviation est la différence entre moyenne mesurée et la valeur idéale.
Master (matrice)
 Pièce originale en verre qui permet de créer de copies de CDs.

Mastering
 Enregistrement des données d'un CD sur une surface photosensible sur un disque en verre (master) qui servira à la production série des CDs.

Metalizing (Métalisation)
 Procédé qui crée un dépôt métallique en couche mince sur la surface du disque en plastique après son moulage. Le procédé se fait sous vide.

MID (Maximum Information Diameter, diamètre maximum pour la zone d'information)
 Doit être inférieur à 116mm. Le paramètre MID est une mesure importante car les techniques de moulage et de manipulations impliquent d'énormes probabilités de problèmes de fin de piste. Le signal MID signale la fin du disque. Si le MID est en dehors des spécifications, cela implique des problèmes au niveau d'un risque d'affaiblissement des hautes fréquences, du signal de suivi de piste dû à la biréfringence, aux éraflures, et aux traces de doigts durant la manipulation.

Mixed Mode (Mode mixte)
 CD contenant plusieurs pistes qui ne sont pas du même type.

MO (Magneto-optical, magnéto-optique)
 Disque optique enregistrable et effaçable à volonté.

Mo (méga octets)
 Environ un millions d'octets.

NWA (Normalized Wobble Amplitude)
 Rapport entre le signal du wobble et le Push Pull. L'Orange Book spécifie un NWA entre 0,035 et 0,05.

Orange Book (livre orange)
 Standard pour les CDs enregistrables. Il comporte deux parties, une pour les CD-R et une pour les CD-RW.

OS-9
 Système d'exploitation en temps réel utilisé sur les CD-I.
 

PCM (Pulse Code Modulation, Codage des pulsation modulée)
 Méthode standard de codage audio.

Photo-CD
 CD enregistrable spécialement développé par Kodak pour archiver des photos et les visionner sur des lecteurs de CD-ROM/XA, Photo-CD ou de CDI. Chaque CD peut contenir 100 photos.

Pit
 Zones du CD brûlées par le faisceau laser afin de créer un changement de réflectivité.

Post-Gap
 Zone en fin de piste d'une longueur minimale de deux secondes.

Pre-Gap
 Zone en début de piste.

Premastering
 Préparation des données qui seront contenues par un CD avant la fabrication en série.

Programm Area (zone de programme)
 Zone du disque ou se trouvent les données.

Proof Disc
 CD de test.

Protective coating (Couche de protection)
 Couche protectrice de laque ou de polymère déposé par une buse et cuite aux UV pour protéger le colorant et l'or.

Push Pull
 Le paramètre Push Pull (PP) mesure la facilité qu'aura le lecteur à suivre la spirale. Le PPa est la valeur du Push Pull après enregistrement, on le rapporte à la valeur de réflexion de la spirale après enregistrement (IGa). De même pour le PPb (avant enregistrement avec IGb). On utilise surtout le rapport normalisé du Push-Pull (NPPR) donné par la formule suivante :

Le NPPR doit être compris entre 0,5 et 1. Le Push Pull est mesuré sur 10 points dans la zone de données du disque. Dans le système de CD-Cats, le PP est mesuré avec une lumière polarisée linéairement. Un système de mesure à l'aide d'une lumière polarisée circulairement peut modifier les résultats.
 

RC (Radial Contrast, contraste radial)
 Le contraste radial est la différence de réflectivité des spirales et des parties entre les spirales. D'après l'Orange Book, RC doit être supérieur à 20% sur un disque enregistré et supérieur à 5% sur un disque vierge. Le RC est mesuré sur 10 points à travers la surface du disque. Il est aussi égal à :

Red Book
 Standard pour les CD-A.

REF (Reflectivity, réflectivité)
 Elle est calibrée avec un disque de référence et utilisée pour la détection et la normalisation des variations de réflexion.

RIFF (Resource Interchange File Format, Format de fichier d'échange de ressources)
 Format de fichier qui autorise le stockage de graphiques, de sons, d'animations.

RN (Radial Noise, bruit radial)
 Un bruit radial peut exister lorsque les pistes sont endommagées et se trouve dans une gamme de fréquence entre 500 et 2500 Hz.

SVY: (Scanning Velocity, vitesse de contrôle)
 Se situe entre 1,2 m/s et 1,4 m/s. Sous 1,2 m/s, il affecte l'amplitude des informations de longueur I3. Le paramètre SVY représente la vitesse avec laquelle passe le spot de lecture. Si la vitesse est trop élevée, le niveau de I3 est trop faible. SVY est mesuré sur 10 points à travers l'aire de données du disque comme les informations verticales. Le résultat est présenté sous forme de minimum, maximum et de la moyenne. Les variations du SVY sur le disque doivent être inférieures à ± 0,01 m/s (CD-CATS).

SLD (Start Lead In, début de la Lead In)
 Le début de la zone lead in doit être au rayon 23,1 mm. Le lecteur utilise cette surface pour localiser la table des contenus (TOC). Si le paramètre SLD est en dehors des spécifications le lecteur pourra ne pas arriver à localiser la TOC.

SPD (Start of Program Diameter, début de la zone de programme)
 Doit se situer entre le rayon 24,8 mm et 25.04 mm. Le paramètre SPD est utilisé par le lecteur pour localiser le début d'une piste. Si le paramètre SPD est en dehors des spécifications, le lecteur mettra plus de temps à trouver la première piste.
 

Stamper (tampon)
 Partie métallique qui se place dans le moule de la presse à injecter et qui permet de créer la spirale (groove).

Substrat
 Corps principal en polycarbonate d'un CD sur lequel on vient déposer plusieurs autres couches.

TIFF (Tagged Image File Format, format de fichier d'image scannée)
 Lorsqu'une image est scannée, elle est sauvegardée sous le format TIFF.

TOC (Table Of Contents, Table des contenus)
 Informations situées dans la lead in area. Elle contient la localisation de début de chaque piste et le type de disque.

Track (piste)
 En audio, chaque chanson est représentée par une piste. Pour les données informatiques, il n'y a qu'une piste. Si le CD-ROM est du type mixte, il contient une piste de données et des pistes sons. On peut mettre jusqu'à 99 pistes sur un CD.

Track Pitch (pas de la piste ou de la spirale)
 Distance physique entre deux courbes de la spirale, elle de l'ordre de 1,5 à 1,7 µ. 

Turnaround Time (temps de cycle)
 Temps nécessaire à la fabrication d'un CD.

Volume description (description du volume)
 Zone en début de disque réservée pour l'enregistrement d'information comme l'origine, le copyright, etc.

W-O (Write Once, écrire une fois)
 Disque optique inscriptible une seule fois.

WORM (Write Once, Read Many)
 Identique à W-O

Yellow Book (livre jaune)
 Lorsque le standard du CD a été créé par Philips et Sony, il fut publié dans un livre à couverture jaune d'où le nom du standard.

XT (Cross Talk)
 Mesure de la quantité de bruit présent dans les signaux de haute fréquence. Le XT doit être inférieur à 50%. Des valeurs de XT trop hauts provoquent un signal de HF perturbé, qui à son tour, provoque un BLER élevé.
Un CD est un disque de 120 mm de diamètre et de 1,2 mm d'épaisseur. Le trou central a un diamètre de 15 mm, il sert à centrer le CD.

Il est constitué d'un disque de polycarbonate (matière plus solide et plus résistante aux températures que les plastiques courants).

Il y a un anneau d'empilement (stack ring) d'une hauteur de 0,27 mm qui permet de protéger les CD lorsqu'ils sont empilés. La rainure du porte tampon (stamper holder groove) n'a pas de fonction particulière.	 

 
 

 
Composants d'un CD-R MAM-E
 
 Substrat
Un disque en polycarbonate constitue la pièce de base d'un CD-R. Son rôle est très important comme le lecteur le constatera en lisant la partie Process fabrication (moulage).

 Colorant
Le disque de polycarbonate est recouvert par du colorant organique (dye). La fonction du colorant est de conserver les informations. Il se décompose sous l'effet d'un rayon laser qui génère de la chaleur (780-790 nanomètres de longueur d'onde). Le colorant noircit sous l'effet du rayon laser (création de l'information).



Le colorant utilisé par MAM-E est la phthalocyanine.

 
Or ou Argent
 
Une couche réflective (reflective layer) en or est déposée sous vide. Elle permet de réfléchir le rayon laser qui va lire le CD. Pour des raisons économiques, l'Argent a peu à peu remplacé l'Or, afin de diminuer les coûts du produit final, et augmenter la réflectivité. 
La durée de vie est néanmoins moins importante pour un CD-R possédant une couche Argent qu'une couche Or.
 

 
Laque
 
Une couche de laque est déposée sur l'or. Elle va recouvrir entièrement le dépôt d'or en le débordant sur les bords du disque et au centre car le dépôt d'or ou de colorant se pèle facilement et l'humidité peut s'infiltrer. Cette couche est cuite aux ultra-violets pendant deux secondes.

 
Diamond Coat
 
On dépose sur la laque une couche de protection haute résistance exclusive à MAM-E, afin de rendre le support insensible aux rayures.

 
Impression
 
C'est la dernière étape avant l'emballage. Elle consiste à imprimer des informations graphiques comme la marque du fabricant, le type de produit, etc.

  Principes de fonctionnement 
 
Généralités
 
Le CD-R est un support de stockage optique. L'enregistrement des données sur le CD-R nécessite un graveur qui sait aussi faire office de lecteur. Il est intéressant de noter qu'un simple lecteur ne pourra pas enregistrer d'informations. La capacité d'un CD-R est d'environ 650 Mo, soit l'équivalent de 450 disquettes. L'écriture et la lecture d'un CD ou d'un CD-R se fait grâce à un rayon laser qui parcoure la surface du disque comme le faisait une aiguille sur un disque vinyle.

La tête de lecture est montée sur un dispositif mobile qui permet de suivre les variations de position dans le sens de la hauteur du CD.

 
Vitesse de rotation

 
Il y a deux types de rotation possibles :
 Vitesse linéaire constante (CLV)
 Vitesse angulaire constante (CAV)

Avec une vitesse angulaire constante, il n'y a pas de contrôle de vitesse à faire. Par contre avec une vitesse linéaire constante, il faut faire varier la vitesse de rotation du disque en fonction de la position de la tête de lecture afin que la vitesse soit exactement de 1,2 m/s. Avec une vitesse de rotation constante (CAV), la capacité du disque n'est pas aussi grande que dans le cas d'une vitesse linéaire constante (74 minutes et 30 secondes de son haute fidélité à 44,1 kHz).
 

 
Lecture
 
Le CD- R est composé d'un disque en plastique recouvert de diverses couches de produits. Le disque en polycarbonate possède sur une de ses faces (celle qui reçoit les couches de colorant, d'or, etc.), un dessin très fin dont la forme générale est une spirale.
Ses dimensions sont les suivantes :
 
 Rayon de départ :
22 mm
 Rayon de fin :
58,1 mm
 Pas de la spirale :
1,6 µ (0,0016 mm)
 Epaisseur :
0,67 µ
 Profondeur :
0,168 µ


Elle est formée lors du moulage du disque de polycarbonate. La partie du moule qui crée le dessin de la spirale est le tampon ou stamper.

La courbe n'est pas régulière mais oscille (wobble) autour de sa courbe moyenne :
 

 

La fréquence de ces oscillations est de 22,05 kHz. Cette oscillation permet à la tête de lecture de suivre la courbe et de réguler la vitesse de rotation du CD.

Le faisceau laser va suivre la spirale comme le faisait le saphir sur un disque en vinyle 33 ou 45 tours. Il va traverser le polycarbonate, la couche de colorant et se réfléchir sur la couche d'or. Le signal va être analysé et décomposé en deux informations principales : la réfraction ( Ref) et le signal d'erreur de suivi de piste (Te).

La réfraction permet de connaître les informations gravées sur le disque : le colorant (dye) est plus ou moins sombre car le laser l'a brûlé par endroit afin d'y graver une information binaire (deux états : 0 ou 1 à l'image d'un interrupteur ouvert ou fermé) et la réfraction sera différente suivant l'état du colorant (brûlé donc sombre, ou non et donc plus clair).

Le signal d'erreur de suivi de piste (Tracking error signal) permet d'une part de suivre la spirale et d'autre part de réguler la vitesse de rotation du disque. Comme on l'a vu plus haut, la spirale ne suit pas une courbe régulière mais oscille (wobble) ; le rayon laser réfléchi est décomposé en deux parties (droite et gauche) et l'analyse de la puissance réfléchie de ces deux parties qui varie permet de savoir la vitesse de rotation en suivant des variations (fréquence du signal).
 
 
La fréquence étant de 22050 Hertz, la période doit être constante pour garantir un flux constant des données lors de la lecture de la zone gravée ou de l'écriture.

Comme la tête de lecture doit se déplacer pour suivre la variation de rayon de la spirale, on utilise aussi la variation de l'amplitude des signaux pour corriger la position. Un signal deviendra plus fort que l'autre au fur et à mesure que le rayon laser s'éloignera de la ligne moyenne des oscillations de la spirale. L'analyse de cette différence commandera le déplacement de la tête de lecture.
 

 
Codage des informations
 
Les zones brûlées par le rayon laser (mark) ont des tailles variables mais normalisées : 3T à 11T. L'unité T est égale à 231,4 nanosecondes. La taille minimale d'une information est donc de 3x231,4 ns ce qui donne 694,2 ns ou 0,833 µ (11T = 3,054 µ). Cette taille est nécessaire car le faisceau laser est large (1,7 µ).

Le signal renvoyé par le laser est épuré pour être transcrit en code binaire (0 ou 1) comme le décrit le schéma ci-dessous : 
 


Lorsque le signal réfléchi change, la valeur binaire est 1. Lorsque la réflexion est constante, la valeur est 0. Un pit (synonyme de mark) ou un land de 4T donnera trois valeurs de 0 (l'occurrence des valeurs 0 est de nT-1).

Les données ne sont pas gravées sur le disque simplement l'une à la suite de l'autre. Afin de se prémunir contre les risques de pertes de données dues par exemple à de la poussière, les données sont placées suivant un ordre particulier. Un mot sera découpé et placé en différents endroits comme cela, si il y a un défaut sur le disque, on limite la perte de données concernant un même mot ( ou bloc). Ainsi le système de correction d'erreur pourra plus facilement reconstituer les données perdues.
 

 
Traitement des erreurs
 
Le système de codage permet de détecter les erreurs et de les corriger suivant leurs niveaux de gravité. Comme il y a toujours un risque d'erreur et que l'on ne peut se permettre de perdre des données, des systèmes de correction ont été inventés.

Le plus simple serait de répéter les données 2 ou 3 fois, mais on perdrait d'autant plus de place. Un autre système est le suivant : on a un tableau de données (matrice) et on fait la somme des nombres de chaque ligne et de chaque colonne. Comme cela, si une donnée est perdue, on peut la déduire des autres valeurs du tableau et des sommes.

Plusieurs mesures d'erreurs sont utilisées comme le taux d'erreur de bloc (Block error rate ou BLER) : il y a 7350 blocs qui sont lus en une seconde et on tolère un taux de d'erreur de 3%, c'est-à-dire qu'en une seconde il ne doit pas y avoir plus de 220 blocs inutilisables (Orange Book).

Si le BLER est élevé, c'est sans doute dû à une contamination du colorant ou à de la poussière présente durant le moulage. Les spécifications de MAM-E sont : BLER moyen inférieur à 50 sur 10 secondes et BLER maximum inférieur à 100 sur une seconde.

Erreurs non récupérables (Uncorrectable error ou E32) : il s'agit de très gros défauts qui ne permettent pas la correction de l'erreur ni la récupération de l'information. Il ne doit bien sûr pas en avoir, le test est fait par inspection optique (CCD), l'appareillage Basler dont nous disposons permet de connaître la taille du défaut et sa profondeur dans le disque et donc de le rejeter si nécessaire (pour une même taille de défaut, plus celui-ci est loin de la couche de colorant, moins il est grave).
 


 
Ecriture
 
Lors de la phase d'écriture, le graveur identifie le fabricant du CD-R et adapte la puissance du laser suivant la qualité du CD-R tout au long de l'écriture. Lorsque le laser grave le CD-R, il y a lecture en même temps. Le signal lu permet de calculer un paramètre appelé ß qui est égal à divisé par la valeur maximale du signal :
 


Une puissance inadaptée augmente la déviation du signal ; si l'on mesure la déviation en faisant varier la puissance, on obtient le schéma suivant :
 

  Procédés de fabrication d'un CD-R MAM-E 
 

 
Injection
 
 
Le polycarbonate est chauffé puis injecté dans un moule contenant la spirale permettant la gravure ultérieure du CD-R. La pression exercée est de 30 tonnes.
...en savoir plus
 
Dépot du dye
 
Le colorant organique (dye) est ensuite déposé sur le disque en polycarbonate, afin de donner au support final ses propriétés d'enregistrement.	 ...en savoir plus
 
Métallisation
 
 
Le CD-R est ensuite recouvert d'une métallisation en Or ou en Argent pur, permettant la réflectivité du rayon laser.
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Finition
 
Afin de protéger la métallisation, le disque est recouvert d'un vernis qui est séché par exposition UV.	 ...en savoir plus
 
Contrôle qualité
 
 
A chaque étape de production, des contrôles précis sont effectués afin de garantir une qualité constante de fabrication.

  Le contrôle Qualité MAM-E 
MAM-E produit une gamme complète de CD-R et de DVD-R dont les matières premières proviennent exclusivement de l'entreprise elle-même. Ces produits destinés à l'archivage, à la distribution et à la duplication de l'information, répondent aux exigences de qualité les plus grandes et font preuve d'une extrême longévité.

Indications aidant à évaluer et tester les CD-R
La gravure de CD-R est une opération extrêmement complexe. Elle sollicite aussi bien le logiciel de gravure que le graveur de CD, le matériel informatique, le système d'exploitation et bien sûr les médias. Ces différents éléments ont une influence sur la qualité des résultats.

Le fabricant de CD-R et DVD-R MAM-E finit premier dans le comparatif CD-R de 60 millions de consommateurs. 
 
Avec ses 12 cm ou ses 8 cm de diamètre, le DVD (Digital Versatil Disc), ressemble à ses prédécesseurs de la famille CD, mais il fait considérablement mieux : il peut stocker l'équivalent de 27 CD, transfère un flux de données à débit très élevé et offre ainsi une voie royale au cinéma à la maison, à la salle de concert chez soi, aux applications multimédias de très haute qualité et, à terme, aux magnétoscopes et aux caméscopes tout numérique. Le DVD présente les caractéristiques des quatre formats et des cinq types de DVD, du DVD-Video au DVD-RAM (effaçable et réinscriptible), en passant par le DVD-ROM, le DVD-Audio et le DVD-R (enregistrable une seule fois). L'auteur décrit à travers cet ouvrage les spécifications et les caractéristiques techniques des DVD, leurs utilisations ainsi que les équipements et la technologie mis en oeuvre. Il fournit également les clés du succès des différents formats et leurs perspectives de développement. Au-delà de l'aspect technologique, Le DVD est un véritable guide sur la voie à suivre pour réaliser un DVD et notamment, le processus de création d'un DVD-Vidéo.

Sommaire
Première partie. Caractéristiques générales 1. Le DVD, successeur du CD 2. Caractéristiques générales des DVD Contenu des Books de spécifications - Densité de l'information - Capacité - Laser de lecture - Propriétés des couches - Lecture des informations - Vitesse de rotation - Principes de codage - Modulation du signal. - Secteur. - Les différentes zone du DVD 3. DVD-Video, DVD-ROM, DVD-Audio Le DVD-Video - Avantages du DVD-Video - Limites du DVD-Video - Les lecteurs de DVD - Le lecteurs de DVD face au magnétoscope - Le DVD-ROM - Compatibilité - Lecture de DVD-Video sur PC ou Mac - Décompression matériel - Equipement logiciel - DirectShow de Microsoft - Lecture de DVD-Hybrides - Le DVD-Audio 4. Les DVD enregistrables DVD-R (Record once) - Le DVD-RAM (effaçable et enregistrable) - Enregistreurs de DVD-RAM 5. Principes du DVD-Video La video compressée au format MPEG - Les ratios d'aspects acceptés par le DVD - Le multi-angles - L'audio - Les images fixes - Incrustation d'images - Limitation d'accès - Protection contre la copie - Le code régional - Compatibilité 6. Structure du DVD-Video L'organisation des données - Structure de volume - Volume - Titres video et Objets video - L'interactivité - La télécommande - Présentation et relecture - Enchaînement des séquences - Instructions de navigation - Menus - Paramétres système et paramètres généraux - Exemples Deuxième partie. Le processus de production d'un DVD 7. Planification et préparation des ressources : le prémastering Le premastering - La planification du projet - Interactivité - Nombre de langues - Le design du DVD - La gestion des ressources video, audio, images et textes - La gestion du budget bits - La répartition du budget bits - Impact du multi-angle - Format des images incrustées, des sous-titres et des images fixes - Le traitement de l'audio - Le préparation des pistes audio - Mpeg-2 audio - Le Dolby Digital - Encodage audio 8. L'encodage MPEG Du MPEG 1 au MPEG 2 - Principes de la compression MPEG - Traitement de la vidéo - Division en macro-blocs et compensation de mouvement - Recherche des différences à l'intérieur des macro-blocs (DCT) - L'importance du pre-processing - La capture vidéo et l'encodage - Audio MPEG - Le processus d'encodage audio - Le flux audio MPEG - Le multiplexage - Le décodage MPEG 9. Le développement auteur (authoring) du DVD Organisation des ressources - Programmation de l'interactivité - Simulation - Préparation de l'image-disque et formatage - Formatage de l'image-disque - Emulation 10. Mastering, pressage, packaging Création du glass-master - Le label - Pit-Art - Le packaging 11. Coût de réalisation d'un DVD Conclusion : Le marché du DVD Glossaire des termes DVD - Glossaire général
AMPLI CLASSE A : La classe A est la caractéristique d'une amplification linaire du signal qui a la particularite de consommer 50% de la puissance pour alimenter les transistors ou lampes. C'est par le fait que l'amplification est lineaire que la HiFi s'est approprie ce concept.
Les inconvenients majeurs sont que la puissance obtenue est très modeste (30 a 50W) et que ca dégage une chaleur énorme !
ANALOGIQUE : s'oppose conceptuellement au numérique. Le signal dit analogique est composé de fréquences (variations continues d'une grandeur physique) et non de 0 & 1. Les signaux analogiques sont très sensibles à leur support, car aucune correction ne permet de compenser certains défauts de stockage ou de diffusion (bande abimée, laserdisc endommagé, câbles défectueux ...). L'image gravée dans le Laserdisc est analogique; de ce fait elle est d'un fluïdité remarquable (pas de compression) et d'un naturel incomparable, mais attention aux traces de doigts ainsi qu'à tout ce qui pourrait nuire à la bonne restitution du signal.
AUTO-REVERSE : les lecteurs de Laserdiscs auto-reverse sont capables de lire les 2 faces d'un Laserdisc sans que vous ayez à sortir le disque pour le retourner par vous-même. Il effectue une lecture non-stop du programme des 2 faces (soit 128 mn max + 8 secondes de vide vidéo dues à l'opération de retournement).
  
BALAYAGE 100 Hz : technologie appliquée aux tubes cathodiques permettant de regénérer 2 fois plus vite l'image afin de, afin de supprimer le scintillement de l'écran et diminuer la fatique visuelle.
BITRATE : bande passante (en nombre de bits) occupée par un signal numérique après sa compression. Le bitrate est une conséquence directe de la compression MPEG2. Plus le signal est comprimé, plus la qualité baisse (les bitrate très bas sont mauvais).
Le consortium DVB, qui a créé les normes de télévision numérique utilisées en Europe, a dressé une liste des récommendations destinées aux émetteurs, pour garantir un signal de bonne qualité. Voici les bitrates pour la vidéo :
•	3 - 3,5 Mbit/s - news et dessins animés 
•	3,5 - 4 Mbit/s - musique 
•	4 Mbit/s - cinéma 
•	5 Mbit/s - live 
•	6 - 8 Mbit/s - sport et sources en 16/9 
Dans le monde DVD, la plupart des titres ont un bitrate variable. C'est-à dire, la bande passante s'adapte à la complexité de la scène. Dans le numérique par satellite ou câble, les bitrate sont fixes. On alloue une bande passante à un signal, et c'est tout. Ce qui est loin d'être satisfaisant. Tu n'as pas besoin d'une bande passante pleine lorsque une chaîne passe une mire. Mieux encore, tu peux appliquer le même discours instant par instant. Dans une séquence, lorsqu'on a des plans fixes ou des détails qui ne varient pas, ces portions deviennent redondantes. C'est la nature même de la norme MPEG2.
BLINDAGE MAGNETIQUE : il permet d'isoler les aimants intégrés dans les enceintes. Indispensable pour protéger le tube cathodique ou le magnétoscope du rayonnement de l'enceinte centrale.
BLOC OPTIQUE LCD et TRI-LCD : il est assez complexe car il n'est pas fixe comme sur les tri-tubes, mais est le fruit de multiples lentilles capables de changer la focale du diffuseur. En effet, les LCD et tri-LCD sont dotés de zooms à pas variables suivant les modèles. C'est d'ailleurs un de leurs gros avantages comparés aux tri- tubes. On peut les placer n'importe où, ou presque, et moduler la taille de l'image à sa guise, dans les tolérances du bloc optique il va sans dire. Ce zoom peut être manuel ou automatique, idem pour le réglage de la mise au point (focus).
  
CAV/CLV : Il existe 2 façons de graver un programme vidéo sur un Laserdisc : le mode CAV (Constant Agular Velocity) et le mode CLV (Constant Linear Velocity). La différence tient dans la durée par face et la possibilité d'effets spéciaux. Le mode CLV est celui avec lequel plus de 90% des Laserdiscs PAL sont fabriqués; il permet un stockage de 64 mn de son & image par face, soit un total théorique de 128 mn par disque. Ce mode CLV est certes une aubaine de capacité, mais il n'autorise pas d'arrêt sur image, ni de ralentis ni d'accélérés à vitesses variables; c'est l'affaire du mode CAV. Ce dernier ne permet de stocker que 36 mn par face, mais de par son mode de gravure du disque, il autorise un lecteur de LD doté du mode CAV d'offrir un arrêt sur image parfait, ainsi que des ralentis et desaccélérés, le tout dirigé par la télécommande.
Seul le lecteur de Laserdiscs LD-925 de Pioneer se moque du fait que les LD soient en CAV ou en CLV, car il intgre une mémoire de trames qui fabrique des effets spéciaux numériques quel que soit le disque lu. En général, les films qui nécessitent le pressage de 2 disques disposent d'une face en CAV, normalement celle où se trouvent les séquences d'action car le mode CAV est idéal pour la décomposition du mouvement.
C.C.S (Content Scrambling System) : moyen de protection contre les copies informatiques qui empechent de recopier le flux MPEG2 sur un autre format numerique (Disque dur ou DVD-RAM quand ils existeront).
CD-R : CD (audio) enregistrable une fois.
CD-W : CD (audio) enregistrable à volonté.
CDV (Compact Disc Video) : Cette ancienne appellation du Laserdisc ne concerne plus que les disques de 12 cm comportant 6 mn d'image et 20 mn de son (image analogique et son numérique). Ces CDV ne sont plus fabriqués par les éditeurs, néanmoins certains sont encore disponibles. Tous les lecteurs de LD peuvent lire ces CDV.
CINEMASCOPE : format de pellicule cinéma dont le rapport largeur/hauteur de l'image est égal à 2,35. Ce format peut exploiter le 35 ou 70 mm.
CLOSE CAPTION : procédé électronique permettant à un boitier appelé lui- même Close Caption, de faire apparaître en sous-titres et dans la langue originale, ce qui correspond aux dialogues et aux ambiances sonores. Ce procédé n'est utilisé que sur les LaserDiscs NTSC. Il a été créé à l'intention des sourds et malentendants américains.
COAXIALE NUMERIQUE (liaison) : connexion numérique par câble au format standard S/PDIF.
COMMANDE ECRAN ELECTRIQUE : beaucoup de projecteur haut de gamme sont dotés de la télécommande d'un écran électrique. En fait, dès la mise en contact du vidéoprojecteur, il actionne la descente de l'écran. Très frime et totalement convivial !
COMPOSITE (liaison) : connexion vidéo standard sur prise RCA en général, dont la chrominance et la luminance sont mélangées. 
CONVERTISSEUR D/A : le son gravé sur un laserdisc étant numérique, il faut le le convertir en données analogiques (fréquence) afin qu'il soit exploitable par un étage d'amplification et des enceintes entre autres. C'est le rôle du convertisseur D/A (Digital/Analogique) présent dans tout lecteur de laserdiscs. Il existe plusieurs type de convertisseurs qui fonctionnent sous des algorithmes de calcul différents : bitstream, 1 bit, 18 bits, ... Les lecteurs Pioneer récents fonctionnent sur un mode de conversion 1 bit. Les modèles évolués (925, 2950) disposent d'une sortie numérique optique qui évite de faire appel au convertisseur D/A intégré au lecteur.
CORRECTION DE L'EFFET DE TRAPEZE : autrefois uniquement réservé à la caste des tri-tubes, cette correction (dite aussi de clé de voûte) sur quelques LCD est une bénédiction.Rappelons que cette déformation géométrique intervient lorsque le projecteur n'est pas dans l'axe de l'écran (trop haut, trop bas). L'image se voit donc déformée et manifeste un défaut trapézoïdal. On peut mettre fin à ce handicap grâce à une correction numérique par compression de pixels : on les déforme afin qu'ils rétablissent la géométrie de l'image dans un ordre de + ou - 30 degrés.
CHROMINANCE : concerne les informations couleurs du signal vidéo.
DATA (diffuseur) : on dit de n'importe quel diffuseur qu'il est DATA lorsqu'il peut restituer sans faire appel à une interface certains signaux informatiques dont on sait que la fréquence de balayage horizontal est élévée. Par exemple, le signal vidéo NTSC classique (525) travaille sur une fréquence de balayage horizontal de 15,75 kHz. Les ordinateurs personnels (VGA) demandent, eux, une plage de fréquences s'étendant jusqu'à 36 kHz. les doubleurs de ligne travaillent eux jusqu'à 31,5 kHz. Dès qu'on monte vers l'univers Super VGA, on a besoin d'un diffuseur capable d'un balayage horizontal allant de 36 à 64 kHz. Quant aux quadrupleurs, ils réclament des appareils capables de 63 kHz.La Digital HDTV demande, elle, 48 kHz, et enfin les super ordinateurs de types SUN et Silicon Graphics réclament des diffuseurs à même de passer jusqu'à 105 kHz de balayage horizontal ! En fait, lorsque vous désirez acheter un tri-tubes ou un tri-LCD, renseignez-vous sur ses fréquences de balayage horizontal, vous saurez ainsi quels sont les équipements que vous pourrez y relier, c'est sa carte de visite spécial balayage.
DIAPHONIE : Pertubation de l'un des canaux stéréophoniques par le canal voisin. Une électronique de qualité séparera au maximum les 2 voies.
DISTORSION : Déformation du signal original par ajout d'harmoniques ou intermodulation entre 2 fréquences.
DOLBY SURROUND : Système d'encodage d'une bande son stéréo mis au point par les Laboratoires DOLBY, permettant d'introduire d'une façon invisible 2 canaux supplémentaires dans la stéréo classique. Grâce à un ampli intégrant un décodeur Dolby Prologic, on peut retrouver ces 2 canaux enfouis qui deviendront la voie centrale des dialogues du film ainsi que la voie arrière (surround) réservée aux bruits d'ambiance. Ce canal surround monophonique est diffusé par 2 enceintes afin de remplir correctement l'arrière de la pièce. Le Dolby Surround est l'essence du Cinéma à domicile. Désormais, la plupart des programmes disposent de l'encodage Dolby Surround ce qui permet au public de s'offrir un spectacle sonore de grande qualité sur plusieurs enceintes (notion de multicanaux). Une multitude de matériels intègre un décodage Pro Logic du Dolby Surround : téléviseurs, amplis, magnétoscopes, amplis- tuners, midi et mini-chaînes, consoles de jeux ... Le Laserdisc reste le support le plus fiable du spectacle sonore, et ce en raison de sa bande son numérique non compressée.
DMD ou DLP : procédé de projection ou rétro projection par la technologie de micro-miroirs à très haut rendement lumineux, développé par Texas Instrument.
DNR : Digital Noise Reduction. Utilisé pour l'audion (diminution du souffle des cassettes) ou vidéo (réduction des bruits et de la neige à l'écran) employé notamment sur des magnétoscopes et des téléviseurs.
DOLBY DIGITAL : anciennement appelé Dolby AC-3. Il s'agit d'un système de codage numérique avec compression de données audio permettant de placer 6 pistes. Au contraire du ProLogic, les pistes ne sont pas matricées mais "discrètes" ou indépendantes.
DROP OUT : Signal parasite du à la détérioration d'une bande vidéo; Images qui sautent sur un Laserdisc mal pressé.
DSD : (Direct Stream Digital) Format du super CD de Sony et Philips.
* fréquence d'échantillonage de 2MHz (DVD audio: 96Khz, ca joue sur la bande passante)
* compatibilté CD : première face double couche (couche supérieure 780Mo flot numérique compatible cd)
* bande passante effective de 100kHz (un peu plus du double du DVD audio: 48Khz)
DSP : Indépendamment de tout codage, il est possible d'attribuer à la pièce où l'on écoute le volume sonore de la nef d'une cathédrale, ou recréer l'ambiance intimiste du piano bar. Ces effets d'ampleur sonore peuvent être réalisés à partir de n'importe quelle source musicale. Le signal alimentant les enceintes transite alors par un processeur numérique (Digital Sound Processor) intégré dans l'amplificateur.
DTS : Digital Theater System. Format sonore mis au point par les studios Universal pour les salles de cinéma, concurrent du système Dolby Digital, auquel il oppose surtout des performances audio supérieures. 
DVB : Digital Video Broadcoast. Comité d'études chargé de développer les normes de transmission et de diffusion de données numériques audio et vidéo.
DVD : Digital Versatile Disc. Support CD visant à remplacer tous les autres supports (K7, LD, CD-ROM) dans les années à venir. Autorise un stockage important de données reposant sur les nouvelles normes numériques (MPEG 2, Dolby Digital). plus de précisions. 
  
ECRAN LCD : Abréviation anglaise de Liquid Crystal Display : affichage à cristaux liquides. Une mulititude de cellules microscopiques composent l'écran.
EASTER EGGS : Ce sont les options (features) cachées dans les menus DVD !
EVOLUTIF : Ce dit d'un ampli Audio/Vidéo disposant d'entrées (6 prises CINCH ou 1 bus de connexion) pour un décodeur externe répondant à un autre format audio que celui qu'il exploite.
ENTREE OPTIQUE : Appelée aussi Tos-Link, l'entrée optique est protégée par un petit capuchon noir. Elle permet de recevoir en numérique via un câble optique le signal provenant de multiples appareils dotés de ce type de connecteur. Eviter l'acaht d'un ampli haut de gamme qui en serait dépourvu.
ENTREE COAXIALE : Elle ressemble à une fiche CINCH et permet de recevoir, via un câble coaxial, un signal numérique sous forme électrique (très fiable si le câble est bon). Eviter l'achat d'un ampli haut de gamme qui en serait dépourvu.
FACTEUR D'AMORTISSEMENT : Révélateur de la capacité de l'amplificateur à bien maîtriser l'enceinte accoustique.
GLITCH : défauts comme des lignes blanches qui passent rapidement dans les bandes noires en mode 16/9 (présents dans les DVD Columbia). Liste des glicht
GRAIN : Tout signal vidéo stocké et diffusé peut manifester un grand nombre de problèmes qu'heureusement le laserdisc limite, du moins si le travail de fabrication du disque a été bien effectué à la source. Le Grain (granulation/bruit sur images) est le problème le plus fréquemment observé. Il est la résultante d'un mauvais rapport signal/bruit vidéo qui peut provenir de pas mal de de facteurs : télécinéma médiocre, pellicule moyenne, mastering bâclé, pressage laissant à désirer, diode du lecteur qui fatigue, lecteur de mauvaise qualité, mauvais câblage, diffuseur vidéo mis en position de netteté maximum ...
HAUTE DEFINITION (Télévision) : la TVHD implique trois valeurs : une image plus large (format 16/9), plusieurs canaux numériques pour le son (de 5 à 8 selon les normes) et une définition doublée de l'image (1250 lignes au lieu des 625 actuelles).
IMAGE INVERSEE (diffuseur) : se dit des modèles de diffuseur capables d'inverser l'image afin de pouvoir être positionnés derrière un écran et non face à lui (notion de rétroprojection LCD). Attention, ce terme peut également être employé dans certaines documentations afin de spécifier que l'appareil peut se trouver tête en bas, c'est à dire accroché au plafond, tout en délivrant une image dans le bon sens !
INTERNET TV : Téléviseur capable de se substituer à un PC + modem afin de se connecter à Internet. Le menu du téléviseur permettra de naviguer sur le Web. Ces téléviseurs diffusent également la vidéo d'une façon classique.   
LAMPE A VAPEUR DE METAL (METAL HALIDE) : lampe équipant la plupart des vidéoprojecteurs mono ou tri-LCD. Délivrant une lumière blanche pure, cette lampe d'une puissance très différente selon les modèles est généralement annoncée pour une durée de vie comprise entre 1.000 et 2.000 heures. Sa puissance varie de 100 à 350 W en moyenne et voit son incidence sur la luminosité, le coût et la taille maximum d'image que peut fournir l'appareil. Une lampe de 150/180 W est recommandée, quoique par expérience certaines lampes de 1100 W soient plus virulentes que d'autres de 150 W. A votre oeil de juger ! 
LASER DISPLAY : Ce système de projection est basé sur 3 faisceaux laser rouge, vert et bleu qui vont balayer un écran à la vitesse de 90 km/s. L'image ainsi créée n'existe que dans notre cerveau, qui nous la fera apparaître grâce à la persistance rétinienne. Le système de projection laser travaille grâce à plusieurs acteurs dont l'unité délivrant le faisceau laser final et une roue à miroirs qui va donner la direction (horizontale + verticale). Les avantages de cette technologie sont une parfaite netteté quelle que soit la distance de projection, une brillance jamais atteinte, de superbes couleurs, pas de dérivation de chroma et une projection sur n'importe quelle surface.
LASER VISION : Ce support, qui n'est plus fabriqué, était un disque optique entièrement analogique. A la différence du Laserdisc, le son était analogique. Attention : certains lecteurs de LD peuvent les lire, d'autres non.
LUMINANCE (Y) : correspond à l'intensité lumineuse de l'image, c'est à dire aux valeurs noir et blanc contenues dans le signal vidéocomposite.
LUX, LUMENS et LUMENS ANSI (diffuseur) : grâce à ces 3 valeurs de luminosité d'un vidéoprojecteur, vous touchez du doigt le sac de noeuds le plus inextricable, car au gré des fabricants les valeurs et les calculs sont rigoureusement différents. Il faut considérer comme fiable la valeur relative à une mesure en lumens ANSI dont voici la recette miracle. Contrairemùent à une mesure en lux ou lumens où ne sont pris en compte que 10% de l'écran (centre), la mesure ANSI prend pour base une image blanche projetée sur toute la surface d'un écran de 102 cm (moyenne). Cette surface est alors divisée en 9 zones dont on mesure la luminosité au centre en lux. On obtient alors des lumens ANSI en faisant la moyenne des 9 mesures, multipliée par la surface de l'écran. 
MEMOIRE DE TRAME : Pour le moment, seul le lecteur PAL/NTSC Pioneer CLD-925 dispose en France de ce circuit électronique de stockage de trame. Son rôle premier est de figer à l'écran une image du film durant la manoeuvre de retournement de la face A vers la face B, ce qui évite la frustration de l'écran bleu ou noir. De plus, cette mémoire de trames a pour rôle de stocker en temps réel les images du film afin d'autoriser un arrêt sur image, un ralenti ou un accéléré, et ce avec n'importe quel disque. En fait, la mémoire stocke les images et les restitue à la vitesse que l'on choisit : fixe, ralentie ou accélérée.
MPEG : Moving pictiure Expert Group. Norme de transmission de données audio et vidéo.
MPEG 1 : norme de compression de données audio et vidéo numérique, largement répandue en informatique, pour les transmissions et les CD-ROM notamment.
MPEG-2 : norme de compression de données audio et vidéo utilisée notamment pour la télévision numérique par satelite et le DVD. Le MPEG-2 Audio est une extension du MPEG-1 qui supporte jusqu'à 7 canaux discrets, et par conséquent le standard 5.1.
MPEG-2 2.0 : format sonore de certains DVD, compatible tous lecteurs (stéréo ou stéréo surround).
MPEG-2 multicanaux : format sonore de certains DVD européens exigeant un décodeur spécifique.
MPEG-2 vidéo : format de compression de l'image d'un DVD.
3D (3 dimensions) 
Utilisé pour définir l'environnement virtuel.
AACR2 (Anglo-American cataloguing rules, version 2) 
Règles de catalogage anglo-américaines, version 2.
adresse électronique 
Adresse utilisée sur le réseau internet pour envoyer et recevoir du courrier électronique. Cette adresse est donnée lors de l'inscription à un fournisseur d'accès à l'internet (FAI) ou à une messagerie électronique.
adresse internet 
Adresse identifiant une machine sur le réseau internet. Elle est composée de quatre octets généralement écrits sous forme décimale.
ADSL (asymmetric digital subscriber line) 
Procédé permettant d'augmenter considérablement la vitesse de transmission des données sur les lignes téléphoniques standard tout en préservant la circulation de la voix et du fax.
agent intelligent 
Logiciel programmable permettant d'effectuer une recherche d'informations à partir d'une demande spécifique exprimée en langage courant.
analogique 
Définit un signal de valeur continue, par opposition au signal numérique qui ne peut prendre que quelques valeurs définies (par ex. 0 ou 1 en langage binaire).
annuaire 
Egalement appelé répertoire. Recense et classe les sites web par sujets, le classement étant effectué par l'être humain (contrairement au moteur de recherche, dont le classement est entièrement automatisé). Le plus connu est Yahoo!


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